Colette Audry

que nous réclamons le libre accès aux moyens anticonceptionnels, nous réclamons l'avortement libre. » Suivent les 343 signatures, notamment celles de personnalités telles que Catherine Arditi, Françoise Arnoul, Brigitte Auber, Stéphane Audran, Colette Audry, Tina Aumont, Hélène de Beauvoir, Simone de Beauvoir, Valérie Boisgel, Olga Bost, Claudine Chonez, Iris Clert, Lise Deharme, Christine Delphy, Catherine Deneuve, Dominique Desanti, Marguerite Duras, Françoise d'Eaubonne, Françoise Fabian, Brigitte

artificiel de chercher dans l'absence une liberté que je ne pouvais sincèrement retrouver que dans ma tête et mon cœur." L'année suivante, elle parvient à se rapprocher de Sartre en obtenant un poste à Rouen[->30] où elle fait la connaissance de Colette Audry[->31], enseignante dans le même lycée[->32]. Elle devient très proche de certaines élèves, notamment Olga Kosakiewitcz[->33] et Bianca Bienenfeld[->34] avec qui elle entretient des relations amoureuses, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant

de Lesbos. Si on parle des relations homosexeulles entre deux femmes dans le monde d’artistes, il faut presenter le personnage de Simone de Beauvoir ( 1908- 1986). Elle était l’enseignante au lycée à Rouen. Là-bas elle fait la connaissance de Colette Audry. On veut souligner qu’elle devient très proche d’une élève- Olga Kosakiewicz avec qui elle entretient des relations amoureuses, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des « amours contingentes ». Elle se lie également avec un

avant son avènement. Néanmoins ce que Robbe-Grillet admirait c’est la conception cinématographique du visuel, c’est le fait de présenter les choses telles qu’elles sont, libérées du carcan du sens. Dans son article « La caméra de Robbe-Grillet », Colette Audry affirme que « (…) le propre du cinéma n’est pas le visuel en soi mais une certaine façon de nous imposer le visuel. C’est ce que Robbe-Grillet a bien senti. »[2] En effet Robbe-Grillet s’élevait contre l’analyse psychologique du roman traditionnel

que viscéralement attachée à Sartre, elle rejette la proposition avec horreur (l'épisode est raconté dans La Force de l'âge). L'année suivante, elle parvient à se rapprocher de Sartre en obtenant un poste à Rouen où elle fait la connaissance de Colette Audry, enseignante dans le même lycée. Elle devient très proche de certaines élèves, notamment Olga Kosakiewitcz et Bianca Lamblin avec qui elle entretient des relations homosexuelles, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des «

paru artificiel de chercher dans l'absence une liberté que je ne pouvais sincèrement retrouver que dans ma tête et mon cœur. » L'année suivante, elle parvient à se rapprocher de Sartre en obtenant un poste à Rouen où elle fait la connaissance de Colette Audry, enseignante dans le même lycée. Bisexuelle, elle entretient des relations amoureuses avec certaines de ses élèves7, notamment Olga Kosakiewitcz et Bianca Bienenfeld, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des « amours contingentes

que viscéralement attachée à Sartre, elle rejette la proposition avec horreur (l'épisode est raconté dans La Force de l'âge). L'année suivante, elle parvient à se rapprocher de Sartre en obtenant un poste à Rouen où elle fait la connaissance de Colette Audry, enseignante dans le même lycée. Elle devient très proche de certaines élèves, notamment Olga Kosakiewitcz et Bianca Lamblin avec qui elle entretient des relations homosexuelles, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des «

créé par le "Comité du prix Vie Heureuse" en 1905 changera tout aussi logiquement de dénomination. 1904 : Myriam Harry, pour La Conquête de Jérusalem 1905 : Romain Rolland, pour Jean-Christophe 1906 : André Corthis, pour Gemmes et moires 1907 : Colette Yver, pour Princesses de science 1908 : Édouard Estaunié, pour La Vie secrète 1909 : Edmond Jaloux, pour Le reste est silence 1910 : Marguerite Audoux, pour Marie-Claire 1911 : Louis de Robert, pour Le Roman du malade 1912 : Jacques Morel, pour Feuilles

artificiel de chercher dans l'absence une liberté que je ne pouvais sincèrement retrouver que dans ma tête et mon cœur. » L'année suivante, elle parvient à se rapprocher de Sartre en obtenant un poste à Rouen où elle fait la connaissance de Colette Audry, enseignante dans le même lycée. Bisexuelle, elle entretient des relations amoureuses avec certaines de ses élèves[7], notamment Olga Kosakiewitcz et Bianca Bienenfeld, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des « amours contingentes

Paris, Stock, 1950. 22 © Eyrolles Pratique Pour aller plus loin Colette Femme de lettres française (1873-1954) « Le visage humain fut toujours mon grand paysage. » Femmes de lettres De la petite provinciale de Saint-Sauveur-en-Puisaye à la vieille dame du Palais-Royal, enterrée avec des obsèques nationales, que de légendes autour de son nom ! Une enfance heureuse entre Sido, mère non conformiste, et le capitaine Colette qui rêve d’être écrivain. À vingt ans, elle se marie avec Henri Gauthier-Villars