Comique Des Caracteres De Dorine Orgon Mme Pernelle

liens entre les personnages  C’est Mme Pernelle qui présente les perso. A travers les liens qui les unissent = double énonciation (Elmire « Ma bru » l.3 répond « ma mère » l.6) chaque personnage est donc présenté selon son lien avec les autres et ainsi Pernelle se présente indirectement. 2) Des portraits critiques : véritables critiques des mœurs  Pernelle = ton autoritaire/agressif + elle devient systématique = elle a toujours raison : elle qualifie Dorine « d’impertinente » (l.14-15). Damis

remarquons à la réplique 7 que Madame Pernelle appelle Dorine « mamie » (= ma moitié) ce qui l'a fait paraître pour sa servante. De plus le spectateur identifie les rôles de chacun grâce à la double énonciation. Nous comprenons aussi que le milieu social est la bourgeoisie. Enfin, le déictique « ci » au vers 7 nous indique le lieu ou l'on est. Molière met aussi en avant la question de l'autorité. En effet, l'autorité de Mme Pernelle est révélée au vers 10 lorsqu'elle

illustré au début du règne de Louis XIV. L’une de ses nombreuses œuvres, le Tartuffe, comédie en cinq actes représentée pour la première fois au château de Versailles le 12 mai 1664. Orgon, un personnage assez important, est tombé sous la coupe de Tartuffe, hypocrite et maladroit. Il est le seul (avec sa mère, Madame Pernelle) à en être dupe. Tartuffe réussit à le manipuler en singeant la dévotion. Cet aventurier se voit proposer la fille d’Orgon en mariage, en même temps qu’il tente de séduire Elmire

Le comique dans « Le Tartuffe » LE COMIQUE DE GESTES De nombreuses photos de la mise en scène du Département de Théâtre de l’Université « Saint Ambroise » : http://web.sau.edu/theatre/seasons/9899season/tartuffe/tartuffe.htm Au XVII° siècle les conditions de représentation dans les salles limitent le jeu des acteurs : les cabrioles et autres gambades sont plus difficiles car l’espace est réduit en raison des tentures qui servent de décor, et des spectateurs sur la scène ! Cependant

permettront de le divertir. D'abord, le comique de geste: presque toutes les didascalies insérées par Molière aident les acteurs à jouer dans ce sens, ainsi, on verra des gifles (v169-171 et 579) , une sympathique scène de dépit amoureux où Dorine courre de Valère à Marianne pour les réconcilier , ou encore la première entrevue entre Tartuffe et Elmire où tandis que l'une s'écarte, l'autre se rapproche. Ensuite vient le personnage de Dorine. Par son caractère sympathique, intelligent, et franc,

en scène des personnages de classe moyenne comme Dorine qui a un rôle important dans la pièce, le dénouement de la pièce est heureux et l’auteur dénonce à travers Le Tartuffe un travers de la société ce qui est courant dans les comédies classiques. Molière cherche à faire rire le spectateur avec des procédés comiques, par exemple, le comique de mot qu’on retrouve notamment dans la scène 1 de l’acte I lorsque Mme Pernelle coupe la parole aux différents membres de la famille

nombreuses qualités intellectuelles, -en étant apte à établir un jugement de qualité, tout en étant ouvert à la culture et en ayant un esprit savant, sans pour autant être pédant et vaniteux- ainsi que morales, avec une noblesse de sentiment et un caractère modeste, sage, modéré et raisonné. Il fréquentait les moralistes, ou entreprenait de lire leurs œuvres, afin d’éviter les travers de son temps. C’était un individu curieux, et qui savait, grâce à cela, développer un sens critique. L’honnête homme

Comique de caractere Le comique réside dans la personnalité, les manières, le phrasé, les défauts et les manies des personnages. l’effet comique est produit par la peinture des caractères (traits moraux propres à une classe d’êtres : vices, idées). • Un homme affaibli que Tartuffe a affaire, et il va en profiter. Ainsi Orgon, par aveuglement, devient complètement fou de son " héros "(v195) et l'aime même plus que sa propre famille. Il est le caractère même d'un maniaque et cela crée le comique

célèbres originaux de portrait que je voulais faire : tout cela n’a servi de rien. (2e placet.) Distinction entre vrais et faux dévots : Pour mieux conserver l’estime et le respect qu’on doit aux vrais dévots, j’en ai distingué le plus que j’ai pu le caractère que j’avais à toucher. Je n’ai point laissé d’équivoque, j’ai ôté ce qui pouvait confondre le bien avec le mal, et ne me suis servi dans cette peinture que des couleurs expresses et des traits essentiels qui font reconnaître d’abord un véritable

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