Comparaison Keynes Et Friedman

grandes fonctions macroéconomiques, résultent de l’agrégation de décisions individuelles. On regarde quelles sont les relations dans une économie nationale donnée entre les grands agrégats (valeur économique construite à l'échelle du pays tout entier). Keynes, a mis en avant cette approche macroéconomique dans les années 1920-1930. Les grandes questions: - D’où vient l’inflation? - D’où vient le chômage? Peut on le réduire et comment? - D’où viennent les inégalités et comment les réduire? B) Le circuit

synthèse du modèle de Walras et Pareto. Il développe le modèle du consommateur. - Jean Tirole (né en 1953) : analyse des marchés et de la concurrence imparfaite entre les entreprises. - Ecole de Chicago durant les années 1970 : chef de file Milton Friedman (1912-2006). Prône un laisser-faire en faveur de la monnaie (intervention minimale de l’Etat). En période de crise, position ultralibérale c'est à dire que l’état ne doit pas intervenir. - Les nouveaux économistes classiques : Robert Lucas (né en

réguler l’économie. 1970’s : hausse du chômage, hausse de l’inflation, baisse de la croissance et impôt fortement critiqué. Si l’Etat ne prélève plus de recettes, il ne dépensera plus. Ces raisons sont toujours invoquées aujourd’hui. a) Milton FRIEDMAN Professeur à l’université de Chicago, il a conseillé Nixon et Reagan qui a appliqué ses théories. Il a également écrit Capitalisme et liberté en 1962, « 20 économistes face à la crise » en 1999. Il constate que les interventions de l’Etat dans

Barres de sel, coquillages, plumes, cigarettes dans les prisons ; biens d’ornementation ou biens de consommation … « N’importe quel bien susceptible de fournir une garantie provisoire sur le pouvoir d’achat général, peut faire office de monnaie » M. Friedman. • Commentaire Justifiez le choix de ces matériaux et proposez d’autres, exemples : rareté, cherté, désir de posséder la marchandise en question etc. Exemple pédagogique : le cas du diamant. 1.2 La monnaie métallique Considérée quelquefois comme

un second temps. L’analyse est menée en terme réel et elle seule importe, notamment pour déterminer les conditions de réalisation de l’équilibre. Ensuite la monnaie est introduite mais cela ne change rien au résultat précédemment obtenu. John Menar Keynes, au début du 20ème refuse cette démarche car il estime que la monnaie joue un rôle essentiel dans l’économie. L’approche est intégrationniste parce que la monnaie et les phénomènes réels sont intimement liés, et parce que les phénomènes économiques

immeuble. *** Grandes Théories économiques - Adam Smith : l'offre et la demande déterminent le prix = la main invisible. - J M Keynes : L'état ne doit pas emprunter pour ses dépenses (bien ou service périssable) mais pour son investissement (on a un retour sur investissement). IMMOBILIER : Un loyer est une dépense et un achat est un investissement. - Monétaristes (Friedman) : L'état doit réguler. IMMOBILIER : Taux Directeur : c'est le taux d'intérêt des crédits de la banque centrale aux banques

cette conviction a permis aux E-U d’éviter en partie les divisions et les tensions de classes qui ont marqué certains pays Eu. Le Haut vu de près : il veut augmenter sa part du gâteau Paye des PDG = 200 fois celle des travailleurs ordinaire. Comparaison internationales Niveau d’inégalité aux E-U= le plus élevé des pays industriels avancés (et l’écart augmente) depuis le milieu des années 80. Avec cette inégalité forte et en augmentation, l’évolution du revenu (ou PIB) part hab ne nous apprend

partagent cette opinion. n Selon la seconde, les capacités de production disponibles augmentent avec le jeu de l’investissement, et la croissance résulte d’un ajustement dialectique de ces capacités de production et de la demande. Ce sont les thèses de Keynes, Harrod et Domar. n La troisième vision rassemble les approches issues des travaux de Malthus, entre pénurie de ressources naturelles et pression démographique. 23 n Et la dernière souligne que le développement est le fruit de changements techniques

Le 1er à avoir émit une idée est un député en 1827 « saluer ce milliard vous ne le révérer plus ». 2 comparaisons = - celle de l’évolution du montant du budget (dépenses publiques) par rapport au revenu national. En terme de grande masse, on constate une relative stabilité au alentour de 10% jusqu’en 1945. Puis depuis 1945 au alentour de 20%, plus ou moins avec des crises. - Comparaison des charges publiques par rapport au PIB. Le PIB est égale à la somme des rémunérations versées aux salariés

proposé aux économistes une synthèse : la synthèse néoclassique. Paul Samuelson a obtenu le consensus des économistes. 1) Avec les outils économiques, importance fondamentale de la microéconomie 2) Se référer à la macroéconomie JM Keynes : la Demande globale de l’économie peut stimuler pour relancer l’économie, la demande 3) 1958, W. A. PHILLIPS : Il existe un choix de politique économique entre un certain taux d’inflation et un taux de chômage considérable