Colère

caractériser d’une manière contrastée, importante, donc, finalement excessive. De manière plus individuel et plus psychologique, la violence est issue d’une émotion qui est la colère. Quand on n’est plus capable d’exprimer ce qu’on ressent, s'il y a une haine, il peut y avoir des gestes. Si on ne peut pas être entendu dans sa colère, il y a, à ce moment-là, la possibilité du passage à l’acte qui est la violence. Il y a la violence qu’on voit tous les jours, comme le meurtre d’une adolescente. Et une

lion d’Yvain est lui aussi envahi par des sentiments négatifs au moment où il croit que son maître est mort. L’émotion de la colère est bien souligné : « Le lion retint son élan alors qu’il courait à la mort comme le sanglier furieux qui fonce à tête baissée.»(13-14) La comparaison compare le lion à un sanglier furieux, qui est un animal sauvage, pour refléter une telle colère que l'adrénaline le fait agir sans réfléchir. D’ailleurs, lorsqu’il croit que son compagnon est mort, cela pousse le lion à

suspensions --> marque de la tension dramaturgique. Phrases exclamatives nbreuses. 1er mvt de la scène : R. en colère contre L. --> elle le croit traitre à leur amour --> veut lui faire payer sa "trahison". Rosine = JF de caractère. Nbreuses interjections. Cela montre les sentiments. Scène de ménage puis fusion affective. 2ème mvt de la scène: Fusion des 2 amoureux. Rosine + du tt en colère. Elle tombe ds les bras de Lindor et s'évanouie. (Oh ! comme c'est beau !) C/ La déclaration d'amour Chp

La première conséquence a remarqué, présente dans la quasi-totalité du corpus, est la colère. L’impression d’être trahi que crée la jalousie rend les jaloux agressif comme Done Elvire dans l’extrait de Molière lorsqu’elle dit « Ah ! Scélérat… » Ou bien Lisette, furieuse que pareil comportement d’adultère (bien que mis en scène) soit organisée. Ceci est bien montrée lorsqu’elle dit « Je défends les mains ». Colère que l’ont retrouve aussi chez Beaumarchais avec le Comte et sa réplique « …Indigne Epouse 

Boule de suif devient fâchée. Lorsqu’elle pense à toute la nourriture qu’elle a donné aux passagers de la diligence sur le premier trajet et que maintenant personne ne veut partager avec elle, Boule de suif devient bouche-bée. De plus, elle est en colère : « […] suffoquant de rage […] » (ligne 38) ou encore « […] l’exaspération l’étranglait. » (ligne 41). Boule de suif se fait mépriser par les passager de la diligence, des égoïsmes. Personne ne veut partager puisqu’elle semble être différente.

violence contre les femmes prend racine dans l'inégalité sociale, économique et politique des femmes. Les attitudes traditionnelles et la structure hiérarchique de la société encouragent la domination des hommes et la subordination des femmes. La colère et l'agressivité sont considérées comme des moyens adéquats de résoudre les conflits, particulièrement chez les hommes. Les traditions sociales et légales font également en sorte que l'on considère la violence faite aux femmes comme une question d'ordre

Royal et M. Sarkozy Analyse du non verbal Liens vidéos • http://www.dailymotion.com/video/x1vtah_d ebat-royal-sarkozy-partie-2-9_news (plus la suite du débat dans les liens à droite) • http://www.dailymotion.com/video/x2gm99_ debat-sego-sarko-la-colere-de-sego_fun (partie du débat ou Mme Royal perd son calme) Rappel : quelques chiffres • 70% de facial • 10% gestuel • 7% intonation de la voix et changement de rythme • 13% de ce qui est dit Nicolas Sarkozy • On croit à une autorité faciale

s'aimeront toujours ! » v.1252 • Certaines phrases sont interrompues par des exclamations, des interrogations, sonnant comme des indignations profondes, des cris de colère « Au moment que je parle, ah ! mortelle pensée ! » v.1254 / « Misérable ! Et je vis ? Et je soutiens la vue » v. 1273 • Jeu de sonorités dans les expressions de la colère, allitération en « s » v. 1257-1258 3) Une douleur profonde responsable de cette pulsion de jalousie • champ lexical de la souffrance : « importunait la plainte »

possible. Il n'y a pas de médiation dans la violence, elle en est par principe la suppression. C'est pourquoi, lorsque le langage lui-même cherche à faire violence à l'autre, cette violence n'est que symbolique : l'injure, l'éclat de voix, la crise de colère peuvent «blesser» l'interlocuteur dans son orgueil, sa conscience ou ses valeurs, mais il n'est pas atteint dans sa chair. Les paroles ne sont que métaphoriquement « blessantes » ; on peut en tenir rigueur à celui qui les a prononcées, mais il est

|ouïe, odorat, toucher, goût, mouvement) nous avons divers types d'émotions qui fournissent de l'information spécifique. Ainsi, la tristesse révèle un | |manque, l'impatience informe du fait que ce que nous faisons présentement n'a pas de sens, la colère surgit lorsque nous rencontrons un obstacle à | |notre satisfaction, etc... | |