Comprendre Le Texte Caligula

seul doit « rendre des comptes », et c'est là ce qu'on pourrait véritablement appeler le danger de la liberté. Celui d'avoir à porter le poids, seul, de nos décisions, et le fardeau des reproches, quand ces décisions sont mauvaises. Pourtant, le texte de Kant le montre bien : le danger d'assumer sa propre liberté, par l'exercice de son entendement, n'est en définitive pas si grand. À force de chutes et d'erreurs, on apprend à marcher et à affronter l'existence, enfin débarrassé de la dépendance

vêtements: "simple appareil" / ravisseurs en armes * opposition douceur/ violence : larmes / armes -douceur / ravisseur (scène : à la fois un souvenir et une rêverie dans un récit qui est surtout un tableau tout en contraste). * le dramaturge place le texte sous le signe de la dualité et de l'ambiguïté qui caractérise l'amour de Néron. II. Néron amoureux A. Le ravissement Passivité de Néron : • position inactive: " Immobile", participes passés "saisi" accentue l'immobilité par le sens du verbe + complément

Terminé Sisyphe. Les trois Absurdes sont achevés », note Albert Camus dans ses Carnets à la date du 21 février 1941. Il s’agit des trois volets de la réflexion du jeune écrivain sur l’Absurde : un essai, Le Mythe de Sisyphe, une pièce de théâtre, Caligula et un roman, L’Étranger. Fruit d’une longue gestation, l’écriture du roman, initiée durant l’été 1939, s’est étendu de janvier au 1er mai 1940. Camus en confie la lecture au printemps 1941 à son ancien professeur de philosophie, Jean Grenier, et

pièces de théâtre connaissent un grand succès : En attendant Godot (1948-1949), Fin de Partie (1955-1957) et Oh Les Beaux Jours (1960). Elles sont souvent considérées comme représentatives du «theatre de l absurde »,(tout comme Camus aves sa piece Caligula ) terme rejeté par Beckett - qui ne souhaitait pas être assimilé aux existentialistes (comme Jean Paul Sartre ou Albbert Camus . Ces pièces traitent du désespoir et de la volonté d'y survivre, tout en étant confronté à un monde incompréhensible.

éternellement tiraillé dans sa quête de sens par un monde dont il ne possède pas les clés de compréhension. Ce cycle est constitué de trois autres ouvrages : Le Mythe de Sisyphe (1947) et les pièces de théâtre Caligula (1938) et Le Malentendu (1944). Les derniers romans d’Albert Camus : · L’Exil et le royaume (1957). · Réflexions sur la peine capitale

Texte 1 : Jacques le Fataliste et son maître(1796), histoire de Mme de La Pommeraye et du chevalier des Arcis Introduction  : Denis Diderot (1713/1784) auteur du siècle des Lumières. C’est un philosophe : un des directeurs de l’Encyclopédie (1751/1772). Il est aussi auteur de pièces de théâtre. Il invente un nouveau genre, le « drame bourgeois ». Il était aussi critique d’art : Salons. Enfin il a écrit des romans parus après sa mort : Le neveu de Rameau et Jacques

lui, nécessaires puisqu’elles permettaient à l’homme qui parvenait à les assouvir d’être heureux, Socrate cherche alors à le convaincre de leur impasse et lui montre qu’une vie de contentement ne peut se trouver que dans une vie raisonnée. Le texte débute par une réponse : celle de Socrate, qui, après avoir écouté l’avis de Calliclès, le gratifie de sa sincérité. Calliclès vient en effet d'exprimer clairement sa pensée sur le rapport qu’un homme fort doit entretenir avec ses passions. Bien que

pour picard, la clé du héros est là, consentement de subir la monde au lieu de les combattres. Néron dt Julie lui échappe. Il y a une chose qu le héros ne peut faire : se faire aimer Chez Corneille le héros ne fait rien pour être aimer. Texte de François Mauriac = auteur de La vie de Jean Racine , Caractéristiques du héros racinien liées à l’influence de la morale janséniste des Messieurs de Port Royale, des maîtres extrêmement sévères qui lui montrent une vision assez sombre du monde

sa famille : son fils, son oncle et mari. Elle est excessive. Chaque texte exprime une de ces tactiques pour arriver à ses fins. Ce concentré de manipulations met en évidence un caractère froid et sa focalisation sur son but sans se soucier des obstacles et des conséquences de ses actes. « quae cunctis malae dominationis cupidinibus flagrans » (qui brûlant de toutes les passions d'une domination malsaine). Dès le premier texte, nous avons une phrase qui témoigne de ce caractère : « spreta praesentium

sommes : en 56 ap.JC. Le moment : Le moment exact où commence la pièce est indiqué dés le vers 2 : « Faut-il que vous veniez attendre son réveil ? » L’action    L’élément-clé (l’élément perturbateur) est révélé progressivement au cours du texte : v.10 – 14 : « Contre Britannicus, Néron s’est déclaré / L’impatient Néron cesse de se contraindre / Las de se faire aimer, il veut se faire craindre, / Britannicus le gêne … » Mais il faut attendre le vers 54 pour en connaître la nature exacte :