Complot de famille

Henri VIII annonça ses fiançailles avec Jeanne Seymour. Jeanne Seymour [pic] Jeanne Seymour (v. 1509-1537), reine d'Angleterre (1536-1537) troisième femme du roi Henri VIII. Née dans le Wiltshire, sœur d'Edward Seymour, issue d'une vieille famille d'origine normande, elle fut dame d'honneur de Catherine d'Aragon puis d'Anne Boleyn, les deux premières femmes d'Henri VIII. Moins de deux semaines après l'exécution d'Anne Boleyn (1536), Jeanne Seymour épousa le roi lors d'une cérémonie privée.

Ve siècle avant J.-C., coïncide, à Athènes, avec une période de transformations profondes où l'esprit civique et les traditions cèdent devant les progrès de l'individualisme et de la critique. Né en 450 avant J.-C., il se rattache aux deux plus grandes familles d'Athènes : par sa naissance aux Alcméonides et à Périclès - qui à la mort de son père, devint son tuteur – et par son mariage aux Kérikes. Sa brillante intelligence, ses dons d'orateur s'avivent à fréquenter des esprits distingués : tout jeune,

INTRODUCTION En parlant des attentats du 11 septembre 2001, l'écrivain Marc-Edouard Nabe déclara: « ce que je n’aime pas dans les thèses du complot, c’est que c’est toujours une réduction du réel à l’échelle de l’incapacité des complotistes à imaginer la réalité telle qu’elle est »1. Depuis quelque temps déjà on assiste à la parution d'écrits, non-dépourvus de qualités et de pertinences, réfutant la doctrine conspirationniste, largement répandue chez la masse mais dont la poussée idéologique

avec Charles Quint, empereur d'Allemagne. Ce dernier avec la complicité du pape, a remis le pouvoir entre les mains du duc Alexandre de Médicis, issu d'une des vieilles familles de la cité. Le duc est jeune et mène une vie débauche. Il règne sur la ville par la terreur, ne tenant compte ni du peuple, ni des autres grandes familles de Florence. On le déteste, mais pas autant que son cousin, son âme damnée : Lorenzo de Médicis, méchamment surnommé Lorenzaccio. Acte I: Le 1° acte décrit la situation

PERSONNAGES PRINCIPAUX : Hans Schwarz : C’est le narrateur de l’histoire. Son père est médecin, il a 16 ans. Sa famille est juive. Il va au lycée de Stuttgart. Il est timide et avant l’arrivée de Conrad, il est assez solitaire. Il est exigeant en amitié et il sera profondément blessé par l’attitude de Conrad. Conrad von Hohenfels : Il a 16 ans. Il est issu d'une famille riche. Il est réservé, mais toujours très poli et souriant. Il se lie d’amitié avec Hans. Sa mère déteste les juifs et

une éducation plus poussée que celle que l’on réserve habituellement aux filles. Elle a appris le latin et le grec. Béatrice d’Oseraie (surnommée Calliope par le groupe des Muses) donne à Olympe son laissez-passer l’autorisant à rendre visite à sa famille. Olympe - qui a réussi sans peine à ne pas éveiller les soupçons de la soeur tourière- quitte le couvent. Dans sa précipitation pour rejoindre le carrosse des Oseraie, elle bouscule un jeune homme; celui-ci a le temps d’apercevoir son visage. Le cocher

alors depuis de longues années dans son château de La Mothe-en-Brie. [Nature du document, destinataire] C’est en réaction aux mémoires du favori de Gaston d’Orléans, le comte de Montrésor, qu’il prit la plume. Montrésor avait été mêlé aux nombreux complots contre Richelieu au cœur desquels se trouvait son maître : c’est la « dangereuse vermine » (écrit Goulas) qui a cherché à le pervertir. Plus mesuré, il sait reconnaître les mérites comme les travers de l’homme, mais s’il ne faut sans doute pas suivre

vraiment d'ami car aucun de ses camarades correspond à l'idéal d'un ami. Un jour, un nouvel élève entra au Karl Alexander Gymnasium, Hans fut un impressionné par son élégance. Il se trouva que le nouvel élève était Conrad von Lohenburg, descendant d'une famille de nobles guerriers. Hans tentera plusieurs démarche pour que Konrad s'intéresse à lui. Hans réussira à lorsque Konrad s'intéressera aux pièces de la collection d'Hans. A la sorti des cours Hans et Konrad sont rentrés ensembles et se sont serres

de la défense : le chef multiplie les impératifs dont le sens violent et intransigeant s’oppose à la jeunesse fraîche des images du vers précédent : « liez-attachez ». La thématique du lien est omniprésente dans les vers 160-164 : les mots de la famille de lien se font écho ; au verbe « détacher » répond le verbe « attacher » : l’image de l’ « emprise » insurmontable s’installe. • Anticipation parfaite du scénario : les vers 193-196 sont la reprise exacte de la scène exposée par Ulysse. A sa

Vipère au poing I/ Biographie de l’auteur Hervé Bazin est né le 17 avril 1911 à Angers dans une famille bourgeoise, il passe une enfance tourmentée, se heurtant surtout à sa mère, sèche et autoritaire. La rigueur des précepteurs et des professeurs de collège n’arrange rien. L’adolescent fait des fugues et se rebiffe. Inscrit contre son gré à la faculté catholique de droit d'Angers, Hervé Bazin refuse de passer les examens. Il étudie en cachette la botanique. Ses parents l'obligent