Cochon Neige

Thème 2 : la froideur (pleurs, mal inconnu, dangereuse, l’hiver, glace, neige, blanc, tiède) 1- Métaphore : Dans la deuxième strophe, Baudelaire établi une liaison entre la femme et la nature. « tu rappelles ces jours blancs, tièdes et voilés ». On peut constater que l’auteur veut créer une sensation d’atténuent. Par exemple un jour blanc n’est jamais amusant car, le blanc représente le vide. Le mot tiède montre qu’il ne se sent pas confortable, ne se sent pas bien. Pour finir Baudelaire utilise

climatique générale concernant le climat de Colmar : Pluie très faible, entre 500 et 600 mm/an. 150 jours de pluie dans la plaine. (Méditerranée 80 jours) Un fort ensoleillement, autour de 1700 heures près de Colmar. De la neige et des brouillards en hiver, sol recouvert de neige en plaine 24 jours, épaisseur supérieur à 20cm rare. 88% d’humidité en automne/hiver avec 70 jours de brouillard en plaine. Altitude : environ = 250 m Association végétale : On retrouve généralement les hôtels à insectes

et faire pénétrer l’aluminium dans le sol. Les peuplements forestiers d’altitude sont les plus menacés en raison de leur exposition aux nuages et au brouillard acides, qui contiennent des quantités d’acide supérieurs à celles de la pluie ou de la neige et lessivent les nutriments des feuilles et des aiguilles. La perte de nutriments facilite la dégradation des forêts par les maladies, les insectes et le froid. La qualité réduite de l’eau et du sol nuit aussi à la santé humaine. Les substances forestières

étés deviennent de plus en plus chauds et les hivers de plus en plus froids. L’amplitude thermique annuelle augmente, les précipitations diminuent CLIMAT FROID Un froid permanent sévit, accompagné de faibles précipitations souvent sous forme de neige

saule une fenêtre… Et c’est la mer et ses vaisseaux. L’anguille qui déjà repart Promène un songe dans l’espace ; Jusqu’aux frontières des Sargasses, Elle aimera dans ton miroir. Tu roules les saisons du cœur, Belle avalanche des vallées, Neige lascive délivrée Des hauts sommets de ton bonheur. Tu viens de plus loin que le vent, Que l’ombre et ses troupeaux nomades ; Mais tu sais bien que ta croisade Est vanité sur l’océan. Au pied d’un saule, ô simples eaux, Rêvez quand même de

d'inclure dans le modèle peuvent produire de « grands effets » (il donna l'image du « flocon de neige déclenchant une avalanche »), Von Neumann y voyait une occasion exceptionnelle pour les nouveaux appareils que l'on n'avait pas encore baptisés ordinateurs : « Si un flocon de neige peut déclencher une avalanche », répondait-il à Wiener, « alors la prédiction par le calcul nous dira très exactement quel flocon de neige précis intercepter pour que l'avalanche ne se produise pas ! » Wiener se montra sceptique

l'Antarctique est soumise à un climat polaire. Durant l'été austral et par temps dégagé, la température peut descendre jusqu'à −35 °C au sommet du massif Vinson et en deçà en cas de blizzard qui est fréquent. Les précipitations, qui se font toutes sous forme de neige, sont très faibles : dans l'intérieur des terres, il ne tombe que trois centimètres de précipitations par an.

expérimentales de travail dont nous disposons.    Le terme de "pluie acide" a été employé pour la première fois par Robert Angus Smith dans les  années  1870.  Il  désigne  les  différentes  formes de précipitations acides tel que le brouillard, la pluie,  la  neige  ou  encore  les  particules  fines.  Elles  sont  constituées  d'oxydes  de  souffre  et  d'azote  provenant  des  activités  humaines  tel  que  l'élevage  intensif  ou  encore  l'industrie  mais  aussi  des  activités  naturelles   comme  les  éruptions 

 Daubigny, Une scène de neige L'Hiver, une saison poétique - Francis Etienne Sicard, Odalisques, Campanile d'hiver, 1975 - Paul Verlaine, Romances sans paroles, Dans l'interminable…, 1874 - François Coppée, Décembre - Emile Verhaeren, Les 12 mois, Décembre - Guillaume Apollinaire, Alcools, La blanche neige, 1913 - Charles Cros, Le coffret de santal, Les Quatre saisons-L'Hiver, - Pierre de Ronsard, Derniers vers, Meschantes nuicts d'hyver - Théophile Gautier, Noël - Guy de Maupassant

mort des pauvres C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ; C'est le but de la vie, et c'est le seul espoir Qui, comme un élixir, nous monte et nous enivre, Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ; À travers la tempête, et la neige, et le givre, C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ; C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre, Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ; C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiques Le sommeil et le don des rêves extatiques