Conclusion Baudelaire Beauté Laideur

SOMMAIRE AVANT-PROPOS…………………………………………………………….……………3 1. LE SYMBOLISME. DATES PRÉLIMINAIRES…………………......................4 2. IMPACT DU SYMBOLISME FRANÇAIS SUR LA LITTÉRATURE ROUMAINE……………………………………………………………………………..8 3. GEORGE BACOVIA / CHARLES BAUDELAIRE…………………………….10 BIBLIOGRAPHIE...............................................................................................................12 AVANT-PROPOS « Le Symbolisme avait cherché l’essence de la poésie ». Le XIXe siècle en France

Robert Desnos p.9-10 « Madrigal triste »,"Fleurs du mal", Charles Baudelaire p.11-12 « Secret du cœur », Albert Ferland p.13-14 « Je t'aime » , Paul Eluard p.15-16 « Amourette », Pierre de Ronsard p.17-18 Conclusion p.19 Préface

artificiel de l’être naturel : il suffit de retrouver en l’objet les traces de l’activité libre qui a présidé à sa formation, traces d’une volonté, d’une intention d’une part, d’un savoir-faire, de la maîtrise de règles d’autre part. => En conclusion, on peut désormais affirmer que les objets artistiques sont non seulement (critère n°1) des productions mais aussi (critère n°2) des productions artificielles qui se distinguent des objets naturels. Le critère kantien prête néanmoins le

Objet d'étude 1: Poésie Le chêne et le roseau, Jean Anouilh Le chêne et le roseau, Jean de La Fontaine Le crapaud, les amours jaunes de Tristan Corbière L'albatros, les fleurs du mal de Charles Baudelaire Objet d'étude: Poésie Texte étudié: Le chêne et le roseau, Jean Anouilh Le chêne et le roseau, Jean de La Fontaine, AXES DE LECTURE 1) Un pastiche parodique de la fable de La Fontaine par Jean Anouilh. Pastiche: imitation du style d'un auteur ou d'un artiste. Il remplit plusieurs fonctions

degré suffisant ­d’intemporalité pour traverser le temps. Le poète est au-dessus de l’idée terre à terre : « Le Mal » ou « Le Dormeur du val » de Rimbaud sont plus des condamnations de la guerre en général que d’une guerre précise (celle de 1870). Conclusion La poésie est toujours exploration du monde et de son sens par la sensibilité : ni mots, ni idées, ou plutôt les deux à la fois… Elle est efficace pour critiquer, mais ne doit pas se borner à cela. Ce n’est qu’une de ses multiples fonctions, qui

élève (mettez un lien de l’analyse dans)  Ronsard, les  Ronsard, ​ Les amours, ​ 1578, “Afin qu’a tout jamais”    amours “afin    qu’a tout jamais”  Afin qu’à tout jamais de siècle en siècle vive  La parfaite amitié que Ronsard vous portait,   Comme votre beauté la raison lui ôtait,   Comme vous enchaînez sa liberté captive ;    Afin que d’âge en âge à nos neveux arrive  Que toute dans mon sang votre figure était,  Et que rien sinon vous mon cœur ne souhaitait,   Je vous fais un présent de cette Sempervive

Elle influence l'art et le transforme. Elle va essentiellement s'interroger sur la beauté. Deux grands philosophes s'y intéressent : HUME c'est un philosophe anglais,qui a écrit « De la nature, > du gout » Il y écrit : « chaque esprit perçoit une beauté différente. » c'est la première fois qu'on parle de la subjectivité du beau et qu'on a tous peut être des gouts différents. Des critères de beauté étaient mis en place par les institutions ( église, académie etc) KANT est très

devrait dire je sui la dame. Elle se présente comme à l’extérieur puis de l’intérieur. 1ère métamorphose : L’eau est d’abord Ondine. L’identité d’Ondine est prismatique, images qui s’emboîtent. Eau-> ondine-> châtelaine. Prestige et beauté : « robe de moire, châtelaine, beauté du lac, belle » Opposition du monde terrestre et le monde aquatique. On a une petite scène typique du M-A revu par la sensibilité romantique (cf. Mme Bovary et W.Scott), Cliché -> la belle nuit étoilée, la belle châtelaine

relever les caractéristiques. Chaque étude de textes a été suivie par la rédaction personnelle de l’introduction et la conclusion, débouchant sur une mise en commun au début de la séance suivante. Sont présentés ici : 1 2 2 3 4 le descriptif de la séquence quatre lectures analytiques de : « Ode à Cassandre » de Ronsard, « Mon rêve familier » de Verlaine, « A une passante » de Baudelaire, « La courbe de tes yeux » d’Eluard un commentaire composé succinct de « Il n’aurait fallu… » d’Aragon une évaluation

flamboyant. * Les Fleurs du Mal (titre oxymorique) : éditions en 1857 et 1861. Procès qui a condamné le recueil, obligeant Baudelaire à retirer 6 pièces. Il s’agit d’extraire la beauté poétique de la laideur, de la noirceur du monde. *Poème 50 (1ère éd.), 54 (2ème éd.) Section « Spleen et Idéal » dont le titre initial était « A la Belle aux cheveux d’or » = Marie Daubrun (joue dans une féérie)