Commentaire Beau Monstre De Nature

présente le texte et annonce le déroulement du commentaire. 1. Présenter le texte: § indiquer le titre, la date, l’auteur du texte; § le situer dans son contexte (l’œuvre dont il fait partie; l’époque où il a été écrit; le mouvement littéraire auquel il se rattache); § préciser ce qui précède l’extrait, donner les éléments nécessaires à sa compréhension. § dégager l’idée générale du texte et sa progression. 2. Annoncer le déroulement du commentaire: énumérer brièvement les principaux centres

du christianisme. Le gigantisme, la démesure, le gout pour l’outrance vont devenir sa marque de fabrique. Améliore ce gout du gigantisme, de la démesure, dans l’ensemble de ses oeuvres. Le hors norme, etc., tous ces éléments sont inscrits dans la nature de Victor Hugo. Ce gout de la démesure, du colossal, etc. Néanmoins, dans le Déluge, il y a une tendance hyper classique et relativement froide. Il ne tardera pas à se faire remarquer par un public de littérateurs dès 1817 (15 ans) avec une « Ode

aspergeant au sortir de la chapelle : il se jeta contre ces sacrilèges qui le traitèrent de «sale petit cagot». D’autre part, ses premiers rêves naquirent des histoires racontées par la mère : légendes des Ardennes peuplées de démons et de saints, de monstres et de chevaliers. Puis son imagination s’enflamma à la lecture des grands romans pour la jeunesse d’alors (comme ‘’Costal l’Indien’’ de Gabriel Ferry) qui se déroulaient dans les jungles, sur les océans, faisaient découvrir des sauvages, des animaux

du ciel me consterne ; sa limpidité m’exaspère. L’insensibilité de la mer, l’immuabilité du spectacle, me révoltent... Ah ! faut-il éternellement souffrir, ou fuir éternellement le beau ? Nature enchanteresse sans pitié, rivale toujours victorieuse, laisse-moi ! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil ! L’étude du beau est un duel où l’artiste crie de frayeur avant d’être vaincu. IV Un plaisant C’était l’explosion du nouvel-an : chaos de boue et de neige, traversé de mille carrosses, étincelant

échappe, Vanina dénonce ses amis politiques. Emprisonné, le jeune carbonaro la rejettera, lorsqu’il apprendra qu’elle a trahi les siens. Alors que le révolutionnaire condamné marche à la mort, Vanina revient à Rome pour épouser un prince. Commentaires Constat : classe en logistique transport de 30 élèves dont 6 filles. Ils n’aiment pas lire ou sont mauvais lecteurs mais ils « adorent » qu’on leur fasse la lecture, une belle lecture (important pour la seconde séance) Les élèves vont pouvoir

n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il a provoquée, il offre le mariage à Cloris : la pièce se termine donc sur l'annonce d'un double mariage. Commentaire La pièce est un écho de la passion de Corneille pour Catherine Hue qui porta longtemps, dans Rouen, le nom glorieux de Mélite. Cette comédie apporta une véritable révolution dans le paysage théâtral de 1630 où la scène était dominée par le genre

plan : Introduction I. Les caractéristiques de l’île 1. Un espace clos dans un environnement particulier 2. Un espace de découverte 3. Une description sommaire mais symbolique II. Des îles différentes, lieux de l’altérité 1. Les îles où vivent des monstres 2. Les îles paradisiaques ? 3. Ithaque III. Un parcours significatif 1. Comment apprécier l’organisation du parcours ? 2. Du conquérant soldat à la présence de l’homme 3. Un homme sensible Conclusion Proposition de rédaction : Introduction Achille

du ciel me consterne ; sa limpidité m’exaspère. L’insensibilité de la mer, l’immuabilité du spectacle, me révoltent… Ah ! faut-il éternellement souffrir, ou fuir éternellement le beau ? Nature enchanteresse sans pitié, rivale toujours victorieuse, laisse- moi ! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil ! L’étude du beau est un duel où l’artiste crie de frayeur avant d’être vaincu. n 7CHAPITRE IV Un plaisant C’ ’  nouvel-an : chaos de boue et de neige, traversé de mille carrosses

rêveur, détestant son nom (il devait le trouver trop tiède !), ne s'aimant pas, se trouvant «belge comme ses pieds», éprouvant de précoces souffrances de l'âme, il «boudait la vie», refusait cette existence opaque et lente. Il disait avoir eu une «nature de gréviste», être en proie à cette «indifférence», à cette «résistance» qu'il montra toute sa vie. Il émigra très tôt de lui-même, ressentant une indéfectible révolte contre l'hostilité d'un «monde étrang!é, ventre froid», se retranchant et s'organisant

aspergeant au sortir de la chapelle : il se jeta contre ces sacrilèges qui le traitèrent de «sale petit cagot». D’autre part, ses premiers rêves naquirent des histoires racontées par la mère : légendes des Ardennes peuplées de démons et de saints, de monstres et de chevaliers. Puis son imagination s’enflamma à la lecture des grands romans pour la jeunesse d’alors (comme ‘’Costal l’Indien’’ de Gabriel Ferry) qui se déroulaient dans les jungles, sur les océans, faisaient découvrir des sauvages, des animaux