Commentaire De Annie Apollinaire

Morand (Lampes à arc, poésie, 1919) et Jean Cocteau (la Lampe d'Aladin, poésie, 1909) qui s'illustrent tous deux avec talent dans des genres divers, se rapprochent de Reverdy et Jacob par leur admiration des peintres cubistes. Guillaume Apollinaire: Guillaume Apollinaire occupe une place prépondérante dans cette révolution poétique. Intéressé par tous les domaines artistiques, amateur notamment de peinture cubiste, il est l'inspirateur de l'«esprit nouveau» et l'inventeur du mot «surréalisme». Il renouvelle

Morand (Lampes à arc, poésie, 1919) et Jean Cocteau (la Lampe d'Aladin, poésie, 1909) qui s'illustrent tous deux avec talent dans des genres divers, se rapprochent de Reverdy et Jacob par leur admiration des peintres cubistes. Guillaume Apollinaire: Guillaume Apollinaire occupe une place prépondérante dans cette révolution poétique. Intéressé par tous les domaines artistiques, amateur notamment de peinture cubiste, il est l'inspirateur de l'«esprit nouveau» et l'inventeur du mot «surréalisme». Il renouvelle

l’histoire du cinéma, la relation image/mot progresse en trois étapes : à l’origine du cinéma, seule la bande visuelle était enregistrée. Mais les projections s’accompagnent souvent de la musique d’un orchestre, ou du moins entre 1900 et 1910 du commentaire fait depuis la salle par le bonimenteur. Au cours des années vingt, avec la disparition du bonimenteur, le carton sur la pellicule a commencé à acquérir un rôle de premier plan. Puis vers 1928, la voix a réussi enfin à s’inscrire dans le film

après la mort de son mari que Sonia Delaunay2 a pu véritablement s’établir dans sa carrière de peintre. Elles sont cantonnées dans un art « féminin » et exclues de l’art « masculin ». Evoquant Marie Laurencin3 qu’il introduisit au Bateau-Lavoir, Apollinaire dira dans ses Chroniques : L’art féminin est devenu un art majeur et on ne le confondra plus avec l’art masculin4. C’est dire qu’une différence attribuée à la nature n’est pas remise en question. Après la guerre, le renouveau artistique cherche

l’autre côté de la montagne, sur la draille menant à Florac, à Saint-Laurent-de-Trèves (où l’on a trouvé une inscription romaine), dans laquelle les historiens s’accordent à reconnaître le Trévidon dont parle le poète (et futur évêque) Sidoine Apollinaire (vers 431-vers 486) dans un autre texte célèbre, le Propempticon ad libellum (Adieu à mon livre) qui décrit l’itinéraire emprunté par un recueil de poèmes (vers 469) entre la villa auvergnate de son auteur (Avitacum/Aydat) et la ville de Narbonne

l’autre côté de la montagne, sur la draille menant à Florac, à Saint-Laurent-de-Trèves (où l’on a trouvé une inscription romaine), dans laquelle les historiens s’accordent à reconnaître le Trévidon dont parle le poète (et futur évêque) Sidoine Apollinaire (vers 431-vers 486) dans un autre texte célèbre, le Propempticon ad libellum (Adieu à mon livre) qui décrit l’itinéraire emprunté par un recueil de poèmes (vers 469) entre la villa auvergnate de son auteur (Avitacum/Aydat) et la ville de Narbonne

Histoire DE Sous la direction de Guillaume BOUREL Marielle CHEVALLIER Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Centre national de documentation pédagogique Marianne BOUCHERET Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en CPGE au lycée Jean Jaurès à Reims (51) David EL KENZ Maître de conférences en Histoire moderne à l’université de Bourgogne (Dijon) Marie-Reine HAILLANT Professeur au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen

marine, Comme hier, Si le bon Dieu l’avait voulu), Aragon (Il n’y a pas d’amour heureux), Jean Richepin (Les philistins, Les oiseaux de passage), Antoine Pol (Les passantes). Georges Brassens -7- L’œuvre de Brassens a été l’objet de nombreux commentaires et de nombreuses tentatives d’appropriation (aanpassing) (certains catholiques en particuliers, tel Jacques Charpentreau, essayant de démontrer que cet athée militant est un chrétien qui s’ignore…). Il est vrai que sa thématique n’est pas toujours

BOUCHERET re Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville

siècle Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Marianne BOUCHERET Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville et