Combustible fossile

longue de modifier les propriétés de la surface de l’océan, qui ne pourra plus assurer son rôle de régulateur thermique de la planète. L’océan pourra-t-il indéfiniment absorber les excès de dioxyde de carbone rejeté par la combustion des énergies fossiles ? Pour répondre à cette question et à bien d’autres encore, des recherches complexes sont en cours dans les organismes océanographiques. Mais la plupart des polluants restent sur la terre ferme ou ils réduisent à néant les habitats de nombreuses

longue de modifier les propriétés de la surface de l’océan, qui ne pourra plus assurer son rôle de régulateur thermique de la planète. L’océan pourra-t-il indéfiniment absorber les excès de dioxyde de carbone rejeté par la combustion des énergies fossiles ? Pour répondre à cette question et à bien d’autres encore, des recherches complexes sont en cours dans les organismes océanographiques. Mais la plupart des polluants restent sur la terre ferme ou ils réduisent à néant les habitats de nombreuses

taxe carbone peut s'avérer judicieuse dans la situation économique et écologique qui est la notre ? Cette taxe est étroitement liée avec la situation climatique, alarmante selon les experts du GIEC. Actuellement se pose le problème des énergies fossiles qui s'épuisent et viendront à disparaître, et dont nous sommes dépendants. Ainsi, la production pétrolière ne suivra plus la demande mondiale si bien que les prix augmenteront de façon importante. Dès lors, toute la société devra augmenter son budget

tout comme l’eau, le vent, la chaleur interne de la Terre… Le caractère renouvelable d’une énergie dépend de la vitesse à laquelle la source se régénère, mais aussi de la vitesse à laquelle elle est consommée. Le pétrole ainsi que tous les combustibles fossiles ne sont pas des énergies renouvelables, les ressources étant consommées à une vitesse bien supérieure à la vitesse à laquelle ces ressources sont naturellement créées. Le réchauffement climatique et le développement durable sont sur toutes

climatique ? Quelle est sa durée de vie ? C'est incontestablement le dioxyde de carbone (CO2). D'abord parce que c'est le gaz que l'homme a rejeté le plus dans l'atmosphère depuis le début de l'ère industrielle par l'utilisation massive de combustibles fossiles (pétrole, gaz naturel, charbon) : en quelques dizaines d'années, on a rejeté dans l'atmosphère des quantités considérables de dioxyde de carbone provenant de carbone longuement accumulé dans le sous-sol depuis l'ère primaire. Sa concentration

construit sur la production et la consommation insatiable d'énergie. Les activités humaines émettent aujourd'hui des quantités massives de CO2 qui s’additionnent aux GES naturellement présents dans l’atmosphère, que ce soit par l'exploitation de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz naturel), les transports ou l'industrie. L'agriculture émet aussi des GES. Au premier chef le méthane, émis par la fermentation ou le pourrissement issus de l'élevage, de la culture du riz, ainsi que des décharges d'ordures

pas (c'est le cas des végétaux et des animaux, mais aussi des énergies renouvelables qu'on tire de l'air, du vent, de l'eau, du soleil). Elle peuvent également être transformées pour être exploitées - et il s'agit là essentiellement des énergies fossiles telles que le charbon, le pétrole, le gaz naturel ou l'uranium. Une ressource en tant que telle est un moyen dont on dispose pour accomplir une tâche ou obtenir un produit. Parler de ressource naturelle revient ainsi d'emblée à envisager la nature

=>3acheteurs potentiels : Alstom / Schneider; General Electric et Toshiba  Alliance entre Siemens et Rosatom peu après la séparation d’Areva et de Siemens. L’environnement économique  Les besoins en énergies s'accroissent.  Épuisement des énergies fossiles (pétrole).  Uranium = énergie non renouvelable => Il va être de plus en plus difficile d’alimenter les centrales => Résultat : Les pays (émergents notamment) se battent pour acheter des mines d’uranium. L’environnement sociologique  Perception

construit sur la production et la consommation insatiable d'énergie. Les activités humaines émettent aujourd'hui des quantités massives de CO2 qui s’additionnent aux GES naturellement présents dans l’atmosphère, que ce soit par l'exploitation de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz naturel), les transports ou l'industrie. L'agriculture émet aussi des GES. Au premier chef le méthane, émis par la fermentation ou le pourrissement issus de l'élevage, de la culture du riz, ainsi que des décharges d'ordures

contradiction avec les énergies fossiles, qui sont principalement le pétrole, le gaz naturel, le charbon. Ces énergies sont dites comme « fossiles » car il faudra des millions d'années pour reconstituer les stocks d'énergies fossiles que l'on consomme actuellement. De plus, ces énergies sont extrêmement polluantes et favorisent fortement le rejet dans l'atmosphère de gaz à effet de serre et de CO2. En outre, selon des chiffres récents, la planète ne fournirait encore de l'énergie fossile pendant près de 40