Comté de Poitiers

le frère de Louis XI, Philippe, le comte de Poitiers assume avec autorité la régence, en attendant la naissance de l’enfant et sa majorité s’il s’agit d’un fils. Malheureusement, l’enfant prénommé Jean meurt dans les premiers jours qui suivent sa naissance. S’ouvre alors une succession sans descendance mâle directe. Si bien que la couronne peut aller soit en ligne directe à la fille Jeanne du défunt roi, soit en ligne indirect à son oncle Philippe de Poitiers. Deux camps se forment, l’un défendant

Nemours présent et caché. → Lettre du comte de Bussy-Rabutin (mercure galant) “Cela sent encore bien le roman de faire parler les gens tout seuls”La princesse est-elle maîtresse de son destin ? Toutefois , il reste à la fin du roman un déterminisme : elle est soumise à sa vision négative et pessimiste de l’amour Un manque de foi en l’amour : le discours à Nemours ● la passion est destructrice ● déja souffert à cause de la lettre Le contrepoint : Diane de Poitiers : Le 2ème contrepoint : Mme de Thémines

épousé le duc de Savoie. Appelée Madame sœur du roi, elle fait partie de la cour. La Reine, Cathérine de Médicis (1519-1589), épouse d'Henri II - elle déteste Mme de Valentinois. Pourquoi ? Dans le livre : Elle est la reine. A propos de Diane de Poitiers, elle est experte de la bienséance:"L'humeur ambitieuse de la reine lui faisait trouver une grande douceur à régner; il semblait qu'elle souffrît sans peine l'attachement du roi pour la duchesse de Valentinois, et elle n'en témoignait aucune jalousie

trône.A la mort de Louis XI, le roi laisse pour toute descendance une petite fille, Jeanne, âgée de quatre ans et peut-être l’enfant qui naîtra de la reine alors enceinte. Fort de cette situation imprévue, le frère de Louis XI, Philippe, le comte de Poitiers assume avec autorité la régence, en attendant la naissance de l’enfant et sa majorité s’il s’agit d’un fils. Malheureusement, l’enfant prénommé Jean meurt dans les premiers jours qui suivent sa naissance. S’ouvre alors une succession sans descendance

AGBEZOUHLON Laurent Commentaire de texte Pour le 16/12/202132017954 « Bataille de Poitiers » « Père, gardez-vous à droite, père, gardez-vous à gauche. ». Cette phrase, extraite d’Histoire de France rédigée par Victor Duruy, fut prononcée par Philipe II de Bourgogne à son père le roi Jean II. Elle fut prononcée le 19 septembre 1356 sur le champ de la bataille de Poitiers, en pleine guerre de Cent Ans entre le royaume d’Angleterre et de France. Cette bataille, qui s’est déroulé à Nouaillé-Maupertuis

Bel, le réseau d’alliances françaises s’étend jusqu’en Russie[10]. Toutefois, malgré les confiscations territoriales de Philippe II Auguste, saint Louis et Philippe IV le Bel, les rois d’Angleterre ont conservé l’étroit duché de Guyenne et le petit comté de Ponthieu : le roi d’Angleterre est ainsi le vassal du roi de France. ------------------------------------------------- Royaume d'Angleterre Yvain secourant la damoiselle. Enluminure tirée d'une version de Lancelot du Lac du XVe siècle. Le

Office régional culturel ChampagneArdenne (ORCCA) 33 avenue de Champagne 51200 Epernay Lydie Matteï Cinémathèque de Corse Espace Jean-Paul De Rocca Serra BP 50 20537 Porto Vecchio Cedex Amandine THEVENIN Maryse MERCIER Conseil régional de Franche-Comté 4 Square Castan 25031 Besançon Cedex Didier Kiner Nicolas Chaudagne Maud Alejandro Natacha Juniot ACRIF 19 rue Frédéric Lemaître 75002 PARIS Françoise Bévérini Isabelle Laboulbène Anne Bargain CIP 135 rue Saint Martin 75004 PARIS Catherine Augé Itinérances

- Sur les Alamans Batailles : - Soissons. (Histoire du vase + Francisque = Hache de guerre à deux tranchants) - Tolbiac Baptême de CLOVIS en 496 à REIMS par l’Evêque REMI. -Vouillé (Plaine de) (Près de Poitiers) L’expansion du Christianisme en occident. Le royaume sera sans cesse partagé entre ses successeurs et ne sera uni que sous le règne du ROI DAGOBERT. A la fin des Mérovingiens les rois n’ont plus d’autorité et c’est le maire du Palais qui

Malgré quarante ans d'âge, il veut prouver sa vigueur à sa chère maîtresse Diane de Poitiers, dont il porte les couleurs (le noir et le blanc). La reine Catherine de Médicis, superstitieuse, est torturée par de mauvais pressentiments. Elle fait demander au roi de ne pas jouter. Après une première passe réussie, celui-ci lui fait dire qu'il s'accorde une dernière lance. Son adversaire est un jeune homme, le comte Gabriel de Montgomery, qui n'en mène pas large. Et l'accident se produit. Au premier

Elle la rassurait sur l’avenir, car Leonor ne connaissait que trop l’inaotitude de Jean san Terre à défendre l’heritage des Plantagenets. Elle comblait aussi ses voeux les plus secrets, puisque le sang des illustres ducs-comtes d’Aquitaine et de Poitiers allait se mêler au sang capétien et, par ce biais, régner sur le royaume des lys. Des telles cosiderations feront sourire; elles avaient alors toute ler force; ont vouait aux aïex un véritable culte. Donc, la vieille reine s’en fut à Burgos auprès