Conception Du Bonheur Dans La Religion

de troubles de l’âme (ataraxie en grec). Le but de la vie est donc le bonheur, c’est donc une philosophie « eudémoniste », mais pour l’atteindre il faut agir. Pour Epicure, il y quatre remèdes pour « prendre soin de son âme » et expose aussitôt ces quatre remèdes. Le premier est de ne pas craindre les dieux, le second est de ne pas avoir peur de la mort et enfin le troisième et le quatrième remède est de se dire que le bonheur est facile à obtenir et la douleur facile à fuir en faisant un tri parmi

divisé en une partie qui commande et en une autre qui obéit (ce qu’a très bien montré Nietzsche dans ce qu’il appelle la psychologie du commandement). On peut dès lors se poser la question de savoir quelle est l’origine des normes. Ce peut être la religion, ce peut être la société, ce peut encore être l’idée de moralité (ces termes étant souvent indissociables). On peut également se demander au nom de quoi il y a une nécessité du devoir. Pour répondre à cette question, l’idée de Bien s’avère fondamentale

humain se délivre des contraintes théologiques et formelles pour s'intéresser à la nature, dans une nouvelle démarche de recherche des connaissances, caractéristique de l'esprit même des Lumières. Des évolutions démographiques Cette nouvelle conception du monde inclut une réflexion sur le gouvernement des sociétés humaines, qui sont elles-mêmes en mutation. Un essor démographique accompagne les progrès de cette époque. Une baisse générale de la mortalité, due au recul des trois principaux fléaux

- le bien suprême est le bonheur ; et plus précisément la politique et surtout la science - éthique du juste milieu : toute vertu tient le milieu entre deux vices (ex : courage entre audace et pusillanimité) - le « divin » est le premier moteur (pour éviter une régression à l’infini), c’est-à-dire le but, le Bien, le bonheur - l’homme est un animal politique : la cité est une communauté naturelle - la cité ne vise pas seulement la subsistance mais surtout le bonheur et les « belles actions »

d'Homère, dont Chateaubriand s'inspire essentiellement pour la description de la nature. Le « Livre des Chrétiens », comme Chateaubriand l'appelle, prend une part importante dans la conception d'Atala. En effet, on y retrouve de nombreux emprunts à la Bible, dont l'auteur fait appel, pour exprimer la pureté de la religion. Ainsi, la chanson du guerrier amoureux qu'ont rencontré Chactas et Atala, que l'on retrouve dans un extrait du chapitre « Les chasseurs », le « Cantique des Cantiques », renvoie à

difficile à définir de façon unie et universelle, même en le comparant à d'autres états émotionnels. En tant que concept général, l'amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne. Toutefois, même cette conception spécifique de l'amour comprend un large éventail de sentiments différents, allant du désir passionné et de l'amour romantique, à la tendre proximité sans sexualité de l'amour familial ou de l'amour platonique, et à la dévotion spirituelle de l'amour

institué par dieu. Il y a 3 fonctions qui ordonnent une société, qui reflète un ordre divin. 2- la tripartition fonctionnelle : une vision théologique de la société : La tripartition fonctionnelle c’est-à-dire que c’est l’église qui impose sa conception de la société à l’Europe médiévale. L’église a une place prépondérante elle a su s’imposer face au envahisseurs. L’église est une force politique ; c’est un élément important au moyen-âge. Le sentiment religieux est omniprésent dans cette société

européen. L’humanisme désigne le retour à la lecture des œuvres antiques. Il s'agit d'une conception philosophique qui place l'homme et les valeurs humaines au-dessus de tout. 2) Un renouveau L’imprimerie de Gutenberg (1468) va permettent aux humanistes de diffuser leurs ouvrages. Il y a une volonté de crée un homme nouveau. Plusieurs critères vont le rendre meilleure comme l’éduction, le physique, la religion. Il va alors penser de lui-même et va être libre de ces propres opinons et penser. Des

évolution, puis des droits en eux-mêmes, et enfin, des limites de ces droits. Inès Le mot enfant nous vient du latin "infans" qui signifie : "celui qui ne parle pas." On voit déjà fidèlement se refléter dans cette origine du mot une conception bien particulière de l'enfant : "soit sage et tais toi !" Ainsi les pères gaulois, avaient droit de vie et de mort sur les enfants. Les lois romaines autorisaient les hommes à accepter ou refuser un enfant à sa naissance. Ce sont les philosophes

sévèrement de "sauvage et triste superstition". Et la thèse qu'il développe ici implique une contestation de l'idée de froide raison : être sage, ce n'est certainement pas s'interdire de prendre du plaisir. La sagesse ne saurait exclure le bonheur, et le bonheur n'est nullement incompatible avec le plaisir. Au contraire, le sage doit [comme vous l'écrivez très bien !] " éloigner les passions tristes qui diminuent sa perfection".(transition vers l'analyse du texte) Quelle argumentation Spinoza déploie-t-il