Cohortes urbaines

cette nouvelle tendance de communication est de marquer les esprits. http://www.strategies.fr/etudes-tendances/dossiers/r32528/l-affichage-alternatif-sort-de-l-ombre.html L'affichage alternatif sort de l'ombre À côté du grand format et du mobilier urbain, d'autres formes d'affichage existent. Bâches, enseignes lumineuses et autres Caddies séduisent de plus en plus d'annonceurs. Outre la forme de l’affichage qui permet d’attirer l’attention et d’être plus mémorisable, l'affichage peut également s'installer

comprend mieu l'intervention de l'artiste engagé qu'est Banksy dans ce conflit largement médiatisé. Dans un contexte artistique l'oeuvre intervient dans un contexte de reconnaissance du street art qui regroupe toutes interventions dans le paysage urbain comme les pochoirs, le moulage, la photographie, la vidéo, la mosaïque, les stickers, la gravure sur vitre, mur, panneau, arbre... En effet dur le marché de l'art la cote des œuvres des street-artistes augmente et certains artistes comme Shepard Fairey

LES LEGENDES URBAINES Les légendes urbaines désignent des histoires surprenantes, non vérifiées ou même fausses, qui circulent dans nos sociétés. Manifestation contemporaine du folklore narratif, ces histoires brèves expriment de manière symbolique les peurs et angoisses d'une société moderne en crise. Elles sont fréquemment recyclées, s’adaptant aux nouveaux lieux et temps, et sont traduites d’une langue à une autre sans difficulté apparente. Ces histoires sont souvent racontées comme étant

Les émeutes urbaines ou la révolte des exclus du gouvernement sarko ? Les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises sont des violences urbaines qui furent un épisode tragique de notre société. Le profil de ces émeutiers est caractéristique : vivant dans certaines banlieues de la région parisienne, devenus chômeurs, dans la tranche de 15-25 ans, avec peu de qualifications professionnelles, ils n’ont souvent pas eu de scolarité suivie. Ces révoltes ont commencé à Clichy-sous-Bois le 27 octobre

parlent-il de l'émission radiodiffusée en 1938 d'Orson Welles sur la « Guerre des mondes » comme d'une rumeur ; • certaines formes de théorie du complot, quand la narration importe davantage que la révélation ; • la légende contemporaine ou légende urbaine, quand elle perd son côté purement anecdotique et se trouve au centre de controverses, en particulier médiatique — exemple : longtemps classée « légende contemporaine », l'histoire du « terroriste au grand cœur » s'est vu affubler du qualificatif

Qu'est ce que le métro ? Le métro , diminutif de métropolitain , est un chemin de fer urbain ,souterrain le plus souvent , et sur viaduc quelquefois , mais rarement aérien . En 1981 , le Comité des Métropolitains Français (l'UITP*) définit ''le chemin de fer métropolitain'' comme un chemin de fer conçu pour constituer un réseau qui permet le transport d'un grand nombre de voyageurs à l'intérieur d'une zone urbaine au moyen de véhicules sur rails avec un contrôle externe , dans un espace totalement

Saint-Nicolas-de-Redon Saint-Jean-la-Poterie Rieux Saint-Nicolas-de-Redon Selon le classement établi par l'INSEE, Redon est une commune urbaine, la commune-centre d'une unité urbaine dont la banlieue inclut quatre communes (Saint-Nicolas, Rieux, Saint-Jean-le-Poterie, Allaire)[2]. Cette unité urbaine est le pôle de l'aire urbaine de Redon, qui fait partie de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique). Histoire[modifier] Moyen Âge[modifier] Il existe peu de sources sur

violence ne vient plus de l'école mais de l'élève. Parents, enseignants cherchent les causes de la violence loin de l'école : dans les familles, le quartier, sur Internet dans les médias. Contexte socio- politique en français marqué par les « violences urbaines » désignant une large gamme de comportements allant de la criminalité aux émeutes. Discours politiques : liens entre immigration → insécurité → théorie de la désorganisation sociale → anomie grandissante des quartiers populaires → déficit de socialisation

"problème-réaction-solution". On crée d’abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement

conséquences d'une gestion catastrophique de trois générations d'immigration (...) qui ont connu la marginalisation et le racisme le plus primaire". Durs jugements exprimés aussi par la presse en ligne israélienne, qui décrit systématiquement les violences urbaines par le mot "Intifada". Le quotidien de référence Ha'Aretz consacre toute une page de son site à l'opinion des Israéliens sur "l'Intifada française". Leur avis ? "Ce qui devait arriver arriva." Vendredi 4 novembre 2005, les autorités françaises se