Collège de Navarre

Chantilly, p. 38-42. 2 1 Musée Condé Service d’action culturel 2002 LA RENAISSANCE FRANÇAISE DANS LES COLLECTIONS DU MUSEE CONDE L’ARCHITECTURE : LES COMMANDITAIRES – ANNE – DOSSIER ENSEIGANTS DE MONTMORENCY Navarre, entouré de quelques compagnons fidèles tels que Anne de Montmorency ou les frères Gouffier. En 1514, il épouse Claude de France, sa cousine, fille de Louis XII dont il aura trois fils et quatre filles. Il est sacré à Reims en 1515. Les guerres d’Italie

roi en faisant la paix, consentait à rendre le Piémont pour lui faire épouser le duc de Savoie. Quoiqu’elle eût désiré toute sa vie de se marier, elle n’avait jamais voulu épouser qu’un souverain, et elle avait refusé pour cette raison le roi de Navarre, lorsqu’il était duc de Vendôme, et avait toujours souhaité M. de Savoie ; elle avait conservé de l’inclination pour lui depuis qu’elle l’avait vu à Nice à l’entrevue du roi François premier et du pape Paul troisième. » Influences [modifier] Presque

faculté des Arts dès 21 ans, il a d’abord mené au Quartier Latin une vie joyeuse d’étudiant indiscipliné. À 24 ans, il tue un prêtre dans une rixe et s’enfuit de Paris. Amnistié, il doit de nouveau s’exiler un an plus tard après le cambriolage du collège de Navarre. Accueilli à la cour de Charles d’Orléans, le prince-poète, à Blois, il échoue à y faire carrière. Il mène alors une vie errante et misérable sur les routes. Emprisonné à Meung-sur-Loire, libéré à l’avènement de Louis XI, il revient à Paris

gaie et cultivée, Apolline Jeanne Suzanne de Bédée, fille du seigneur de La Bouëtardaye. Il fait successivement ses études chez les eudistes au collège de Dol (1777 à 1781), chez les jésuites au collège de Rennes (1782) et au collège de Dinan avec l’intention d’entrer dans les ordres (1783), il obtient un brevet de sous-lieutenant au régiment de Navarre à 17 ans, il part pour Paris où il séjourne chez Julie, sa troisième sœur, puis rejoint son régiment à Cambrai. Grâce à l’entremise de son frère

Guigue, éd., Registres consulaires de la ville de Lyon ou recueil des délibérations du Conseil de la commune, t. II, 1422-1450, Lyon, 1926, p. 291. Pour le siècle précédent, voir par exemple E. Izarn, éd., Le compte des recettes et dépenses du roi de Navarre en France et en Normandie de 1367 à 1370, Paris, 1885, p. 43, 164-165 et 393. Un des griefs faits au comte Jean d’Armagnac par Charles VII était de tailler les nobles (Mathieu d’Escouchy, Chronique, éd. G. du Fresne de Beaucourt, t. III, Pièces justificatives

1 : LA NOUVELLE ET LES SURPRISES DU TEXTE | Objectifs généraux : • Repérer les compétences des élèves en lecture • Réactiver les savoirs acquis au collège en ce qui concerne l’étude du texte narratif • S’interroger sur les mécanismes de lecture Problématique : Qu’est-ce que lire ? Comment le lecteur va-t-il construire du sens ? Perspectives d’étude : - Etude des genres (la nouvelle) et

à la Sorbonne en 1519. Ces thèses vont être considéré comme hérétiques et condamné par le pape en 1520, par la Bulle EXSURGE DOMINE. Elles seront malgré tout diffusé dans certain collège comme celui de Montaigu ou étudiait le jeune Calvin, de plus ces thèses furent protégées par Marguerite d’Angoulême, reine de Navarre et sœur de François 1er. La propagande « évangélique » touche tout le royaume et toutes les couches sociales, elle trouve un fort écho chez les femmes et les hommes qui apprécie ces

par exemple : Calais, Anglaise puis prise par le duc de Guise en 1558. Suzerainetés partagées et disputées : Ce sont des poudrières juridiques et institutionnelles. Elle ne paie pas d’impôts, car elles ne sont par française, comme : la Lorraine, Navarre, etc. Mais aussi présence de partie de la population avec un statue a part, comme l’enclot de St Jean de Jérusalem dans Paris. Certaines, suzerainetés seront rattachées : la Provence en 1481, la Bretagne par le traité de Vannes en 1532. La France

ordinaire de mathématiques au Collège Royal de France, qui leur fera voir succintement et gratuitement la facilité des opérations, en fera vendre, et en enseignera l'usage. Le dit sieur de Roberval demeure au Collège Maître Gervais, rue du Foin, proche des Mathurins. On le trouve tous les matins jusqu'à huit heures, et les samedis toute l'après dînée. PRIYILEGE POUR LA MACHINE D'ARITHMETIQUE DE M. PA SCAL Louis, par la grâce de Dieu, roy de France et de Navarre, à nos amez et feaux Conrs les

nationale. L'humaniste Guillaume Budé, figure emblématique de la Renaissance française, est à l'origine de ces deux initiatives, dont la première est sans doute la plus révolutionnaire. Les « lecteurs royaux », qui constituent l'embryon du futur collège de France, battent en brèche les privilèges de la vieille université. Un établissement d'un genre inédit voit en effet le jour : offrant des cours gratuits et accessibles à tous, rompant avec les grades de l'université médiévale, il s'ouvre aux courant