Conclusion Belles Soeurs

ni éducation; le clergé représenté par les 2 sœurs; et finalement la classe marginale représentée par une prostituée et un révolutionnaire .cet espace fermé dans un voyage en période de guerre permet de ressortir la face cachée de la haute société, et dévoile toute son hypocrisie et lâcheté envers la classe marginale avec la complicité du clergé qui est supposer défendre les opprimés. D'une part, au début de la nouvelle, l'auteure attribue de belles qualités au six voyageurs représentant l'élite

.........................page 13 5. Le comportement des femmes associé à la beauté......................................page 15 6. Le danger de la beauté.................................................................................page 17 Conclusion..............................................................................................................page 18 Bibliographie...........................................................................................................page 19

le peuple? 13) Quel message veut faire passer Napoléon à travers ce tableau? III) Le sacre de Napoléon : l’affirmation d’ambitions territoriales 14) Comment Napoléon affirme t-il ses ambitions de dominer l’Europe ? CONCLUSION ----------------------- LE SACRE DE NAPOLEON Le couronnement raconté par Mme de Remusat (amie intime de Joséphine) « Il y eut d’abord de grandes discussions sur le couronnement particulier de l’empereur. La première idée était

L1-2 : « les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la nation, demandent d’être constituées en Assemblée Nationale » = déclaration d’intention et requête polémique. - phrase se détache visuellement, par la manière dont le texte est présenté, phrase paragraphe . - énumération sur les différents rôles de la femme : « les mères, les filles, les sœurs » elle montre les auteurs : au début

On voit donc déjà le caractère impur de l’inceste ainsi que le lien avec les règles et l’éducation. Dans la langue moderne, comme nous l’avons vu, l’inceste désigne la relation sexuelle qui intervient entre membres d’une même famille ( frères et sœurs, ascendants et descendants). Il y a ensuite la définition des anthropologues : le tabou de l’inceste renvoie à l’interdit universel des sociétés humaines : celui d’épouser un membre de sa famille. Il y a donc conflit sur l’objet de l’interdit

« Elle (la démocratie) proclame la liberté, réclame l'égalité et réconcilie ces deux sœurs ennemies en leur rappelant qu'elles sont sœurs, en mettant au-dessus de tout la fraternité. Qu'on prenne de ce biais la devise républicaine, on trouvera que le troisième terme lève la contradiction si souvent signalée entre les deux autres, et que la fraternité est l'essentiel : ce qui permettrait de dire que la démocratie est d'essence évangélique, et qu'elle a pour moteur l'amour. ( ... ) Les objections tirées

LA FAMILLE 1) La définition de la famille 2) la diversité des modèles familiaux 3) les fonctions de la famille 4) le rôle de la famille 5) Conclusion La famille : selon L’I.N.S.E.E, c’est l’ensemble de personnes constitué soit par un couple avec ou sans enfants soit par un adulte vivant avec un ou plusieurs enfants (de moins de 25ans) – la famille dite monoparentale. Il n’est donc pas précisé si le couple est marié ou non. Pour les sociologues la famille est une institution. C’est un

la bonne ». Dès le début de la pièce, les deux sœurs Solange et Claire qui sont au service de Monsieur et Madame, jouent entre elles le rôle de la maîtresse et de la servante. Nous sommes donc face à un début In média res. Cette scène originale qui ouvre la pièce de théâtre est déstabilisante aux yeux du spectateur. En effet, l'auteur ne nous prépare pas à cette mise en abyme. D’autres part, ce début met en place une tension entre les deux sœurs. Cette scène ne correspond donc pas aux attentes

conséquences radicales pour les deux sœurs. Premièrement, la mère s’intéresse à sa cadette lorsqu’elle remarque les perles qui lui sortent de la bouche, elle l’appelle pour la première fois « ma fille », quant à l’ainée elle est chassée de chez elle et « va mourir au coin d’un bois ». La fin est donc le jugement des sœurs, l’ainée meurt et la cadette se marie avec le fils du Roi et connait désormais le bonheur. En somme, les événements et les destins des deux sœurs caractérisent la morale de l’histoire

Hugo a choisi la date de 1842 pour ce poème, juste avant cette mort, en 1843 : on est donc bien proche de ce passage « de l’autre côté » de la vie.L’une pareille au cygne et l’autre à la colombe, Belles, et toutes deux joyeuses, ô douceur ! Voyez, la grande sœur et la petite sœur Sont assises (…)Deux sœurs inséparables sous le regard du père- le poète consacre à chacune un hémistiche - elles ne sont pas nommées, ce qui contribue à ne pas les distinguer + à la fois souvenir autobiographique