Commentaire Le Diable Au Corps

l’autre relèvent du grotesque : Ruy Blas est le « ver de terre », don Guritan le « pauvre héron » Tous les registres dans Ruy Blas sont réversibles. Le sublime réquisitoire de Ruy Blas, à la scène 2 de l’acte III, devient grotesque à travers les commentaires qu’en fait don Salluste, deux scènes plus loin : « Cela sent son pendant et son petit génie / … C’est un bouffon ». Les retournements de situation, si nombreux dans ce drame, déclinent ensemble de la tragédie et celui du mélodrame. L’acte IV

son père. 4) Réflexion sur le progrès. Mais tout ne relève pas du progrès. Imprimerie => invention divine. Artillerie => invention diabolique => modifie la façon de faire la guerre. Dénonce l'artillerie => armes des lâches car on engage pas son corps ds un combat chevaleresque. S'insère une réflexion sur ce qui est bon pour l'homme et ce qui va à rebours dans l'identité de l'homme comme l'artillerie. Souligne les limites de la renaissance => responsabilité morale de l'homme devant la science. =>

l'Action française » ( journal extrême droite nationaliste ). 1.3 Après les années 1920 , la concurrence progressive de la radio. Pendant la PGM , les autorités politiques rétablissent la censure c'est à dire toute information militaire , tout commentaire défavorable au gouvernement risque la censure certains journaux participent au « bourrage de crâne » →( expression véhiculée par les soldats pour qualifier le décalage entre les discours lues dans les médias et la réalité vécue sur le front. ).

on le dit souvent, l’essentiel se cache dans les détails (et le diable parfois !). Une théorie insuffisamment maîtrisée et votre argument tombe par terre. Pire, vous laissez une mauvaise impression à votre correcteur. Il va mettre du temps à s’en remettre et sera moins bien disposé pour apprécier les prochains paragraphes. Il faut donc bien prendre en note le cours. L’attention à un détail du cours, le souvenir d’un commentaire, peut aussi vous aider à trouver un angle intéressant pour aborder

54 B.Une trinité tutélaire 55 C.Une morale de l’énergie 56 D.Parole panglossienne : parole luciférienne ie mensongère et séduisante 57 58 Candide, chapitre V, 1er paragraphe Cette explication sous forme de commentaire permet le rappel d’un certain nombre d’attendus du commentaire. Les observations méthodologiques figurent en bleu et entre parenthèses. La présentation (rappels) Il convient de respecter les conventions de présentation (saut de deux lignes entre l’introduction et le développement

dans ces deux questions: Comment croire aujourd’hui ? Et que faut il croire, face à un monde en recherche de lui-même, qui depuis longtemps tente de se construire sans Dieu ? Nous cherchons à répondre à l’opinion de Jean-Paul II dans un commentaire argumenté qui conclura en la confirmant. Afin de parvenir à cette conclusion, il faut d’abord poser une première prémisse : Nous montrerons qu’un être qui n’agit pas en vue de sa fin se détruit nécessairement. Cette proposition concédée,

l’autre relèvent du grotesque : Ruy Blas est le « ver de terre », don Guritan le « pauvre héron » Tous les registres dans Ruy Blas sont réversibles. Le sublime réquisitoire de Ruy Blas, à la scène 2 de l’acte III, devient grotesque à travers les commentaires qu’en fait don Salluste, deux scènes plus loin : « Cela sent son pendant et son petit génie / … C’est un bouffon ». Les retournements de situation, si nombreux dans ce drame, déclinent ensemble de la tragédie et celui du mélodrame. L’acte IV

I. INTRODUCTION L'objectif est de voir des types de procédés qui peuvent aider à étudier un texte à l'écrit pour le commentaire littéraire, ou pour la question à quatre points et à l'oral également. On peut parfois dégager des plans en s'aidant de ces registres. Définition : Le registre d'un texte littéraire dépend de l'état d'esprit, ou de l'état d'âme que l'on veut créer chez un lecteur. II. LE REGISTRE LYRIQUE A. TEXTE L’extase "La nuit était venue, la lune émergeait de l’horizon étalant

fois ! On imagine en plus qu’il doit le faire en variant ses vocalises sur plusieurs tonalités différentes…. Les insultes envers Toinette reprennent un procédé courant dans les comédies moliéresques : « Chienne ! coquine ! […] Carogne, à tous les diables ! ». Le maître de maison donne ici l’image d’un personnage acariâtre, impatient et irascible (« j’enrage » ligne 57) et ses dernières phrases, avec un vocabulaire qui se veut pathétique, témoignent de son côté geignard, égocentrique et inquiet :

Pitot le cœur d'une femme sous le règne du principal Pingouin. Commentaire Zola s’y vengea de frustrations scolaires. ____________________________________________________________ _____________________ “Rollon l’archer” Drame en vers Commentaire Seul le plan en subsiste. ____________________________________________________________ _____________________ “Annibal à Capoue” Tragédie en trois actes Commentaire Seul le plan en subsiste. ____________________________________________________________