Communauté

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diversité religieuse. Pays multiconfessionnel, de création récente (1920), ouvert à la fois sur l’Occident et sur l’Orient arabe, le Liban abrite une population d’une grande diversité religieuse issue du regroupement, au fil de l’histoire, de 19 communautés religieuses sur un terrain de refuge d’une superficie d’environ 10 452 km2. Le Liban a connu plusieurs guerres dont la cause principale était religieuse, le manque même absence de communication entre les gens et l’absence de culture artistique

aussi une mise en danger du régime du Président A. Bouteflicka déjà affaibli. La France prône depuis 2002 l’apaisement des Mémoires sur la Guerre qui dit enfin son nom en accordant des journées de commémoration et des monuments aux différentes communautés touchées. La parole libérée et le travail des historiens doivent contribuer à la vérité pour tourner la page. Ce travail de mémoire a commencé en Algérie mais l’Etat tarde à reconnaître le côté sombre de sa Révolution Nationale ce qui alimente de

Qu’est ce que la tolérance ?     C’est tout d’abord, reconnaitre les droits universels de la personne humaine, et ses libertés fondamentales. Et parce que les peuples sont différents les uns des autres, seule la tolérance peut assurer la survie des communautés mixtes dans chaque région du globe. Sur ce, la tolérance commence par nous éduquer à accepter l’autre… sans pour autant se soucier de sa couleur, sa religion, et son sexe…     On parle de tolérance, mais il y a aussi l’intolérance, ce qui est tout

locaux ruraux à être fortement dépendant des subventions accordées par l’État central. Par ailleurs, du fait de l’incapacité des petites communautés rurales de fournir les services nécessaires, les grandes villes ont été appelées à jouer un rôle important dans la prestation de services non seulement dans leurs propres juridictions, mais aussi dans les communautés rurales environnantes. De ce fait, les petites villes et les villages ruraux tendent souvent à n’être que de simples unités politiques,

« grégaire » 3ème partie : ligne 17 à 26 La cité est la fin naturelle des communautés humaines. Thèse sur la naturalité de la cité. Thèse sur le fait que l’homme est un animal politique. Enjeux : pourquoi ? Le langage différencie animaux et hommes car les animaux n’ont que la voix. Explication linéaire. I. Appréhension théologique de la polisse Famille puis village mais pas communauté finale. Polisse première forme de communauté. Achevé : deux sens Cité quand autarcie totale. La famille répond aux

une communauté thérapeutique pour personnes toxico-dépendantes. Cette institution accueille environ 45 pensionnaires. La Ferme est le bâtiment principal de l'institution. Le projet thérapeutique de l'institution est constitué de trois phases pouvant se résumer très brièvement de la sorte: désintoxication et structuration, introspection et réinsertion. Il s'agit ici d'un projet thérapeutique de type résidentiel d'une durée de 6 à 18 mois. L'approche thérapeutique se fait autant en communauté (avec

c’est une construction des agents sociaux ainsi qu’une catégorisation de la part des institutions sociales et de la communauté. Puisque notre titre est au pluriel, nous allons désormais définir ce qu’est une « identité collective ». Elle est un rassemblement de membres qui appartiennent à un groupe professionnel, une classe sociale, un groupe d’âge, mais encore à une communauté religieuse ou ethnique particulière. Une collectivité naît d’un double mouvement d’inclusion et d’exclusion de ses membres

pareille... C'est ça l'amour ? Amour. Avec ce mot, on explique tout, on pardonne tout, on valide tout parce que l’on ne cherche jamais à savoir ce qu’il contient. C’est le mot de passe qui permet d’ouvrir les cœurs, les sexes, les sacristies et les communautés humaines. Il couvre d’un voile prétendument désintéressé, voire transcendant, la recherche de la dominance et le prétendu instinct de propriété. C’est un mot qui ment à longueur de journée et ce mensonge est accepté, la larme à l’œil, sans discussion

qualifiaient la situation en Centrafrique de "génocidaire" il y a quelques semaines. Depuis, la France a envoyé des troupes sur place pour appuyer la force de l'Union africaine, la Misca, dans sa mission de stabilisation du pays. Mais, les tensions entre communautés chrétiennes et musulmanes virent aujourd'hui au massacre à la machette donnant au conflit une dimension confessionnelle croissante. Christian Mukosa, chercheur à Amnesty international et spécialiste de la Centrafrique rend compte de cette nouvelle