Compagnie de Jésus

• L'esclavage • Références à la Bible (paradis, livre des Rois…) Candide est un oeuvre qui mêle les genres littéraires. C'est à la fois un roman picaresque et un conte oriental, comme un conte philosophique er un roman d'apprentissage. La Compagnie de Jésus est un ordre religieux fondé par Ignace de Loyola et approuvé en 1540. On appelle ses membres les Jésuites. C'est une religion très puissante sous Louis XIV, et même à l'époque de Voltaire. Le mythe du bon sauvage est l'idéalisation des hommes

en 1694 dans une famille de commerçants jansénistes enrichis par la récente acquisition d'une charge de receveur à la Cour des comptes, François-Marie Arouet dit Voltaire, est élevé chez les jésuites. L'influence exercé par les membres de la Compagnie de Jésus sur l'esprit de Voltaire se vérifie à sa prodigieuse maitrise de la rhétorique, à son goût de la discussion, du théâtre et de l'histoire. Symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre «l’infâme»

portrait d’une Eglise prise entre jansénisme et jésuitisme. Le jansénisme est la doctrine initiée par Jansenius, qui défend les idées de grâce et de prédestination. Ses partisans respectent une morale stricte et austère. Les Jésuites, membres de la compagnie de Jésus fondée en 1534 par Ignace de Loyola, sont traditionnellement les confesseurs du roi et des grands, et pratiquent une religion moins austère. Tartuffe emprunte en effet ses attitudes dévotes aux deux mouvements. Mais les pervertit par l’ostentation

l’Eglise catholique entreprend de se réformer » . D’où la Contre-réforme catholique. C’est en quelque sorte la réplique des catholiques face au mouvement protestant. Ainsi, l’Eglise va se déployer dans l’enseignement avec la fondation de la compagnie de Jésus avec Ignace de Loyola en 1540. Aussi, fut ouvert un grand concile à Trente en Italie dont l’un des objectifs était d’assurer une meilleure formation du Clergé. Même s’il ne durera que quelque temps et sans avoir atteint les objectifs fixés.

commerçants jansénistes enrichis par la récente acquisition d'une charge de receveur à la Cour des comptes, François Marie Arouet, dit Voltaire, est élevé chez les jésuites du collège Louis-le-Grand. L'influence exercée par les membres de la Compagnie de Jésus sur l'esprit de Voltaire se vérifie à sa prodigieuse maîtrise de la rhétorique, à son goût de la discussion, du théâtre et de l'histoire. Parallèlement, il est introduit dans les milieux mondains par son parrain, l'abbé de Châteauneuf, qui

protestante. Il est certain que l’Art baroque se développa très peu dans les pays de religion protestante, comme les Provinces-Unies (actuellement Pays-Bas) et l’Angleterre, et même par certains côtés en France. (1) Qui sont les Jésuites ? Ou « Compagnie de Jésus ». C’est un ordre religieux fondé en 1540 par Ignace de Loyola. Ce sont principalement des missionnaires, qui veulent diffuser le Catholicisme, dans une période où il est concurrencé par le Protestantisme. Ils font partie de la Contre-réforme

protestantisme), le catholicisme connaît un élan nouveau. La croyance est plus profonde, la fréquentation des lieux de culte conseillée, et les attitudes de piété recommandés, d'où l'éloquence religieuse de Bossuet et Fénelon. Mais il y a des excès : la compagnie du Saint-Sacrement devient un groupe de pression : elle sera dissoute en 1665. C'est le renouveau du catholicisme à cette époque qui est à l'origine des multiples attaques contre Molière, pour ses pièces Tartuffe et Dom Juan, on le soupçonne d'impiété

radicalement opposées du catholicisme. Selon Jansen, le libre-arbitre de l’Homme n’existe pas, seule la Grâce Divine est efficace pour le Salut, et seuls les prédestinés seront sauvés ; c’est la naissance du Jansénisme Un Jésuite est un « membre de la Compagnie de Jésus » pour lui Dieu accorde à tous les individus la « Grâce suffisante », c’est à soi, en tant qu’Homme que l’on doit son salut. Par son action l’Homme peut transformer la Grâce suffisante en « Grâce Efficace ». 5-Le Baroque a- Tentative de

est visible à la lecture de leurs œuvres. Cependant, Nicolas P. Abram, historien jésuite, fait ressentir aux lecteurs dès le début du texte l’influence de son ordre religieux. Né à la fin de XVIe siècle en réponse à la Réforme protestante, la compagnie de Jésus, plus connu sous le nom de « jésuites » est un ordre catholique dont le vœu prépondérant est l’obéissance spéciale au pape. Ainsi, à la ligne 7, Nicolas Abram déclare : « la plupart des soldats qui composaient ces armées étoit (étaient) hérétiques :

déroulement des missions et les expériences vécues par ceux qu’on appelait les « Soldats du Christ » changèrent brusquement de modèle à partir de 1632. Ce qui au début devait se limiter à un tirage restreint pour les membres de l’ordre de la Compagnie de Jésus devint un ouvrage de droit public, ce qui altéra profondément ses fonctions premières qui se limitaient à renseigner les têtes dirigeantes jésuites d’Europe sur les progrès en Nouvelle-France et à motiver les autres missions outre-mer de l’ordre