la destruction
1- Métaphore : Dans la deuxième strophe, Baudelaire établi une liaison entre la femme et la nature. « tu rappelles ces jours blancs, tièdes et voilés ». On peut constater que l’auteur veut créer une sensation d’atténuent. Par exemple un jour blanc n’est jamais amusant car, le blanc représente le vide. Le mot tiède montre qu’il ne se sent pas confortable, ne se sent pas bien. Pour finir Baudelaire utilise le mot voilé pour illustrer à quel point il est voilé par la femme qu’il la rend aveugle de ce qui se passe autour de lui (dans la nature).
2-Dans la dernière strophe, Baudelaire fait référence à un amalgame entre la femme dangereuse et le séduisant climat qui le rend malade et très difficile pour lui à supporter. Mais Baudelaire à citer plus haut qu’il était « ensorcelé », donc pour continuer à pouvoir aimer la femme il donc continuer à subir les effets du « frimas » et de la « neige », ce qui fait référence au thème de la froideur. De plus, Baudelaire décrit la femme comme dangereuse comme le froid peut également être dangereux.
2- Gradation : Dans la chute du poème, on peut observer une gradation entre « Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer? ». Baudelaire veut créer un effet d’amplification par rapport au « plaisirs plus aigus » que « la glace et le fer » (des matières très froide et dure) pour montrer à quel point les plaisirs sont irritants. Ce ne sont pas des plaisirs agréables. De plus, la glace et le fer font référence à des paysages qui sont justement brouillé pas la femme.