Comment Peut On Caractériser La Croyance Spinoza

Leçon 1 LES CONTRAIRES DE LA VÉRITÉ La vérité apparaît comme l'horizon de tout effort de pensée. En ce sens c'est bien la vérité de la vérité elle-même que nous cherchons ici. Pour saisir ce qu'elle est, et par là essayer de nous préserver, ne peut-on commencer par nous accorder sur ce qu'elle n'est pas ? N'y a-t-il pas plusieurs manières de passer à côté de la vérité ? A - L'erreur ° L'erreur est d'abord une errance, une "course à l'aventure", c'est-à-dire au hasard, comme le dit l'étymologie

incompréhension des propos de D. BORNE. Le fait qu’il soit peu connu a été une source de déstabilisation supplémentaire pour les stagiaires. La richesse du vocabulaire du texte et le double conflit qu’il présente (conflits : « vérité de l’école/vérité des croyances » et « liberté/égalité-laïcité ») sont l’objet de malentendu, confusion et incompréhension dans quelques copies. Les étudiants n’épuisent pas toute la richesse des propos et se centrent sur deux mots clés : école et laïcité. Dans beaucoup de devoirs

FICHES REVISIONS PHILOSOPHIE Philo : qui aime Sophie : la sagesse Pourquoi aime-t-on la sagesse ? Peut-être pour être heureux. Epicure – Lettre à Ménécée. Page 424-427. I- De quel amour parle la philosophie ? 1) L’amour est d’abord une réaction physiologique (activité hormonale, désir du corps) Ex : beauté du corps / désir sexuel. Plusieurs amours… -Pour une personne -Un sentiment (Amitié / désir / attirance / passion amoureuse) -Amour maternel (instinct biologique de protection)

CHAPITRE : DOUTE PHILOSOPHIQUE : PEUT-ON DOUTER DE TOUT ? SECTION1 : INTRODUCTION  On peut considérer le doute comme inséparable, et même constitutif, de toute véritable entreprise philosophique. De Socrate à Descartes, en passant par les sceptiques, en effet, on retrouve ce doute. Chez Socrate, le doute est synonyme de critique et de remise en cause de tout ce qui présente comme savoir (définitif). Chez les sceptiques, le doute est une attitude de suspens : on dit que, étant donné la nature

numérotation de Brunschvicg pour plus d'aisance dans le repérage. Commentaire : Ce texte est difficile parce qu'il illustre, comme l'aime à dire Pascal, une pensée " de derrière la tête " ( cf. 245 [310] et 311 [336] ). Les maîtres mots ne sont peut-être pas ceux que l'on croit ; les concepts qu'il faut en tirer ne sont pas nécessairement transparents aux mots. Si donc les rapports de la justice et de la force sont le sujet du texte, cela ne veut pas dire que le texte définisse l'une et l'autre

l'entendement peut connaître de manière certaine dans les grandes questions comme l'existence de Dieu et du monde, l'existence d'une âme humaine spirituelle et celle de la liberté. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique4. Il se démarqua pourtant de son aîné dans son Traité de la réforme de l'entendement (Tractatus intellectus amendatione), où il montra que le processus de perception engage non seulement la raison, mais aussi les sens et l’intuition. La conception de Spinoza était

latin qui veut dire «chose». C’est-à-dire un être qui existe. Tous les êtres qui existent. C’est le contraire de l’imaginaire. Si on prend l’univers entier, le nombre des choses qui existent dépasse la connaissance de l’homme. On a une expérience ou on peut avoir une expérience (exemple je n’ai pas l’expérience de la Tour Eiffel mais lorsque je vais à Paris je peux en faire l’expérience) pour prouver que tout existe. Maintenant s’il n’y a pas d’homme, la réalité n’existe pas. L’existence n’existe que

rapport à l’illimité de l’univers. L’idée met en avant la faiblesse de l’imagination par rapport aux productions naturelles. Et l’imagination pourrait se lasser justement parce qu’elle est impuissante par rapport à la nature. Mais d’un autre côté, peut être qu’on ne se lassera jamais d’imaginer par jalousie de la nature. Les physiciens ne cherchent-ils pas à se rapprocher de la puissance infinie de la nature ? LA PENSEE SE REGLE SUR DES IMAGES RECUES * Platon, comme Comte, Bachelard et même

psychique, destruction de la personne et de la famille, voire de la société. La FM ne rentre pas dans cette définition. -La FM n’est pas une instance religieuse, elle n’oblige aucun culte (même si on le verra, une certaine partie demande a la croyance en Dieu comme postulat), elle est a dogmatique et n’exige de ses membres que des bonnes mœurs, un attachement à la république et à ses valeurs (liberté, égalité, fraternité, laïcité). -Enfin, et cela n’apparaît apparemment pas de manière claire

mysticisme. Mais en Allemagne, la philosophie n’a pas revêtu d’une façon aussi constante la forme rationaliste. À côté de la lignée des Fichte et des Hegel, qui sont comme les scolastiques de l’Allemagne moderne, il y a la série des philosophes de la croyance, de la religion ou du sentiment : les Hamann, les Herder, les Jacobi, le Schelling théosophe, et l’illustre philosophe chrétien Franz von Baader. Ceux-ci sont, en face de ceux-là, les dissidents mystiques, comme jadis les Eckhart et les Tauler en