Commémorer Son Passé

d’établissement, pour l'avoir fait chanter à deux élèves le 8 mai 1999 pour commémorer la capitulation allemande du 8 mai 1945. L'émetteur de la lettre est Boris Vian. Il s'adresse au Président René Coty, destinataire principal, mais aussi à tous ceux qui l'écoutent, c'est-à-dire le public. Elle est présentée sous forme de lettre : – l'énonciateur Boris Vian emploie la 1ère personne et emploie les temps de l'énonciation (présent, passé composé, futur) – il emploie les codes de la lettre : formule d'appel

Sujet 1 : L'historien dans son travail utilise de nombreuses traces du passé, essentiellement des textes. Mais il peut aussi, en particulier pour la période dite contemporaine, s'appuyer sur des témoignages, solliciter la mémoire des acteurs ou des spectateurs des événements. Toutefois, cette trace mémorielle est souvent pas facile à manier car l'empreinte des enjeux sociaux et politiques la rendent subjective. Dès 1962, la mémoire de la guerre d’Algérie a été un enjeux politique qui a plutôt bloqué

vers l'est, c'est-à-dire vers l'Europe dont elle accueillait et allait continuer d'accueillir les immigrants, avec laquelle les États-Unis partagent un passé et des valeurs. Un siècle après le soutien décisif apporté par les Français de Rochambeau et Lafayette aux Insurgents américains, les Français décident d’accomplir un geste fort pour commémorer le centenaire de l’indépendance de 1776. Edouard Laboulaye, observateur de la vie politique américaine, est l’initiateur de ce projet, et confié à son

journaliers, le 18 juillet 1936. Que s'est-il passé ce jour-là, à la Maestranza ? Pourquoi cette fusillade, alors que personne n'en voulait à ces patrons, les paysans désiraient seulement collectiviser le domaine ? Pourquoi tant de temps après procéder à cette inhumation commune, qui apparaît comme scandaleuse ? Juillet 1956, dans le petit village de l'Espagne profonde, à Quismondo près de Tolède, les habitants du domaine de la Maestranza se préparent pour commémorer le vingtième anniversaire du début de

Septembre, est une œuvre architecturale située à New York aux USA. Il a été construit en mémoire des victimes des attentats du 11 septembre 2001 contre les tours jumelles du World Trade Center ainsi que contre le pentagone. Par la même occasion, il commémore aussi la mémoire des victimes des attentats du Pentagone et de Shanksville qui ont eu lieu le même jour. Il sert également de nouveau mémorial pour l'attentat de 1993 contre le complexe commercial new-yorkais. Il est localisé à l'endroit même où

architecture de paysage et il fonde bien plus tard sa propre compagnie et s’associe à Michael Arad pour créer le mémorial du 11 septembre.B/le contexte historique et artistiqueVous l’avez compris, ce mémorial commémore les victimes des attentats du 11 septembre 2001.Que s’est-il donc passé lors de ces attentats ? Tout commence le 11 septembre 2001, des terroristes de l’organisation Al-Quaida fondée par Oussama Ben Laden détournent quatre avions. Ceux-ci vont s’écraser à Shanksville, au Pentagone

est une offrande faite à un dieu en demande d'une grâce ou en remerciement d'une grâce obtenue.) pour commémorer la victoire douteuse sur les troupes françaises de Charles VII à Fournue aux environs de parme le 6 juillet 1495. Le tableau fut placé un an après, en 1496, en retable dans une chapelle construite en Mantoue et pendant l'occupation française de la période de Napoléon, le tableau passe en France et entre au musée de Louvre en 1798. C'est une Tempera sur toile aux dimensions de 280x166.

s’est bien passé. (Marie après un entretien difficile) Interprétation de (2) comme emploi échoïque (Sperber et Wilson): Le locuteur fait écho à une pensée ou à des propos antérieurement prononcés par quelqu’un d’autre (du genre: «Tu verras, l’entretien va bien se passer»), ou par lui-même, pour en suggérer le caractère non pertinent et montrer sa désapprobation. Interprétation de (2) comme emploi prétendu (Clark et Gerrig): Le locuteur prétend asserter que l’entretien s’est bien passé tout en

transpercé par l’épée de Romulus selon d’autres) et restaureront leur grand-père Numitor sur le trône d’Albe. Les vautours Ensemble, ils décident alors de fonder une ville et choisissent « l’endroit où ils avaient été abandonnés et où ils avaient passé leur enfance ». Selon Tite-Live, c’est le droit de nommer la ville et donc celui de la gouverner qui serait à l’origine du conflit fratricide. Pour se départager, les jumeaux consultent les auspices ; Romulus se place sur le Palatin, Remus sur l’Aventin

sous les ordres de son père durant la révolte des Juifs en Palestine.  Lorsque Vespasien devint empereur en 69, Titus resta aux commandes de l'armée romaine en Palestine et mit fin à la guerre par la prise et la destruction de Jérusalem en 70. Pour commémorer cette victoire, son frère, l'empereur Domitien, fit élever l'arc de Titus (v. 81) à Rome. À la mort de son père en 79, Titus devint empereur et se rendit très vite populaire par des dons généreux et des fêtes éclatantes.  Il établit un gouvernement