Combattant

Quelle image des combattants la presse, les affiches et l'imagerie populaire donnent-elles à voir à la population civile ? Beaucoup de supports visuels (affiches d'Etat, journaux illustrés, images d'Epinal …) montrent les soldats à l'attaque dans des situations qui évoquent les représentations héroïques traditionnelles de la guerre. Le dessin comme la photographie reprennent des canons de la peinture d'histoire telle la charge de cavalerie, en introduisant l'utilisation des armes modernes. Ces images

Grande guerre sur les anciens combattants. Les « Gueules cassées » avec le tableau des Joueurs de cartes (1920) et les estropiés avec le tableau Rue de Prague (1920). Contexte historique Au début des années 1920, les états n’ont pas peur de montrer la dévastation physique laissée par la guerre, à la fois par fierté et par devoir de mémoire. La laideur, jusque là cachée par la censure, a été récupérée par les discours officiels et les associations d’anciens combattants. Au Congrès de Versailles

une vision rapprochée des combattants par un « corps à corps immonde »l.18.Le style épique,aux phrases longues,exprimant la violence de l'assaut,fait place à un style beaucoup plus dépouillé,marqué par des phrases courtes et un vocabulaire simple « périssaient »l.20; « ils avaient peur »l.20; « cette charge qui les avaient broyés avait fait naître en eux la terreur »l.21-22.La gradation du sentiment de peur transformé en celui de « terreur » montre l'humanité des combattants ,humanité sur laquelle insiste

Un poilu est un surnom donnés aux combattants français de 14-18. Front Est : L'armée Russe est stopper par les allemands. Les fronts se stabilisent car personne n'emporte. La guerre de position : La bataille de Verdun FEVRIER → DECEMBRE 1916 Changement de camps : Empire Ottoman → empire centraux → 1er génocide de l'histoire : les Arméniens en 1915 Les fronts s'enterrent dans des tranchées :longs fossés creuser dans le sol pour abriter les combattants. Tentatives pour percer le front,mais

est un laïc. D'autant plus qu'il est marié et qu'il a des enfants. - On peut supposer qu'il est combattant : l29 : «  Que mon haubert , mon heaume , et mon épée reviennent à mon fils ». 2) Plusieurs exécuteurs testamentaires sont nommés: Pour partager les biens composites de Borel: - biens fonciers: ( des alleux et des champs ) - des meubles et du bétails - tout un attirail pour un parfait combattant : (Que mon haubert , mon heaume , et mon épée) Ce qui prouve que Borell est très riche , et qu'il

spécialiste de la France au XXe siècle (société et mentalité) et des questions d'éducation. Né en 1933 à Lons-le-Saunier (Jura), Antoine Prost a fait des études d'histoire (agrégation, doctorat). Sa thèse, soutenue en 1975, portait sur Les Anciens combattants et la société française (1914-1939) (publiée en 1977 par la FNSP). Il est d'abord professeur à Orléans (1969), puis à la Sorbonne (Paris 1) à partir de 1979. Il a aussi enseigné à l'Institut d'études politiques. Il est président de l'association

Armée de terre : Mission Le combattant met en œuvre prioritairement son armement individuel et remplit des missions très variées, spécifiques au métier militaire, sous les ordres de son chef d’équipe. Souvent embarqué dans un véhicule de combat d’infanterie, il peut se transformer en combattant à pied pour occuper physiquement le terrain ou combattre... Mise à jour :11/07/2010 Pour remplir son contrat opérationnel, l'armée de Terre se doit de disposer de soldats formés, entraînés et préparés

TEXTE : Roger Caillois, L’Homme et le Sacré . […] Si la structure nouvelle des sociétés et la forme mécanique ou scientifique des combats substituent au héros attiré le combattant innombrable et anonyme, elles n’ont pas modifié la vieille attitude. La nécessité d’un discipline précise et les moyens de l’appliquer rigoureusement limitent sans doute la fantaisie des excès d’autrefois, mais la guerre gagne sans cesse en ampleur ce qu’elle perd en déchaînement instinctif. Elle acquiert ainsi un

Le témoignage du soldat allemand Paul Bäumer s’ouvre sur la journée de repos d’une compagnie de soldats allemands combattant sur le front français, lors de la Première Guerremondiale. Le fait de se retrouver derrière le front, de bénéficier d’une double ration de nourriture (les survivants ont reçu les portions de leurs camarades morts), de pouvoir lire à l’aise les journauxet la correspondance et d’écouter de la musique représente pour les soldats « du bien-être » (p. 15). Le front, et surtout

de socle en fer. Contrairement aux deux autres personnages, il a ses deux mains mais, l’une est articulée et l’autre n’est qu’une prothèse. Sur sa veste, on distingue une croix, c’est la « croix de fer » (c’est une décoration qui distinguait les combattants qui avaient eu un comportement héroïque lors d’un combat) c’est le signe de ralliement des allemands. Au deuxième plan -on trouve sur la gauche du tableau, un lampadaire (où l’on distingue une tête de mort) éclaire la scène. -au dessus des