Commentaire Beau Monstre De Nature

"réaction" contre le romantisme, qui refuse les épanchements des romantiques (considérés comme excessifs), avec un goût certain pour la poésie descriptive, les lignes pures, la plastique impeccable, proche de la perfection ; pour ce qui est des thèmes : la nature est traitée comme une peinture, il y a une recherche des harmonies de couleurs et d'effets de chatoiement, et on sent une inspiration puisée de l'Antiquité. Comme auteur représentatif, on peut citer Théophile Gautier. Au niveau des "idées défendues"

celle de la maison familiale n’étant pas courante au XIXe siècle et dans le milieu qui était le sien, et ce doux rêveur avait même des velléités d’écrivain. Sidonie Gabrielle, qu'on nommait «Gabri», que son père appelait «Bel-Gazou» (ce qui signifie «beau langage» en provençal), que sa mère surnommait «Minet-Chéri», était la dernière de quatre enfants : d'un premier mariage, sa mère avait eu une fille, Juliette, «ma sœur aux longs cheveux», née en 1860, et un fils, Achille, «l'aîné sans rivaux» né en

temps l'inspiration germanique, c'est à l'Écosse légendaire, mythique d'Ossian et de Walter Scott que le conteur français emprunte cette fois décors, intrigue et personnages. Enracinant le fantastique dans la coexistence trouble des deux univers de la nature et de la surnature, le livre conte l'étrange passion de Jeannie, une batelière, pour Trilby, un lutin familier qui hante sa demeure et se révèle, au fil d'apparitions et de métamorphoses mystérieuses, le témoin d'un âge perdu de l'humanité.

accable dun mal mystrieux qui lui fait ce point oublier ses devoirs que, refusant toute nourriture, elle se laisse glisser lentement vers la mort. Elle se laisse arracher par sa suivante la confidence du secret de son trouble elle aime Hippolyte, son beau-fils, que Thse eut dun premier mariage. Elle a tout tent pour ne pas cder sa passion, a mme cart le jeune homme tout a t vain, et elle se laisse glisser vers la mort. Scne 4 Un messager apporte la nouvelle de la mort de Thse, ce qui semble rsoudre

d’un mal mystérieux qui lui fait à ce point oublier ses devoirs que, refusant toute nourriture, elle se laisse glisser lentement vers la mort. Elle se laisse arracher par sa suivante la confidence du secret de son trouble : elle aime Hippolyte, son beau-fils, que Thésée eut d’un premier mariage. Elle a tout tenté pour ne pas céder à sa passion, a même écarté le jeune homme ; tout a été vain, et elle se laisse glisser vers la mort. Scène 4 : Un messager apporte la nouvelle de la mort de Thésée, ce

de dentelle, à la prépondérante sécurité de la démarche, le jeune homme devina dans ce personnage(2) ou le protecteur ou l'ami du peintre ; il se recula sur le palier pour lui faire place, et l'examina curieusement, espérant trouver en lui la bonne nature d'un artiste ou le caractère serviable des gens qui aiment les arts ; mais il aperçut quelque chose de diabolique dans cette figure, et surtout ce je ne sais quoi qui affriande(3) les artistes. Imaginez un front chauve, bombé, proéminent, retombant

: En quoi le personnage de Claude incarne-t-il le drame de l’artiste raté ? Comment le milieu artistique est-il représenté ? En quoi la création artistique est-elle le thème de L’œuvre ? Évaluations: • Exposés • Entraînement à l’oral du bac • Commentaire composé Liste des exposés (par 2 ou 3) Les lieux dans le roman, en particulier les lieux habités par Lantier et Sandoz (Marine/Romain 23/03) Les femmes dans le roman (personnages, liens avec Claude, personnalités, oppositions) (Anaïs/Marie/Manon

ciel me consterne ; sa limpidité m’exaspère. L’insensibilité de la mer, l’immuabilité du spectacle, me révoltent… Ah ! faut-il éternellement souffrir, ou fuir éternellement le beau ? Nature, enchanteresse sans pitié, rivale toujours victorieuse, laisse-moi ! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil ! L’étude du beau est un duel où l’artiste crie de frayeur avant d’être vaincu. IV. UN PLAISANT C’était l’explosion du nouvel an: chaos de boue et de neige, traversé de mille carrosses, étincelant

du ciel me consterne ; sa limpidité m’exaspère. L’insensibilité de la mer, l’immuabilité du spectacle, me révoltent… Ah ! faut-il éternellement souffrir, ou fuir éternellement le beau ? Nature, enchanteresse sans pitié, rivale toujours victorieuse, laisse-moi ! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil ! L’étude du beau est un duel où l’artiste crie de frayeur avant d’être vaincu. –9– IV. Un plaisant C’était l’explosion du nouvel an : chaos de boue et de neige, traversé de mille carrosses

du ciel me consterne ; sa limpidité m’exaspère. L’insensibilité de la mer, l’immuabilité du spectacle, me révoltent… Ah ! faut-il éternellement souffrir, ou fuir éternellement le beau ? Nature, enchanteresse sans pitié, rivale toujours victorieuse, laisse-moi ! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil ! L’étude du beau est un duel où l’artiste crie de frayeur avant d’être vaincu. –9– IV. Un plaisant C’était l’explosion du nouvel an : chaos de boue et de neige, traversé de mille carrosses, étincelant