Comme t'y es belle !

cotés des gens on ne se rend pas vraiment compte qu'ils changent, et c'est comme cela qu'on finit par les perdre ... "Et puis peu m'importe le prix que çà coûte de vouloir t'aimer, de suivre ta route, ce que pense les autres j'en ai rien à foutre. A quoi bon faire semblant d'avoir encore des doutes. Je me doutais que tu été cachée quelque part mais ce que tu es va au delà de mes espoirs..." J'ai besoin de toi comme un cœur a besoin d'un battement. On oubli jamais rien, on y pense juste moins

dire Quies hom tu es, et que tu quiers - Je sui, fet il, uns chevaliers Qui quier ce que trover ne puis ; Assez ai quis, et rien ne truis. « - Mais toi à ton tour, dis moi donc quelle espèce d’homme tu es et ce que tu cherches. - Je suis, comme tu vois, un chevalier qui cherche sans pouvoir trouver ; ma quête a été longue et elle est restée vaine. - Et que voudrais-tu trouver ? - L’aventure, pour éprouver ma vaillance et mon courage. Je te demande donc et te prie instamment de m’indiquer

reviendra, et que jusqu'à mon dernier souffle tu manqueras.. » ♥ « Les anges existent, mais on les appelle amis, comme toi. » ♥ « Seul, on marche plus vite, a deux, on va plus loin » ♥. « Je sais pas si tu réalises que t'arrives à me faire sourire juste en existant.» ♥ A chaque fois qu'on me demandait pourquoi je te redonnais une chance, je répondais : c'est comme ça. Contrairement à ce que pouvait penser mon entourage, je n'étais pas idiote. J'étais simplement fainéante. Je n'avais

de père Colombe qui m'a vissé sur sa banquette. Gervaise s'était prêtée à ce jeu ; et, quand elle lui lâcha le bras, les camarades trouvèrent la blague si bonne, qu'ils se jetèrent les uns sur les autres, braillant et se frottant les épaules comme des ânes qu'on étrille. Le zingueur avait la bouche fendue par un tel rire, qu'on lui voyait jusqu'au gosier. - Fichue bête ! dit-il enfin, tu peux bien t'asseoir une minute. On est mieux là qu'à barboter dehors... Eh bien ! oui, je ne suis

trop vieilles ou trop jeunes, trop bavardes ou trop curieuses, trop coquettes ou trop sérieuses. Et un jour, après avoir visité tous les villages connus de son royaume, le roi, encore plus las qu’au début de sa quête, décida de rentrer à sa cour. Comme il atteignait un village perdu que nul ne connaissait dans son entourage, un vieillard, attiré par le nuage de poussière que soulevaient les montures du cortège, s’approcha et interrogea un des courtisans qui se tenait en avant-garde de la troupe :

à quoi ? Quand on dit que telle chose est une merde, c’est qu’on a un critère de valeur pour estimer cette chose. MARC : A qui tu parles ? A qui tu parles en ce moment ? Hou hou ! … SERGE : Tu ne t’intéresses pas à la peinture contemporaine, tu ne t’y es jamais intéressé. Tu n’as aucune connaissance dans ce domaine, dont comment peux-tu affirmer que tel objet, obéissant à des lois que tu ignores, est une merde ? MARC : C’est une merde. Excuse-moi. Serge, seul. S E R G E : Il n’aime pas le tableau

info présente ce manuscrit gratuitement INTRODUCTION Je suis née un jour de canicule, un vingt-deux juillet 1970 dans la Sarthe. Le pays de la rillette et des vingt-quatre heures. Quoi de plus banal me direz-vous. Ma naissance se déroule comme une lettre à la poste, en un éclair. En deux temps trois mouvements, les pieds dans les étriers, me voici expulser du ventre douillet de ma mère. Elle n’a pas le temps de réaliser qu’elle vient de mettre au monde une petite fille. Pendant sa grossesse

m'embrasses. J'aime quand tu me regardes. J'aime quand tu me touches. J'aime quand tu me prends dans tes bras. J'aime quand tu me consoles. J'aime quand tu me fais l'amour. J'aime tes gestes. J'aime quand tu me caresses. J'aime quand tu me dis que je suis belle. J'aime quand tu me conseilles. J'aime quand tu t'occupes de moi. J'aime quand tu me cri dessus (sado bonswar). J'aime quand tu me dit que tu m'aimes. J'aime quand tu est fière. J'aime quand tu es têtu. J'aime ton impatiente à vouloir tout et tout

9a fait britannique. Chez toi, ça fait louche.  ALBIN : Je te parie que je donne beaucoup mieux le change que toi !  GEORGES : Le change ? Il y a eu une dévaluation alors… ! ALBIN : Parce que, moi, j'ai de la carrure  GEORGES : On peut appeler ça comme ça  ALBIN : Alors que toi malheureusement tu fais sylphide  GEORGES : Je fais sylphide ?  ALBIN : Moi, j'ai du poids quand je marche  GEORGES : Même quand tu ne marches pas  ALBIN : Toi c'est « mon truc en plumes »  GEORGES : Mon quoi ?  ALBIN : « Mon

raison de sa tristesse). Le prince lui répondit : « Il y a de cela une année, sept mois et trois lunes, j’ai fait un songe. Dans un jardin magnifique où coulait une rivière, j’ai vu une belle princesse aux cheveux d’or, au teint frais. Elle était (est en raison des temps utilisés dans le reste de la phrase) si belle que je traverserais pour elle le monde entier pour la retrouver. Je n’aurai pas à nouveau plaisir de vivre que lorsque je l’aurai près de moi. (aurai…aurai ! propositions : je n’aurai