Commentaire Bel Ami Diner Chez Ses Parents

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Alcools’’ (1913) recueil de poèmes de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici les textes et les commentaires de : ‘’Les colchiques’’ (page 2), ‘’Palais’’ (page 4), ‘’Chantre’’ (page 5), ‘’Crépuscule’’ (page 5), ‘’Annie’’ (page 7), ‘’La maison des morts’ (page 8), ‘’Clotilde’’ (page 13), ‘’Cortège’’ (page 14), ‘’Le voyageur’’ (page 16), ‘’Marie’’ (page 18), ‘’La blanche neige’’ (page 19), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (page 19)

.................366 CHAPITRE XVIII. Un regard jeté en arrière....................... 391 CHAPITRE XIX. Je regarde autour de moi et je fais une découverte............................................................................ 402 CHAPITRE XX. Chez Steerforth. ....................................... 428 CHAPITRE XXI. La petite Émilie........................................442 CHAPITRE XXII. Nouveaux personnages sur un ancien théâtre. ..........................................................

....................................................................................................67 CHAPITRE PREMIER. La baignade....................................................................................................67 CHAPITRE II. Chez Florentin..............................................................................................................69 CHAPITRE III. Une apparition.................................................................................................

crampe de l’écrivain. C’est tout moi ! Il faut toujours que je trouve le moyen qui m’empêchera d’avancer. Plus je me débattais avec mes pages griffonnées et mes pensées éparses, moins je me sentais confiante. J’étais paralysée. C’est une seconde nature, chez moi. À chaque fois que je dois affronter quelque chose qui compte – une audition, une séance photo, un livre à écrire ou une relation amoureuse –, il faut toujours que je me prenne la tête avec des pensées négatives : Pourquoi moi ? Est-ce que je suis

rubrique, je faillis renoncer. En outre, comme je devais me rendre à l’étranger pour la promotion de mes livres, cet effort quotidien devint une torture. Pourtant, les signes me pressaient de continuer : une lettre de lecteur me parvenait, un ami faisait un commentaire, un autre me montrait les pages découpées et rangées dans son portefeuille. Lentement, j’appris à écrire de façon objective et directe. Je fus obligé de relire des textes dont j’avais toujours reporté une nouvelle lecture, et le plaisir

de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l'automne Commentaire Ce poème aligne trois strophes irrégulières formées successivement de sept vers, de cinq vers, de trois vers, des vers aux rimes suivies qui sont pour la plupart des alexandrins, certains étant cependant formés de deux hémistiches (vers 2 et

l’allure d’un petit moineau trempé. Mais au fond elle aime bien les moineaux, et si elle mettait la main sur un petit moineau trempé elle aimerait bien le sauver. A côté d’elle se tient un homme, un bel homme, elle le sent à ses gestes, elle tourne la tête pour vérifier et en effet, c’est encore un très bel homme. Il tourne aussi la tête vers elle, parce qu’elle est précisément devant le gel X-Men qu’il veut. A ce moment, elle voudrait bien lui dire que le gel pour homme lui importe peu, que d’ailleurs

son frère Paul arrangea un texte pour le théâtre de l'Odéon. La censure impériale le refusa, attendu que « la discussion du droit d'assassiner un souverain dont les crimes et les iniquités crient vengeance, le meurtre même du prince par un de ses parents, type de dégradation et d'abrutissement, paraissent un spectacle dangereux à montrer au public ». Il faut attendre 1896 pour voir la première représentation du drame, au théâtre de la Renaissance, dans une adaptation qui redistribue l'action en

plus méchants bruits contre cette dédaigneuse héritière, à laquelle il finit par rendre 13 le séjour de Verval absolument impossible. Alors, on le vit courir les fêtes de campagne, buvant sec, jouant gros jeu, cueillant les amours faciles chez les filles mal gardées. À ce train-là, il négligea sa maison, fit des dettes. À deux doigts de la ruine, il s’arrêta, trop égoïste et trop matois pour compromettre irréparablement son avenir. Et puis, cette existence de Lovelace campagnard commençait

129 i Table des matières Le Grand Meaulnes Troisième Partie...............................................................................133 La baignade......................................................................................134 Chez Florentin.................................................................................139 Une apparition.................................................................................148 La grande nouvelle..................................