Colombe de la paix

châteaux de sable. Au-dessus d’eux un trou béant révèle un paysage paradisiaque en trompe-l’œil de l’autre côté du mur. On peut aussi voir un grillage de protection au premier plan. The Armoured Dove représente une colombe en vol portant un rameau d’olivier dans son bec. La colombe porte un gilet pare-balle alors qu’elle est la cible d’un viseur de sniper. On peut percevoir de réels impacts de balles sur le mur autour d’elle. Ces deux images sont simples à comprendre, le dessin est stylisé et la

victime innocente de cette corrida. Les différentes figures de l'animal traduisent la terreur, la douleur. Ce cheval représente le peuple opprimé et les Républicains. La colombe symbolise la paix. Or ici, elle se situe entre le taureau et le cheval et on peut remarquer qu'elle s'efface dans l'obscurité ce qui signifie que la paix est impossible entre les deux parties, qui s'opposent dans cette guerre, les Républicains et les Nationalistes. Le fantôme tient dans sa main une bougie. Il montre l'indignation

d'une BD. Le tableau est aussi expressionniste : le peintre déforme les expressions des personnages afin des les rendre monstrueuses. Le regard des personnages se dirige vers la gauche sauf pour le taureau, a-t-il peur ? Ou l'espoir de reconquérir la paix ? La lecture du tableau se fait donc de droite à gauche, à l'inverse du sens habituel. Le centre du tableau forme une pyramide : la base évoque la mort et la pointe évoque le vie. Le taureau symbole l’Espagne à travers la corrida. C'est le seul qui

rapidement le symbole de la terreur et de la répression franquiste. Ce tableau fut crée en quelques semaines par Pablo Picasso sous commande des républicains pour le pavillon Espagnol de l'Exposition Universelle de Paris de 1937, dédiée à la lutte pour la paix, la Guernica traduit la révolte de Picasso contre le régime totalitaire de Franco. Picasso depuis ce tableau démontre les monstruosités de la guerres, grâce à l’utilisation excessive de forme très crues et dramatiques qui démontrent la cruauté

que Gervaise qui est le personnage principal mais on ne la décris pas dans cet extrait. Tous ceux cités ci-dessus sont allés dans L’Assommoir, la taverne du gros père Colombe qui à des bras énormes appelaient « les portes-respect de son établissement ». D’autre part le nom du tavernier est ironique, la Colombe étant symbole de paix alors que le cafetier et ses boissons apportent la violence et le malheur chez ses clients. D’abord, il y a le décors visuel de la taverne « la fumée des pipes montait

pyramide et le tableau se divise en trois partie. Le contexte historique : c'est la guerre civil en Espagne d'un coté les nationaliste et de l'autre les républicain contrôlé par franco . Les personnages : il y a 9 personnages 10 si l'on compte la colombe. le cheval : selon Pablo Picasso il symbolise le peuple républicain espagnol. C'est aussi le symbole du pays basque, la région ou se situe Pablo Picasso. Il Cri de douleur et de peur. La lance qui le blesse au flanc rappellent celle qui blesse

le taureau représente l’Espagne et la corrida. Le taureau représente aussi la force et le danger mais ici il apparait comme une victime impuissante Picasso veut montrer que l’Espagne souffre, La colombe symbolise la paix mais nous ne la voyons pas bien comme en Espagne c’est la guerre et il n ya pas la paix

|Noé et la colombe de Chagall | | |40 jours : carême | |La colombe de Picasso | | |Colombe | |La colombe et la branche d’olivier = symbole des |

démembré entre les pattes du cheval. Sa main gauche rappelle les main du christ portant des stigmates de la crucifixion. De la main droite sort une fleur, symbole d’espoir du retour à la paix. L’oiseau a peine visible entre le cheval et le taureau. Cela pourrait être une colombe qui est le symbole de l’espoir et de la paix. Le cheval est au centre le de la composition, une lance transperce son flanc et le blesse à mort. Le pelage du cheval, fait de petits traits serrés, réguliers et alignés rappelle

assis sur rien si ce n'est de l'air .On compte 13 modèles mais seulement 17 jambes On voit des citrons dans les plats de la table Sous la table,une main tient dans son poing serré un poignard Une autre main sous la table tient une colombe blanche. ( *citation p.40 de « voir, lire, analyser les images) Cette photographie reprend le thème de la cène de Léonard de Vinci peinte entre 1495 et 1498 pour le réfectoire du couvent dominicain santa maria dell grazie grâce à une copie