Colère

comprend qu’elle se sent trahie par Titus, mais elle est aussi dans un état de résignation, « Je ne dispute plus (…) », tout en éprouvant une forte tristesse et nostalgie du ‘passé’, « Cette bouche, à mes yeux, s’avouant infidèle »  voire même de la colère : « Eh bien ! Régnez, cruel ; (…) », ou bien encore « Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ». On voit que Bérénice est accablée de multiples sentiments, qui donnent à l’extrait toute son intensité. Bérénice doit faire face à une grande

l'automne arrive. De plus, il est clair que ces deux poètes n'aiment pas l'automne : Baudelaire commence son poème en utilisant un terme triste et sombre, "froides ténèbres" et tout le long du poème, les termes funèbres se succèdent : Adieu, funèbre, colère, haine, glacé, cerceuil...Verlaine décrit cette saison de manière moins triste, mais on voit qu'il n'aime pas l'automne non plus. Il parle de "sanglots longs", il dit être "tout suffocant et blême"... Les deux poètes préfèrent donc l'été à l'automne

tendance à emporter sur la raison. Lorsqu’on se fait emporter fortement par une émotion intense, le cerveau limbique prend le contrôle et nous faire accomplir des gestes contraires au bon sens. Ex : Sous la colère, on peut dire à un être aimé des choses dépassées Trop de peur, trop de colère, néfaste pour notre capacité de raisonner. Les émotions négatives dont nous perdons le contrôle peuvent détruire notre vie ou même à la destruction de notre entourage. Ex : lorsqu’on assiste à des émeutes où

sont ses significations. Premièrement, nous étudierons la représentation de la monstruosité humaine et deuxièmement, ses significations. Premièrement, nous allons étudier la représentation de la monstruosité humaine. Le personnage est souvent en colère lors du paroxysme de la pièce, il cherche une solution au dilemme : par exemple, lorsque Oreste se confronte à sa mère, prêt à la tuer, sa mère tombe à genoux, déchire sa robe et lui montre son sein, elle l'implore de l'épargner car c'est elle qui

qui n'ont pas été résolus correctement, produisant des effets indésirables dans cette opération, mais avec les dernières racines. Quels sont les conflits émotionnels ? Si les émotions négatives envahissent peut agir avec haine, colère, être terriblement lâches et undirnos psychologiquement. Dans ces situations, on sait que les émotions non seulement aident si pas pire. Une émotion est un processus qui active lorsqu'il détecte un danger que certain déséquilibre donc mettre des ressources

Φιλαργυρία / Philarguría (Cassien : philarguria ; avarice, amour de l'argent) ; Κενοδοξία / Kenodoxía (Cassien : cenodoxia ; vaine gloire, enflure de l'ego). Les « irascibles », ou privations, frustrations Ὀργή / Orgế (Cassien : ira ; colère) ; Λύπη / Lúpê (Cassien : tristitia ; tristesse) Ἀκηδία / Akêdía (Cassien : acedia ; acédie, dépression profonde, désespoir) Ὑπερηφανία / Huperêphanía (Cassien : superbia ; orgueil) Exemple de développement sur ce sujet (noter l'absence

et bénéfices ou même à l’utilité d’une entreprise ou d’une action, passera en revue tous les risques possibles et imaginables et finira par se convaincre de ne rien tenter. Seulement « qui ne tente rien, n’obtient rien ». La frustration et donc la colère sont souvent le lot des personnes qui manquent de confiance en elles-mêmes. Et à ce manque s’en ajoutent bien d’autres : • • • • Manque d’expérience puisqu’elle ne peut en acquérir à cause de sa peur d’en faire ou d’en bénéficier Manque de contact

pour Andromaque --> intensification de la réplique précédent --> gradation de l'amour: il déclare sa flamme puis a la fin il demande a être l'époux d´Andromaque. À partir du vers 363: champs lexical de la violence, il utilise la menace: "juste colère, haïr, n'épargnerai rien, fureur, pour la menacer." Il s'exprime dans la violence. v.363-364: il y a une gradation: vous obéir = soumission --> vous oublier = indifférence --> vous haïr = transformation négative de l'amour puis il veut tout

tétanisée. L’épisode violent aura lieu, l’auteur donne l’impression de perdre le contrôle de lui-même. Il dit ne pas pouvoir s’en empêcher. La victime se sent démunie, détruite intérieurement. Elle pense que c’est de sa faute, elle en oublie sa colère, pour que cette violence cesse, elle pense que c’est à elle de changer de comportement... La victime endosse la responsabilité de l‘épisode violent. Certaine personne peuvent penser, que si elle reste c'est qu'elle aime sa, que c'est leur vie

il fait semblant… Victor a maintenant 13 ans. Il vient de se battre sur la cour de récréation pour protéger un de ses copains. Il est attrapé par le surveillant qui l’envoie en hurlant chez la principale du collège. Elle ne l’écoute pas, mais d’une colère froide le condamne aux travaux du mercredi après-midi en colle. Comme il a été le plus fort dans la bagarre, l’autre enfant est placé en victime, il n’aura pas de punition. Les parents de Victor l’obligent à s’excuser devant la principale et le surveillant