Comité de vigilance des intellectuels antifascistes

temps de guerre, qui abroge toute indépendance intellectuelle et toute liberté d’opinion. Son nom côtoie ceux de Lucien Descaves, Louis Guilloux, Henry Poulaille, Jules Romains, Séverine... et ceux des jeunes normaliens Raymond Aron et Jean-Paul Sartre. Jusqu'à la fin des années 1930, son œuvre sera guidée par la lutte pour le pacifisme et contre la montée des fascistes. En 1934, il est cofondateur du Comité de vigilance des intellectuels antifascistes (CVIA). Maladie et fin de vieEn 1936, alors

système théorique. Alain, dont la vie coïncide presque avec la IIIe république, est un radical au sens de la fidélité aux idées ayant fondé la République. C'est grâce à elle, qu'issu du peuple, il a pu développer son génie et rejoindre l'élite intellectuelle. Alain perd la foi au collège. Bien qu'il ne croie pas en Dieu et qu’il soit anticlérical, il respecte l'esprit de la religion. Il est même attiré par les phénomènes religieux qu'il analyse avec beaucoup de pertinence. Comme par exemple dans

surréaliste. Il travaille comme journaliste, publie des chroniques cinématographiques et écrit beaucoup de poèmes. Il rompt avec le groupe surréaliste quand celui-ci se rapproche du Parti Communiste en 1929. En 1934, il adhère au Comité de Vigilance des Intellectuels antifascistes et à l'Association des Écrivains et Artistes Révolutionnaires. Il abandonne son pacifisme pour l'action antinazie. Il se bat dans l'armée française en 1939-40. Il continue d'être journaliste sous l'occupation et ce travail lui

non l’Ouest. L’antifascisme naît en réaction au fascisme. Il cherche à le contrecarrer par différentes tactiques. La première est une organisation d’intellectuels créé en février 1934 qui lutte contre le fascisme : le CVIA (Comité de vigilance des intellectuels antifascistes). La tactique politique est l’union : les forces de gauche, dont les idéologies divergent, décident de s’unir. Voilà pourquoi en France, communistes, socialistes et radicaux se réunissent sous un même parti et portent Léon Blum

de la formation du gouvernement Blum (5 juin) et c’est donc le 6 juin 1936 qu’il présente son Cabinet et son programme devant la Chambre des Députés. Après l’émeute des ligues de l’extrême droite du 6 février 1934, tous les partis de gauche antifascistes se sont regroupés dans un cartel renouvelé, le Front Populaire. L’expression du « Front Populaire » vient du dirigeant communiste, Maurice Thorez et son ami Eugen Fried, qui par des articles dans l’Humanité, appelèrent à la formation d’un large

d’une sortie par la gauche Les origines du Front populaire Si le 6 février n’est pas à l’origine de la constitution du Front populaire, il n’en génère pas moins une forte vague antifasciste qui se traduit par la mise en place d’un Comité de Vigilance des Intellectuels Antifascistes et de comités antifascistes se sont également constitués dans les municipalités, (à l’exception du cas Doriot à Saint-Denis qui en prend la tête (position qui lui vaut d’être exclu le 27 juin 1934), les communistes

Son engagement politique ne va cesser de croître dans les années 30, avec la "montée des périls". Dès 1934, il participe au mouvement frontiste et adhère aux mouvements d'intellectuels antifascistes, comme l'Association des Écrivains et Artistes Révolutionnaires ou le Comité de vigilance des Intellectuels antifascistes après les élections de mai 1936. Passionné pour la culture espagnole, il est très choqué par la guerre d'Espagne et le refus de Blum d'y engager la France. Alors que la conjoncture internationale

il participe au mouvement frontiste et adhère aux mouvements d’intellectuels antifascistes (comme l’Association des écrivains et artistes révolutionnaires). Choqué par la guerre d’Espagne et le refus de Léon Blum, en sa qualité de président du Conseil des Ministres, d’y engager la France, dans une conjoncture internationale de plus en plus menaçante en 1936, il adhère au "Comité de vigilance des Intellectuels antifascistes". Il abandonne son pacifisme pour être mobilisé en 1939, il prend part à la

se forme dans les années 30, le comité de vigilance des intellectuels antifascistes composés d’intellectuels et d’homme de lettre d’extrême gauche qui défendent les valeurs de droit, de liberté et de démocratie face à la montée des totalitarismes en Europe. Ce comité de vigilance est influencé par des idées communistes comme le montre la rhétorique utilisée : « aux travailleurs », « lutte » et « révolution ». Ce comité de vigilance des intellectuels antifascistes est choqué par la conquête de l’Ethiopie

Eugène Deloncle. Siège en 1943 au Comité Directeur du Front Révolutionnaire National. Auteur d'un ouvrage raciste, La Fin du Nihilisme. Condamné à 10 ans de travaux forcés par contumace ; acquitté en 1952 pour faits de résistance. Ecrivain gnostique et spiritualiste. Mort en 1986. ALBERTINI (Georges) Secrétaire des Jeunesses Socialistes; membre de la SFIO et de la CGT. Membre de Institut Supérieur ouvrier, du Comité de Vigilance des Intellectuels antifascistes. Secrétaire général du RNP, parti