Colère

vous avez peur, je parlerai le premier. Je di rai : Sire, sauf ton 1 respect, ton éléphant. .. et vous à l'unisson, vous poursuivrez: nous fait du mal. Ainsi, personne ne sera mis à l'avant. Et si nous devions encourir la colère du roi, nous la subirions tous. 20 Quand le roi apparut sur son balcon et fit signe au peuple rassemblé à ses pieds de présenter ses doléances, Jeha prit la parole: - Sire, sauf ton respect, ton éléphant. .. Le peuple

énumérant les réponses à son départ qu’elle aurait attendu. Bien sûr elles n’auraient été que mensonges mais elle avoue qu’elle s’en serait contentée. Pour cela, elle va utiliser des anaphores : « Que ne » occurrence 3 ce qui montre son agacement : la colère commence à l’emporter. Elle va également se servir d’interrogations oratoires c'est-à-dire des questions qui n’attendent pas de réponses. De cette façon, elle se rapproche du langage de Dom Juan et montre qu’elle possède aussi de la rhétorique.

enferme dans le passé, [2]et nous empêche d'avancer. Devenir responsable de nos erreurs est le seul moyen qui nous permettra de les assumer. La colère : On se dit « C'est trop injuste ! ». Ce sentiment d'injustice et de frustration déclenche notre révolte, et cela masque notre émotion de tristesse qui restera enfouie en nous. La colère peut nous empêcher d'accéder aux larmes. Les croyances : Parfois, nous nous enfermons dans des croyances qui s'installent en nous parce que nous

personne malade. L’apathie se manifeste par une perte d’autonomie, une perte d’intérêt ou un émoussement des émotions * L’irritabilité – L’instabilité de l’humeur Il s’agit d’une disposition à se mettre en colère facilement. Par exemple, la personne malade va avoir de brusques accès de colère ou mal supporter un retard ou de l’attente. * L’euphorie On parle d’euphorie quand il nous semble que la personne malade est trop joyeuse sans aucune raison, trouve drôle des choses que les autres ne trouvent

vinaigre’’ _le registre -le comique causé par les caractères de P et B. B alcoolique P est acariâtre; B bon vivant aime le vin ’’l’ecuelle est déjà vide’’ ‘’ je ne pensais pas avoir tout bu’’. pluche=peluche sur les vêtements’’trépighe de colère’’=marque une certaine agressivité, elle est comparé à une maladie 7 ‘’fièvre’’. Perso de B gentil, P caricature de la vieille fille, mal lunée, perso de comédie attendus. -le comique crée par des oppositions : opp entre P et B. P et B on suivi

protagonistes : Mon supérieure est une personne affirmative .Il dit souvent ce qu’il pense sans tenir compte des sentiments des autres et les impacts de ces propos. Il est une personne qui demande le respect. C’est une personne qui ne sait contrôler sa colère. La plupart du temps met sa frustration sur son entourage. Tandis que mon collègue est une personne qui aime rester seule. Il veut que son entourage le parle avec un certain respect. Il n’est pas trop sociable, car il veut éviter les conflits.

l’horreur de vous voir expirer à mes yeux ? ». Leur agitation est soulignée par le champ lexical de la passion (« fureur », «affreux dessein », « colère », « j’aime » (x3), « amour » (x3), « trouble », «cruelle », « violence », « horreur ») et une ponctuation expressive (points d’interrogation, d’exclamation, apostrophes (« O haine de Vénus ! O fatale colère »). B – Le rôle d’Oenone Traditionnellement, les serviteurs jouent un rôle de confident au théâtre. Leur présence est souvent l’occasion pour leurs

« mordieu ». _ Des didascalies caractérisant chaque protagoniste : elles précisent le ton et les gestes de chaque personnage ; - Elles montrent que Indiana est courageuse: « d’un ton glacial », « sans changer d’avis » - Et la colère du colonel : « verdit de colère et de surprise », « d’une voix chevrotante » -Ainsi que sa violence par ses gestes : « lui meurtrissant la main entre son index et son pouce » et par « serrant ses bras contre sa poitrine pour résister à la tentation de la frapper »

de le maintenir de force dans son lit pour son bien? Je me suis donc trouvé face à une difficulté par manque d'expérience, manque d'information. En effet, c'était la première fois que je me retrouvais face à un patient qui était plus ou moins en colère, qui était nerveux et je ne savais pas quelle réaction je devais avoir face à un patient qui peut avoir une réaction inattendue. J'avais peur de la violence du patient si je m'interposai, je le sentais tellement buté dans son idée, tellement déterminée

il se tapa les tempes de ses deux poings, il bégaya, d'une voix d'angoisse : “ Qu'est-ce que je vais faire ? ” Cette femme, puisqu'il ne l'avait pas tuée tout de suite, il ne la tuerait pas maintenant. Sa lâcheté de la laisser vivre exaspérait sa colère, car c'était lâche, c'était parce qu'il tenait encore à sa peau de garce, qu'il ne l'avait pas étranglée. Il ne pouvait pourtant la garder ainsi. Alors, il allait donc la chasser, la mettre à la rue, pour ne jamais la revoir ? Et un nouveau flot de