Commentaire Corrigé Balzac

sensations (Kandinsky) 2 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 2 Sensibilité et résonance (Proust) 2 Le rire 2 Autres thèses 2 Illustrations et références 2 Exemples 2 Citations 2 Bibliographie 2 Sujets de dissertation 2 Documents et commentaires 2 Un peu de poésie 2 Charles Baudelaire 2 Arthur Rimbaud 2 Paul Verlaine 2 Nietzsche 2 Lautréamont 2 Le futurisme de Marinetti 2 Compléments théoriques 2 La philosophie de l’art de Platon 2 La philosophie de l’art de Kant 2 La philosophie de l’art

(Kandinsky) 37 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) 38 Sensibilité et résonance (Proust) 39 Le rire 39 Autres thèses 39 Illustrations et références 39 Exemples 39 Citations 40 Bibliographie 41 Sujets de dissertation 41 Documents et commentaires 42 Un peu de poésie 42 Charles Baudelaire 43 Arthur Rimbaud 43 Paul Verlaine 44 Nietzsche 44 Lautréamont 45 Le futurisme de Marinetti 46 Compléments théoriques 46 La philosophie de l’art de Platon 46 La philosophie de l’art de Kant 47

deux principes sont posés: 1° Articles seront discutés selon leur numération, étant donné que les députés faisaient tout dans le désordre, suivant leurs envies; 2° S'agissant des amendements, c'est-à-dire procédures qui permettent à un député de corriger durant séance un article, avant d'être discutés et votés, amendements seront examinés par une commission pour voir si ne déforment pas l'esprit d'une loi. Principes adoptés, mais l'Assemblée fait autrement, décide de disjoindre le chapitre sur

alors qu’il s’agissait de ‘’Spartacus et Frankenstein contre Hercule et Dracula’’. Comme ils conversent, car il est devenu beaucoup plus aimable, elle lui révèle quelle a été sa vie, regrette que l’Arche soit immobile, s’étonne qu’il ne cherche pas à corriger l’auteur des inscriptions. Il se défend d’être un assassin, même s’il a fait «un an de préventive». Il décide de se cacher pour, la nuit, surveiller la péniche et guetter le graffitomane. Alors que les États généraux se transforment en Assemblée

parle avec Sonatchitzé et Heurteur. Les deux hommes disent qu’ils se rappellent un certain Stioppa, qui aurait fait partie de la bande d’amis de Guy. Puis les hommes se désintéressent de l’histoire du passé et de Stioppa. Guy accepte cela et son commentaire est: »mais cela n’avait aucune importance, puisque je tenais enfin une piste ». Guy se contente de la seule piste du nom de Stioppa dans un journal. Ce journal il demande de l’emporter. Les informations que Sonatchitzé et Heurteur pourraient encore

Il parle de tout à propos de lui, et de lui à propos de tout ; il se pose mille questions, les résout à sa manière, sans donner toutefois sa solution pour la meilleure, et peut-être, un peu plus loin, la résoudra-t-il tout autrement. Aussi Guez de Balzac a-t-il dit de lui, avec raison : « Montaigne sait bien ce qu’il dit, mais il ne sait pas ce qu’il va dire. » Du reste, dans ce désordre, il y a tant d’esprit, de science, de profondeur, de pensées ingénieuses et justes, qu’on est heureux de le suivre

une armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons, grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait faire bientôt faire éclater la terre.» Analyse (la pagination est celle du Livre de poche) Alors que Balzac n'avait vu l'argent que circulant d'individu à individu, n'avait pas vu l'argent remuant les collectivités, n'avait guère parlé du peuple et surtout pas du prolétariat qui n'existait pas encore vraiment ; alors qu'Hugo, dans “Les misérables”, pensait

armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons, grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait faire bientôt faire éclater la terre.» Analyse (la pagination est celle du Livre de poche) Alors que Balzac n'avait vu l'argent que circulant d'individu à individu, n'avait pas vu l'argent remuant les collectivités, n'avait guère parlé du peuple et surtout pas du prolétariat qui n'existait pas encore vraiment ; alors qu'Hugo, dans “Les misérables”, pensait

des productions orales et graphiques —, plus ou moins perçu, n'était pas rationalisé. Ce clivage, véritable schize, servait, par un reflux de l'observable vers le construit, à établir pour le second un appareil où mythes et fantasmes tentaient de corriger le vécu, l'éprouvé : le désordre, l'impureté, la grossièreté des échanges verbaux quotidiens. À la limite, c'est l'échec de la communication en un latin divisé, déformé, vers le VIIIe siècle, qui aboutit à ceci : le peuple illettré de l'ancienne

transposent dans le rapport qu’ils entretiennent avec la BD les dispositions acquises au contact des biens culturels que transmet l’école : intérêt pour l’auteur de l’œuvre et pour sa biographie autant que pour l’œuvre elle-même, propension au commentaire, à la comparaison (…) »28. La BD a ainsi élargi son lectorat, elle « recrute ses lecteurs dans tous les milieux, réconciliant, comme l’a fait Edgar Norin, tous les âges, toutes les classes sociales, toutes les idéologies »29. C'est ainsi que la