Conclusion Alfred De Musset

romantique Alfred de Musset (1810-1857). Un spectacle dans un fauteuil, titre qu’il choisit pour regrouper plusieurs de ses comédies, traduit bien sa conception du théâtre uniquement destiné à être lu. D’ailleurs, une de ses pièces Lorenzaccio n’a jamais été jouée intégralement tant elle est difficile à mettre en scène. En effet, cette pièce comporte 36 scènes, une soixantaine de décors et elle demande plus de 400 interprètes. Elle n’a jamais été mise en scène du vivant de Musset. 3) Dans

document 1 est extrait de l'illusion comique de Pierre Corneille, le second est extrait de l'école des femmes de Molière, le troisième est extrait de dandin ou le mari confondu de Molière, le dernier est extrait de les caprices de marianne de Alfred de Musset. Mini-intro : On constate que les jeunes femmes manifestent leur liberté. Dans le §1, on va voir que les femmes, n'aime pas leur époux, et ne se géne pas pour leurs faire comprendre. Dans le second, les femmes s'opposent au tradition

est «la reine des facultés») soit par la débauche. III. Les Références Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. * Le drame romantique L'essentiel du combat romantique se déroule d'abord sur la scène théâtrale avec la création du drame romantique dont la poétique s'oppose à celle de la tragédie classique

Marianne : Acte I, scène 1, 5ème séquence « Octave-Cœlio » de Cœlio « Malheur à celui qui… » à Cœlio : « … sur sa jalousie » : un double portrait tout en opposition Quel portrait des deux personnages nous dresse ce passage ? Introduction : - Alfred de Musset, auteur romantique // un théâtre pour être lu - Les Caprices de Marianne : enjeu de la pièce ; présentée comme comédie - L’extrait : Une très longue scène d’exposition où les personnages principaux apparaissent : Marianne, Octave, Cœlio, Claudio

interprètent des personnages et attribuent leurs mouvements et leurs voix à ces derniers, dans le but d'animer, de donner vie au texte théâtral. Même s'il est vrai que quelques auteurs remettent en question les règles dramaturgies traditionnelles, comme Alfred de Musset, qui a développé un théâtre uniquement destiné à la lecture, à travers son ouvrage Spectacle dans un fauteuil, la nature même du mot théâtre, dont la racine grecque signifie « regarder », traduit de sa fonction première qui est d'aboutir à une

docxCommentaire rédigé : acte II scène 5 Introduction : Déçu par l'échec de la représentation de La Nuit vénitienne en 1830, tandis que cette même année Victor Hugo triomphait avec la pièce qui devint emblématique du mouvement romantique, Hernani, Alfred de Musset publie dès lors ses œuvres théâtrales sous le titre général de Spectacle dans un fauteuil. Ecrire pour la seule lecture lui autorise des écarts par rapport aux règles, notamment des trois unités, et lui permet d'exprimer sa sensibilité toute

interprétation plausible est donnée dès le début du poème , au vers 1 avec l’expression « en tout sens » qui peut se comprendre de deux manières : - le mouvement des éléments décrits dans le poème - la manière dont il faut lire le texte conclusion : ce n’est pas un texte qui a une seule interprétation possible, chaque lecteur y voit sa propre signification selon sa personnalité, sa sensibilité. Et chaque idée, sensation suggérée par le poème est à mettre en rapport avec tous les autres. Ainsi

aussi servir à la description d’un sentiment plus joyeux : l’amour. En effet dans cette parti nous pourrons constater que les poète se servent beaucoup de se sentiment qu’ils chérissent tout particulièrement et reconnaisse en avoir besoin comme Alfred de Musset dans « La nuit d'Octobre » qui écrivit : «  L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, / Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. » Dans ces vers le poète admet donc avoir besoin de connaitre la souffrance pour se connaitre

Les Caprices de Marianne Les Caprices de Marianne est une pièce de théâtre écrite par Alfred de Musset. Elle paraît le 15 mai 1833 dans La Revue des Deux Mondes et appartient au courant du romantisme. Elle sera jouée à la Comédie-Française le 14 juin 1851. Cette pièce est qualifiée de comédie par Musset mais en vérité elle s'apparente au genre du drame. Elle est composée de deux actes : Le premier acte comporte trois scènes. Le second acte comporte six scènes. L'histoire[modifier | modifier

tard le 16 dans mon casier. Vous trouverez également en pièce jointe le corrigé (un commentaire rédigé) du texte de La princesse de Clèves. Bon courage et bonnes vacances Objet d'étude : le théâtre, texte et représentation. Corpus :Texte A : Alfred de MUSSET (1810-1857), Lorenzaccio (1834), Acte IV, scène 9.Texte B : Jean GIRAUDOUX (1882-1944), Electre (1938), entracte. Texte C : Samuel BECKETT (1906-1989) Oh ! les beaux jours (1963). Annexe au corpus : Antonin ARTAUD (1896-1948), Le Théâtre et son