Comparaison De Flaubert Et Zola

émotions, la nature, l'individualisme et souvent l'aspect irrégulier et imprévisible de la vie. figures de style Métaphore : C'est une comparaison sans outil de comparaison (comme "comme" ou "tel"). Par exemple : "Ses yeux sont deux étoiles." Comparaison : Elle met en relation deux termes avec un outil de comparaison. Par exemple : "Il est courageux comme un lion." Personnification : Elle attribue des qualités humaines à un objet ou à un concept inanimé. Par exemple

Texte : Nana ou la « Mouche d'or », Émile Zola, Nana (1880) Le roman décrit l'ascension et la chute de la courtisane Nana pendant les trois dernières années du Second Empire. Femme fatale et « mangeuse d'hommes », celle-ci les collectionne (hauts dignitaires, aristocrates, bourgeois,...) et les mène immanquablement à leur perte (faillite, suicide,...). L'extrait proposé met en scène, dans la chambre de Nana, le comte Muffat et son amante

TEXTE 1 : Gustave Flaubert, célèbre romancier également l’auteur de …, publie le roman Madame Bovary dans la seconde moitié du XIXème siècle (1857). Le titre a un rapport avec le personnage principal mais n’a pas de lien direct avec l’œuvre, c’est donc un incipit original et romanesque qui a pour but de séduire et informé le lecteur mais aussi « in medias res », en plein cœur du récit. Cela à un intérêt narratif ; l’entrée dans le roman est dynamique. Madame Bovary est la femme de Charles Bovary

*Madame Bovary*, Gustave FLAUBERT *(Lecture* analytique) (Séance 3) Introduction : Le XIXe siècle voit l’essor et l’apogée du genre romanesque notamment avec le mouvement réaliste et naturaliste et les grandes sagas telles que la Cdie Humaine de Balzac ou Les Rougeon –Mac- Quart de Zola. Entre ces deux sagas l’auteur Flaubert fait paraître en 1857 Madame Bovary, roman racontant l’histoire d’Emma Rouault qui deviendra l’épouse de Charles Bovary officier de santé dans la campagne normande

Présentation du roman Au XIXème siècle, il y a trois genre littéraire : - le romantisme (Chateaubriand, Hugo, …) - le réalisme (Balzac, Flaubert, …) - le naturalisme (Zola qui trouve ce style dans ce roman, Maupassant, …) Thérèse Raquin est le premier grand roman du jeune Zola, il a 27 ans. Ce roman a été publié d'abord en feuilletons dans un journal et Zola a su par un découpage habile de son texte, réveiller l'attention et piquer la curiosité du lecteur mais aussi trouver son propre style :

Zola - La Curée - L’Incipit Zola dans sa lettre à Louis Ulbach (annexe 3) présente La Curée comme appartenant à un grand ensemble, le 2ème épisode de l’histoire des Rougon-Macquart. Il s’agit avant tout de la peinture d’une société, un tableau de mœurs, qui est l’aboutissement d’une longue documentation. Il met donc en application ici ses principes naturalistes : un milieu : la société française sous le Second Empire, et des personnages dans ce milieu : Renée, « la Parisienne affolée », Maxime

 Les avantages à lire des œuvres d'antan sont multiples et variés. Avant, les mouvements littéraires étaient bien établis, notamment le réalisme et le naturalisme avec des auteurs tel que Zola, Maupassant, Flaubert. Les romans réalistes sont particulièrement intéressant car ils sont riches en descriptions et nous renseigne sur la vie d'autrefois: mœurs, coutumes, lieux, sociétés. Quels intérêts peuvent trouver un lecteur d’aujourd’hui à lire des œuvres des siècles passés 

mécénat amène de nombreux écrivains à faire l’éloge de la politique en place : nationalisme, catholicisme, monarchie. L’idéologie de l’état est confirmée par la poésie de louange (hymnes, odes de Ronsard) qui appliquent aux rois superlatifs et comparaisons héroïques. XVIIème siècle : -Le Baroque (situé à la frontière entre le XVIème et le XVIIème : 1570-1650) Le mot baroque vient du portugais barroco qui signifie : perle irrégulière. Il s ‘applique d’abord aux arts plastiques à la fin du XVIème

Commentaire français : Zola, La Curée, 1871, chapitre 1 : À cette heure, des globes de verre dépoli éclairaient les feuillages de nappes laiteuses. Des statues, des têtes de femme dont le cou se renversait, gonflé de rires, blanchissaient au fond des massifs, avec des taches d’ombres qui tordaient leurs rires fous. Dans l’eau épaisse et dormante du bassin, d’étranges rayons se jouaient, éclairant des formes vagues, des masses glauques, pareilles à des ébauches de monstres. Sur les feuilles lisses

Berlin! » contribuent eux aussi à l'esthétisation de la scène, ainsi que la mention du rideau qui se « gonfle ». Le « rire » de Nana possède lui aussi un caractère théâtral: « elle tirait dans un rire abominable. » - les jeux d'ombres et de lumière: Zola a particulièrement travaillé la scène de façon très visuelle, à la façon d'un peintre, en insistant sur l'éclairage et en employant le champ lexical de la lumière: « elle songea que cette lampe n’était pas convenable, il fallait un cierge; et, après