Cœurs

statues fabriquées par les nonnes […] l’atmosphère humide de leurs cellules ») éloignent également le spectateur de la réalité. Victor Hugo ajoute a ses propos que le théâtre « est le pays du vrai : il y a des cœurs humains sur la scène, des cœurs humains dans les coulisses, des cœurs humains dans la salle ». Le théâtre fait ressentir au spectateur des émotions bien réelles. Certaines scènes créent par ailleurs des liens privilégiés avec les spectateurs, comme par exemple dans On ne badine pas

Que de soupirs dans nos coeurs! Comme l'aube, tu me charmes; Ta bouche et tes yeux chéris Ont, quand tu pleures, ses larmes, Et ses perles quand tu ris. La nature, soeur jumelle D'Ève et d'Adam et du jour, Nous aime, nous berce et mêle Son mystère à notre amour. Il suffit que tu paraisses Pour que le ciel, t'adorant, Te contemple; et, nos caresses, Toute l'ombre nous les rend! Clartés et parfums nous-mêmes, Nous baignons nos coeurs heureux Dans les effluves

carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des cœurs humains dans les coulisses, des cœurs humains dans la salle, des cœurs humains sur la scène ». Nous verrons dans un premier temps que le théâtre semble être en tout point le lieu de l’illusion. En analysant que dans un deuxième temps que le théâtre est aussi le lieu de la recherche

| |sa conduite (tous de mon amant | | | |empruntaient leur éclat) | |« Tous les cœurs en secret l’assuraient de leur | |En plus d’être maître de son empire, Titus| |foi !/ Peut-on le voir sans penser comme moi ? » | |dégage la perfection humaine

de carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous terre. C'est le pays du vrai. Il y a des cœurs humains sur la scène, des cœurs humains dans la coulisse, des cœurs humains dans la salle. » Victor Hugo fait donc une distinction claire entre le réel et le vrai. Effectivement, l’illusion du théâtre, le fait qu’il ne soit pas naturel, ne l’empêche pas d’être vrai, et peut même

puissance » mais appartiennent « au peuple, aux poètes, aux coeurs purs » 1) « Au peuple, aux poètes » Le peuple se transmet de génération en génération le mythe venu du fond des âges ; c’est en ce sens que le mythe est populaire, qu’Antigone et OEdipe appartiennent au peuple et ce sont les poètes, Sophocle en particulier, qui, dans leurs OEuvres, donnent un sens à l’aventure de ces héros et les font vivre éternellement dans les « coeurs purs. » Au premier abord, il est surprenant d’entendre que

ville et la campagne Comme le son d’une cloche appelant à l’émeute et au combat. Écoutez, je l’entends qui me revient renvoyé par les échos. Mais non, c’est le bruit d’autres cœurs, de millions d’autres cœurs battant comme le mien à travers la France. Ils battent au même rythme pour la même besogne tous ces cœurs, Leur bruit est celui de la mer à l’assaut des falaises Et tout ce sang porte dans des millions de cervelles un même mot d’ordre : Révolte contre Hitler et mort à ses partisans

peuvent ainsi se résumer : un usage inefficace du territoire par l’étalement des activités; une destruction ou un gaspillage de valeurs esthétiques, environnementales et économiques; un affaiblissement de l’identité et du caractère particulier des cœurs de ville par l’appauvrissement de leur structure commerciale et leur dilution au profit de zones périphériques entraînant la dégradation physique et leur désertion; une augmentation de la dépendance à l’automobile entraînant l’accroissement des problèmes

la ville et la campagne, Comme le son d’une cloche appelant à l’émeute et au combat. Écoutez, je l’entends qui me revient renvoyé par les échos. Mais non, c’est le bruit d’autres cœurs, de millions d’autres cœurs battant comme le mien à travers la France. Ils battent au même rythme pour la même besogne tous ces cœurs, Leur bruit est celui de la mer à l’assaut des falaises Et tout ce sang porte dans des millions de cervelles un même mot d’ordre :
Révolte contre Hitler et mort à ses partisans

ordinateur portable. Elle est assise confortablement installée sur un fauteuil avec une tasse d’un liquide chaud à ses côtés. On peut supposer que la rencontre qu’elle a faite lui permet d’imaginer une relation positive. En témoignent, les cœurs au-dessus de sa tête et les cœurs sur l’écran. Mais internet n’a pas que des bienfaits. En effet, bien souvent, internet nous détourne de la réalité. Les sites de rencontres sont synonymes de tromperie, d’arnaque et de manipulation d’autrui. Dans le chapitre intitulé