Compagnie néerlandaise des Indes orientales

territoires dépendent encore aujourd’hui d’États européens (Martinique, Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélemy à la France ; Montserrat, Iles Vierges, Turks et Caïcos, Iles Caïmans au Royaume-Uni ou encore les petites îles des Antilles néerlandaises : Saint- Maarten, Curaçao, Bonnaire, Saba et Saint Eustache aux Pays-Bas). Le Bassin Caraïbe se retrouve donc en position d’interface américaine et européenne car les échanges sont nombreux et variés entre ces deux continents et le bassin comme

la Hollande crée la Compagnie Néerlandaise Unie Des Indes Orientales, regroupant plusieurs sociétés maritimes. Elle est créée pour une durée déterminée comme la plus part des sociétés de l’époque, ici elle est créée pour 22 ans. La compagnie Unie est créée à partir d’une souscription populaire, la levée de fond absolument gigantesque puisqu’elle dépasse par 10 fois le capital de la compagnie anglaise des Indes qui a été créée seulement 2 ans plus tôt. Avec cette compagnie, Amsterdam va se créer

marronage. Introduction – 1/2 Les chemins d’une liberté, esclavage et abolitions Doc A. Montesquieu, L’Esprit des lois, 1748 Doc B. Bernardin de Saint-Pierre, Voyage à l’Île de France, 1770 Doc C. Raynal (et Diderot), Histoire des deux Indes, 1780 L’anti-esclavagisme, d’inspiration chrétienne ou humaniste, est bien présent chez les écrivains des Lumières, même s’il n’est pas généralisé. Doc A. Extraits de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 Doc B. Décret d’abolition

(augmentations de capital des sociétés par exemple). Plus généralement, ce sont les « investisseurs institutionnels » qui jouent un rôle important sur ce marché en raison de leur puissance financière. Appelés aussi « zinzins », ils sont constitués par les compagnies d’assurances, les caisses de retraite, la caisse des dépôts et consignations et les organismes de placement collectifs créés par l’ensemble des institutions financières et bancaires. Ils peuvent aussi intervenir massivement sur le marché secondaire

..................................................................................................... 111 La fin de l’empire des Indes (1) .......................................................................................................................................................................................................... 111 La fin de l’empire des Indes (2) ...........................................................................................................................

peut le faire à travers une bureaucratie spécifique : c’est le modèle espagnol. L’Etat peut aussi octroyer des monopoles sur un territoire, un type de produit, à des compagnies privées. La compagnie néerlandaise des Indes Orientales est, elle, une sorte une grosse compagnie privée. Les états vont jusqu’à accorder à ces compagnies d’entretenir des armées privées sur les territoires étrangers. Le monopole de la force fait l’objet d’une forme de délégation à des armées privées, entretenues par les

exportations d’esclaves en provenance d’Afrique remontent à la plus haute antiquité : la Nubie en livrait au pharaon d’Égypte. Cependant, c’est à partir de l’expansion arabe au VIIe siècle, que se mettent en place les traites transsaharienne et orientale. Le Moyen Age L’empire romain a diversement évolué : des provinces sont conquises par les arabes, d’autres, en Orient surtout, forment l’empire de Byzance. Sur toutes ces terres l’esclavage accompagne d’autres formes de soumission. La traite des

États italiens à la veille des guerres d’Italie. I. Le royaume de Naples et la question napolitaine. — II. L’État pontifical. — III. Les républiques et les duchés du nord. — Bibliographie. Chapitre VI. — La monarchie polonaise et le monde oriental. I. Casimir IV Jagellon et la conquête de la basse Vistule. — II. La mainmise polonaise sur la Bohême. — III. La mainmise polonaise sur la Hongrie. — IV. L’orientation nouvelle de l’État polonais à la fin du XVe siècle et la Scandinavie. — V

Les coups d’arrêt sont les batailles de la mer de Corail (mai 1942), Midway (juin 1942) et Guadalcanal (février 1943). 7. À la fin de la guerre, le Japon contrôle encore son territoire national (à l’époque : Japon, Corée et Formose), la partie orientale de la Chine, l’Indochine, la plus grande partie de l’Indonésie, sans oublier les territoires de ses alliés (protectorat du Mandchoukouo et Siam). 8. L’avancée des Alliés en Europe et en Asie montre que la guerre se déroule sur terre. Les débarquements

naviguer en haute mer. Le Commodore Matthew Perry mit un terme à cette politique en 1853. a. Le commerce sous le Sakoku. En théorie, les seules influences étrangères permises étaient celles des Hollandais (par l'intermédiaire de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales) sur l'île artificielle de Dejima dans la baie de Nagasaki, mais le commerce avec la Chine était aussi géré à Nagasaki. Des échanges commerciaux avec la Corée avaient lieu via la province Tsushima (aujourd'hui dans la Préfecture