Complicité Lecteur Auteur

Quelle que soit l'époque ou le mouvement littéraire, les auteurs ont su défendre une cause à travers leurs écrits. Par les moyens que nous allons analyser, nous pouvons nous demander si l’essai est le genre le mieux à même de révéler les défauts d’une société. Comment les auteurs parviennent-ils à transmettre leur point de vue à travers leurs ouvrages ? Nous allons étudier trois moyens spécifiques : l’essai qui fait partie de l’enseignement direct, l'apologue et le dialogue qui sont les deux formes

auprès des auteurs. Tout d’abord comme l’affirme Aragon, l’utopie peut être nuisible à la société. En effet le principe de l’utopie est de décrire une société qui vivrait dans un monde totalement fictif et imaginaire, l’ile la colonie de Marivaux où les personnages ont subit un naufrage et arrivent sur une île déserte ou dans un monde inaccessible comme dans Candide de Voltaire, l’Eldorado. Un monde qui serait inventé par l’auteur. Il est donc déjà difficile pour le lecteur de faire une

autobiographique dit classique, André Gide en utilise certains aspects pour construire son récit qu’il veut dramatique. Le lecteur est alors confronté à un récit autobiographique qu’il peine à dissocier d’un simple récit narratif, difficultés engendrées par les stratégies auxquelles recourt André Gide. La dualité du « je » narré et du « je » narrant ainsi que l’utilisation qu’en fait son auteur appartiennent clairement à ses stratégies narrative. Ce double « je » est donc présent tout au long du texte, mais

sorte de mage. Le symbolisme oscille ainsi entre des formes capables à la fois d'évoquer une réalité supérieure et d'inviter le lecteur à un véritable déchiffrement : d'abord voué à créer des impressions, notamment par l'harmonie musical, cependant un souci de rigueur l'infléchira bientôt vers la recherche d'un langage inédit. Stéphane Mallarmé par exemple est un auteur du Symbolisme. le Cubisme : Le cubisme est un mouvement artistique qui s'est développé principalement de 1907 à 1914 à l'initiative

prologue soumis à notre étude est extrait d'une pièce de théâtre « Juste la fin du monde », une œuvre écrite par Jean-luc Lagarce en 1990, dans les dernières années de sa vie. Jean-luc Lagarce est un auteur contemporaine Français, à sa mort en 1995, c’était un metteur en scène connu mais un auteur encore méconnu, est c'est certainement du parce que son langage théâtral, était trop en décalage avec son époque. L'auteur dans ce prologue nous résume en quelque sorte l'histoire sa la pièce, en nous

 JORGE LOUIS BORGES Pierre Ménard, auteur du Quichotte « Interprétation, non explication. Il n’y a aucun état de fait, tout est fluctuant, insaisissable, évanescent : ce qu’il y a de plus durable ce sont encore nos opinions. Projeter un sens – dans la plupart des cas une nouvelle interprétation superposée à une vieille interprétation devenue incompréhensible et qui maintenant n’est plus elle-même que signe ».  Nietzsche, Fragments

scientifiques et le progrès technique ont permis de développer la production. La société tout entière a désormais accès à la culture écrite, la presse et la littérature s'adressent donc à un public nouveau et très divers caracteristique : Avant tout, ces auteurs ont un point commun : s'éloigner des excès romantiques. Les romanciers réalistes donnent tous de l’importance aux personnages et au milieu social et utilisent la 3ème personne du singulier : le narrateur se fait discret. Dans les romans Des

Devoir 1 Formes, instruments et fonctions de l’argumentation DISSERTATION Depuis des siècles, les auteurs, les scénaristes et les réalisateurs cherchent à dénoncer les événements majeurs de leur temps, que ce soit politique, économique, religieux ou social au travers de leurs films ou œuvres littéraires qui utilisant des personnages et situations imaginaires, l’on appellera fictions. Cela est opposer aux essais, lettres ouvertes et pamphlets, qui disposent pourtant du même rôle. Cette volonté s’affirme

d'abord que la fiction est un moyen de capter la bienveillance du lecteur par le plaisir du récit. Nous examinerons ensuite les avantages pour l'écrivain de masquer une leçon par une fable. Enfin, nous mettrons au jour les richesses offertes par l'apologue. I. Le plaisir du lecteur 1. Le lecteur est transporté dans un « ailleurs » Si l'écrivain choisit la fiction pour transmettre un message, c'est avant tout pour plaire au lecteur. « Docere et placere », « instruire et plaire », écrivait Horace

écrit par Jean Racine et publié en 1677. Ils sont considérés avec Molière comme les plus grands dramaturges du XVIe siècle, l’ère du mouvement Baroque et du Classicisme. Racine et Corneille, dans leurs oeuvres, réalisent un appel à la pitié des lecteurs. Le troisième texte est un poème extrait des Fleurs du Mal de Charles Baudelaire qui s’intitule «Les métamorphoses du vampire». C’est un des poèmes qui fut intégré dans les Epaves, les oeuvres censurées lors du procès des Fleurs du Mal en 1857 et