Colère

réserve l’affectivité, les besoins, les sensations, les émotions de la personne. - Enfant libre ou naturel (EL) - Ressenti C’est le premier état, l’enfant exprime sans réserve son ressenti, ses désirs, besoins, émotions, peurs, craintes, plaisirs, colères, souffrances. Les réactions observables sont immédiates et spontanées. Il n’a pas d’interdit ni de limite, ce sont des réactions brutes et libres. Exemple : j’ai faim, je pleure, j’ai envie de bonbons, je me serre Chez l’adulte, l’enfant libre est

cette histoire par la « famille », obéissant au doigt et à l'oeil de Marin, une fois encore par peur de la colère et de la violence imprévisible de ce dernier. La deuxième approche, tout aussi sombre, laisserait complètement le casse en second plan pour nous consacrer entièrement sur la « famille », avec ce que le terme évoque. C'est à dire l'appartenance à un groupe, une entité, avec la colère que cela provoque lorsque l'un des membres est laissé de côté. « Dans l'absolue perfection du crime », l'ambiance

Lexique de l’amour non partagé (accentue le sentiment de trahison de l’héroïne) → »il m’a congédiée », « muet à mes soupirs », « tranquille à mes alarmes », « il ne vit plus pour nous » Interpellations négatives sur l’homme aimé (rendent compte de sa colère envers Pyrrhus) → « le cruel » , « l’ingrat », « le perfide » 3) Le désir de vengeance Vocabulaire de la haine (souligne le ressentiment qu’elle éprouve pour Pyrrhus) → »je hais », « courroux », « rage », « venger » Termes appelant le thème

cour du roi, moteur d'une éternelle ambition, du jeune Marais pour lequel les plaisirs du monde sont indissociables à la vie d'artiste. Au crépuscule de sa carrière, Marin Marais se souvient de l'austérité de son maître mais aussi de sa colère, cette colère due à l'intime blessure de son amour disparu. Marais regarde en arrière et voit la barque du temps, passeur de sensations, s'approcher de lui et lui montrer la vaine vanité des désirs de gloire et d'honneurs. Il comprend alors, la portée ineffable

énormément voyagé et connu de nombreuses femmes. Là, ils reçoivent pour seul héritage l'acte d'affranchissement ayant libéré leurs ancêtres esclaves. Nullement préoccupés par la valeur symbolique de ce document, ils le déchirent, ce qui provoque la colère de leur tante. Pour leur faire regretter ce geste, celle-ci leur fait faire magiquement un voyage dans un monde inconnu, où ils se font capturer et vendre à monsieur Jourdain, un propriétaire terrien qui confie Joël aux soins d'Henri, un homme brutal

expressions du visage sont peut être le système de communication non-verbales le plus pertinent. Certaines traduisent des réactions innées et non point acquises . Ainsi, les manifestations du bonheur, de la tristesse, de la joie, de la peur ou de la colère sont universelles. La preuve en est que les aveugles de naissance, qui n'ont jamais vu le visage d'autruit et ne peuvent donc pas et ne peuvent donc pas reproduire les mimiques, utilisent les expressions faciales que les voyants. LES DIFFÉRENCE

Introduction générale : Dans cet extrait, Zola nous montre une autre facette des mineurs. Ceux-ci sont en colère et se révoltent contre les bourgeois. L’extrait est ancré dans la réalité, la misère des mineurs devient plus évidente en comparaison des bourgeois qui, eux, sont sidérés par ce spectacle aussi bien visuel que sonore, et qui nous donne une vision apocalyptique du monde. II/ La portée symbolique: Une image de la Révolution : Nous pouvons comparer cette révolte à une « Seconde

dévotion et de méditation, elle se trouvait dans la chambre duroi, sans doute avec un autre tableau du peintre représentant les Sept Sacrements. Le centre : Au centre de la peinture, Dieu regarde les péchés que font les hommes. La colère : Pourmontrer la colère, il peint deux hommes entrain de se battre. Une femme essaie de retenir l’un des deux. Une table est renversée. Des vêtements traînent au sol. Au fond, on voit une ferme.L’orgueil : L’orgueil est représenté par une femme qui contemple

tristesse: elle nous aide pour traverser une situation de perte, de deuil, de fin. La tristesse effectue un travail d’intégration et de réparation qui permet l’acceptation de la perte. La colère: elle nous indique un évènement où il y a de l’injustice et de la blessure, de la frustration ou du manque pour nous. La colère répare face à la frustration et à la blessure. Elle restaure l’intégrité de l’organisme face au manque. Elle rétablit l’équilibre d’une relation en cas d’injustice ou d’offense. Le

se venge pas, sa famille sera déshonorée ainsi que lui-même, et de plus, il ne sera plus digne de Chimène. ACTE II 1) Le mot maladroit du comte qui rallume la colère Rodrigue est «pitié» puisque Rodrigue réplique « D'une indigne pitié ton audace est suivie Qui m'ose ôter l'honneur craint de m'ôter la vie !» ce qui prouve sa colère et son sens de l’honneur. L'expression qui a finalement décidé le Comte a faire ce duel est « As-tu peur de mourir ? » ; c’est le summum de la provocation et de la