Commandant en chef

les conséquences historiques de l'affaire Dreyfus. Problématique : Comment l'affaire Dreyfus a-t-elle divisé les français même au sein de leur famille ? I. Les débuts de l’affaire Dreyfus : Le complot. A) Le traitre Esterhazy : En 1894, le commandant Ferdinand Esterhazy livre des informations confidentielles aux Prussiens. Avec la complicité du capitaine Henry il rassemble de fausses preuves pour faire accuser à sa place Alfred Dreyfus un militaire d’origine juive. B) Au cœur de l’affaire :

gouvernement. D’ailleurs, le 27 juillet, le chef de la maison militaire, Arturo Araya, est assassiné.La CIA soutient et subventionne de nouvelles grèves de camionnneurs ayant pour but de paralyser entièrement le pays.Une motion de censure est votée contre le gouvernement (mauvaise gestion des grèves),par la chambre des députés environ 1 mois plus tard. Le lendemain, le ministre de l’intérieur et le commandant des armées posent leur démission. Un nouveau commandant est nommé par l’assemblée : Augusto Pinochet

chaînes de télévision, avant d’annoncer l’instauration d’une autorité provisoire fidèle au roi de Thaïlande. Le premier ministre Thaksin Shinawatra déchu s’est réfugié à Londres, où il possède une résidence secondaire. Surayud Chulanont, ancien commandant en chef de l’armée, a en effet été investi en qualité de premier ministre par le roi de Thaïlande. Si son gouvernement ne comporte que deux anciens militaires, sur vingt-six ministres il est sous le contrôle absolu des généraux de l'état-major. Le gouvernement

arrestation de 4 chefs du FLN la France espère avoir décapité la rébellion 3. Victoire militaire et affaiblissement de la France La bataille d’Alger : Début janvier 1957 : tension extrême : bcp d’attentats du FLN  arrestations massives, tortures Le chef du FLN à Alger, Yacef Saadi est arrêté en sept. 1957 ; son adjoint se suicide = fin bataille d’Alger.  La France est satisfaite : FLN battu + ALN isolé des alliés extérieurs (mines + barbelés le long des frontières = ligne Morice) + le nbre de harkis

Zola s’installe à Paris avec sa mère en 1857. Mais la situation financière de sa famille s’aggrave et après son échec au baccalauréat, il abandonne ses études et se lance dans sa passion : l’écriture. Après avoir vécu une vie de bohème il devient chef du bureau de la publicité chez Hachette en 1862. Il se fait de nombreuses relations parmi les auteurs et journalistes de la maison comma : Taine, Littré, Sainte-Beuve… Zola consacre ses loisirs à lire et à écrire. Il publie des comptes rendus autobiographique

des ses deux prisonniers. Il fait le choix de la mort. Ascension de Manuel. Beaucoup de responsabilités de commandements auxquelles il tente d'échapper plusieurs fois. Homme d'organisation. Pages 605-606 : excipit ' légitimisation de son statut de chef. Mise en avant de sa sensibilité musicale et artistique. Ce personnage est espagnol d'origine, et appartient au partie communiste en tant que simple militant puis au fil du roman ce dernier devient délégué syndical. Manuel, avec ses allures de

l'opinion publique des camps de concentration : l'un des journalistes qui en effectuent la visite, John Pulitzer Jr, rédacteur en chef d’un journal américain, réclame la mort de plus d’un million de nazis. Aussi, les responsables militaires vont demander dans une circulaire du 26 avril 1945, l’arrestation des dignitaires du parti nazi depuis le grade d’Orstgruppenleiter, (chef de groupe local), des membres de la Gestapo et du SD, de tous les officiers et sous-officiers de la Waffen-SS, des officiers d’état-major

comme le premier adversaire des communistes. Chef du parti nazi dès 1921, il dirige toute l'Allemagne à partir de janvier 1933 (IIIème Reich), avec le titre de chancelier puis de « Führer ». Dès cette date, il met en place une politique de revanche face à la défaite de 14-18 qui passe notamment par le réarmement de l'Allemagne. Il mène aussi une politique anticommuniste et violemment raciste (antisémite). 468630070739000À partir de 1938, Hitler, chef de la Wehrmacht (l'armée allemande) se lance

mouvement tournant débordant par l'ouest le dispositif défensif allié, permit à l'armée allemande d'arriver le 5 septembre 1914 à 40 km de Paris, obligeant ainsi le gouvernement français à évacuer la ville. Le Général Allemand Von Kluck commandant la première armée allemande grisé par cette victoire et par les succès remportés, négligea la capitale et continua à avancer imprudemment vers le sud à la poursuite des troupes françaises en déroute. Il négligea même l'ordre donné par ses supérieurs

de cette condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille