Cocon

Ahmamou vient de Oued Zem, une bourgade du centre du pays adossée aux contreforts de l'Atlas. Dans cette région où les difficultés ne laissent guère de place aux arts plastiques ; région dont il garde un souvenir heureux pour y avoir vécu dans un cocon familial équilibré, il passe la majeure partie de son temps à étudier et à s'essayer à la peinture. Sans recueillir l'assentiment de son père, mais sous la protection bienveillante d'une mère trop tôt disparue, il fait ses véritables premiers pas dans

chacun. Depuis l’enfance, la maison est représentée comme un lieu symbolique pour l’homme, d’une part car c’est un lieu de sécurité et d’autre part car c’est un lieu qui nous apporte sentiments et émotions. En effet, nous voyons la maison comme un cocon et qui permet de nous nous sentir bien dès que passons la porte de notre maison.Tout d’abord c’est un lieu d’intimé comme le montre Charles Aznavour dans sa chanson « Maison Rose ». En effet, il explique que grâce à cette maison, il a pu rencontrer

est relativement peu prononcée dans ce poème, sans doute pour laisser place à la vue des magnifiques éléments de la nature, au touché et aux odeurs. Cela montre également que cet endroit est plutôt silencieux et reposant, ou que ce lieu devient un cocon pour l’autrice, un endroit où elle se sent bien et n’entend plus les bruits avoisinants.Pour conclure, Anna de Noailles nous transmet son amour de l’été dans un poème calme et reposant qui reflète son état d’esprit à cet endroit précis. Elle utilise

|jusqu'à la rivière » : opposé à la ville, un cloître. | | | | |Importance de l'eau. Cocon, foetus. | | | | |« Monsieur de Sainte Colombe ne se consola pas de la mort

couple. Si le couple divorce, la séparation, vécue par l’enfant sera plus sereine. L’enfant se sentira moins de devoir prendre partie. Le risque dans cette organisation, est que l’enfant ait grandi trop tôt, qu’il ai perdu son insouscience.La famille cocon : Famille qui a tendance à se replier sur elle-me^me. L’idée est que la famille est un lieu protecteur face aux nomvreuses menaces extérieures: on l’identifie souvent comme “on fait tout en famille”. La famille, il n’y a que ça aujourd’hui. On le retrouve

savoir technique des dessinateur est impresxionant car pour trouver tout les angles des coupes sachant que le dessous et le dessus a la fermeture partent d’une étoile qui va se réunir au centre tout en tournant pour donner une forte impression de cocon. La beauté de cette table design dépend aussi de la nature du bois utilisé. Lorsque la table est fermée, le visage de la table ressemble à six feuilles en forme de tarte avec une jupe extérieure à la manière d'une table de tambour. Profondément

l’individu x, celui qui vit comme un légume chez lui est un contempteur de la vie, il s’empêche de vivre au nom de la peur de mourir selon cette critique. Cet individu qui vit chez lui comme un légume, s’abrite derrière les conventions, il se forge un cocon par peur de l’idée de la mort. L’attitude n’est pas stoïque ; Mais dans la tradition judéo-chrétienne la vie est une chose précieuse, fragile et sacrée. Il faut en prendre soin, ainsi se mettre sciemment en danger est un comportement mauvais, l’essentiel

tapage nocturne. Le repas festif du XXIe siècle est de nature plus individuelle. On reste souvent dans l’intimité, sans contrainte, qu’on parle de la famille ou des amis, pour maintenir surtout les liens affectifs afin de préserver un cocon protecteur du monde extérieur. On voit émerger de nouvelles formes d’échanges pendant les repas festifs, reflet d’une société individualiste, certes, mais qui a besoin de partager. Je les vois surtout comme une tentation de se réfugier

communion puisque l’extensité référentielle du pronom peut faire référence à une large palette de personnes. Cette idée de communion est d’ailleurs corroborée par l’image du « nid couvé » : l’association de ces termes qui renvoie à la thématique du cocon souligne « l’ouverture du jour » (v. 18)// « éclaircie »= métaphore du « blanc cheval aurore ».  Métaphore filée d’une porte qui s’ouvre apparaît avec le syntagme « l’ouverture du jour ». Les labiales avec « aile », « fol », « flot »(23-24) donnent

(« trou », « petit val »), centré sur et adapté au personnage. Le titre en lui-même associe étroitement la nature et l’homme. Entre la montagne douée d’une qualité humaine, la fierté, et le « petite val » réservé au dormeur, se fait jour l’image d’un cocon, d’une concavité qui prépare la personnification de la nature. L’apostrophe du vers 11 (« Nature, berce le chaudement : il a froid. ») figure résolument la nature en mère de l’homme, d’autant plus que la suite du vers renvoie à la sollicitude maternelle