Commentaire Parodie

Son premier texte est une comédie d'intrigue en un acte et en vers le Père prudent et équitable, ou Crispin l’heureux fourbe jouée dans un cercle d'amateurs en 1706 et édité en 17126. Sa rencontre avec Fontenelle, et la fréquentation du salon de la très spirituelle Madame de Lambert7, sont déterminantes pour sa formation. Il y rencontre des « Modernes » et s’y initie à une forme de « préciosité nouvelle »8, qui donnera naissance au « marivaudage ». Il développe alors son observation critique, s’engage

a critique la métaphysique, la providence et l'optimisme de Leibniz, incarné par le précepteur Pangloss. Il critique aussi la religion (parodie de la bible), la société, la politique, la guerre (guerre avec les turcs, récit de la vieille...) et l'esclavage, tout cela étant visible a travers les différents chapitres de l'ouvrage. C'est par l'ironie et la parodie qu'il parvient a nous faire saisir ses idées, donc implicitement. Lecture analytique de l’Incipit : Introduction : I/ Une virulente

LA 5 : Jean Anouilh , Fables , « La Cigale » Comment la fable est-elle parodiée et détournée ? Dans son « avertissement hypocrite » , Anouilh caractérise la fable d' « entreprise futile» Il se livre à une réécriture parodique des fables de LF en détournant leur morale. Satire mordante de ses contemporains élimine fourmi au profit du renard,réputé pour sa ruse Cigale devient perso principal: héroïne triomphante contrairemt légende et fable source Elle agit : « alla trouver » v.9 ,impose

bûcher de |enterrement de sardine , |Caractéristiques du carnaval | |(cavalcades, mascarades, défilés, |brancard bariolé, procession|Caramentran, cris chants, |parodie, masques, |(rire, grotesque, processions | |bûcher) : rire, parodies, |parodique, grotesque |danses, parodie |travestissements, défilé, |parodiques) | |grotesque | | |joie

l’ensemble au niveau de moindre importance. • la parodie imite les techniques et le style d’une personne, d’un lieu ou d’une chose en vue de la ridiculiser. 3) les differents types de satire -L'épigramme : Poéme satirique de quelques vers (exemple Catulle (v.-87 à v.-54, Latin), Poésies. Voltaire (1694-1778), Poésies.) -Pamphlet : court écrit satirique (ex Blaise Pascal (1623-1662), Les Provinciales. Émile Zola (1840-1902), J'accuse) -Parodie : Imitation burlesque d'une oeuvre ( ex :Marivaux

sur les tristes contingences fondamentales de l’espèce humaine. CARICATURAL : Le comique provient de l’exagération. PARODIQUE : Le comique provient d’une imitation ridiculisante. On parle de «burlesque » lorsque on parodie des événements épiques. FARCESQUE : Le comique provient de gestes ou propos intentionnellement ludiques. C’est la tarte à la crème. On parle de « pitrerie » lorsque les gestes sont futiles et qu’il y a une intention narcissique d’être vu. .

une chute. III- une tirade parodique : A) au niveau de Don Juan : s’apparait comme faible. Il fait rire par son impatience et par sa chute. Le silence de Don Juan est moqueur. Le valet veut imiter son maitre mais le fait de manière maladroite : parodie de la tirade de Don Juan. B) au niveau de la religion mal défendu : son discours annule l’intention élogieuse. La thèse de l’œuvre de Don Juan est d’autant plus forte qu’il n’y a personne pour rivaliser. Conclusion : Don Juan est déclaré impie

que le lecteur peut s'amuser à identifier. Par ailleurs, ce roman, par sa profusion, révèle bien à quel point la récriture peut aussi s'accorder avec l'originalité. III. Récriture et originalité ne sont pas exclusives 1. Liberté des récritures et parodie Toute récriture vraiment réussie comporte une réinterprétation et un apport personnel de la part de l'auteur, et réciproquement toute œuvre ne s'inspire-t-elle pas dans une certaine mesure d'œuvres antérieures ? Les œuvres qui jouent sur des effets

projets d’avenir, se disputent, se battent , Candide tue le Baron, et pleure sa mort. Le récit, structuré autour de deux revirements complets des personnages, est donc caractérisé par une rapidité si extrême qu’on peut suspecter d’avoir affaire à une parodie du genre romanesque traditionnel. C’est plus particulièrement la veine épique qui semble ici tournée en dérision, alors que la critique se focalise sur le personnage du Baron, lequel incarne une noblesse d’épée porteuse des valeurs héroïques mais

chutes, les grimaces, les mimiques. • Le comique de mœurs : le comique consiste à souligner les tendances d'une époque. Au théâtre, les différentes formes de comique qui peuvent être distingués sont : -La parodie : imite de façon moqueuse le style d'un écrivain ou d'un genre. Ex: la parodie d'épopée de Rabelais -Le burlesque : ridiculise un sujet noble Ex: Ubu roi de Jarry -l'héroïque-comique (inverse du burlesque) : traite des réalités ordinaires sur le mode épique. Ex: les animaux décrits