Conclusion Commentaire Monologue D Hermione

frénésie, et mon col de chemise s’humecter par degrés. Enfin je me dis comme Julien Sorel de Rouge et Noir : « Si dans cinq minutes je n’ai pas invité Hermione à danser, je me réduis en capilotade. » Je l’appelais Hermione par un reste de licence poétique, je pensais au sonnet où je lui disais : Tulipe ou réséda, que l’on nomme Hermione. Ton être est pour mon être une incarnation. Ton haleine me cause une inflammation De poitrine, ta voix est l’archet de Crémone. Au bout d’un quart d’heure

D ..................................................................................... 249 Les hypothèses à partir de la lecture des chants V à XIII Des lieux imaginaires Une galerie de personnages imaginaires Un parcours initiatique Conclusion générale Prolongements : quelques textes inspirés de cette œuvre matricielle Annexe : orientations bibliographiques 188 Séquence 4-FR01 © Cned – Académie en ligne ntroduction A Corpus et édition recommandée Nous nous reporterons dans

Chapitre 7 > Un voyage à la rencontre de lieux et de personnages : un parcours initiatique A B C D Les hypothèses à partir de la lecture des chants V à XIII Des lieux imaginaires Une galerie de personnages imaginaires Un parcours initiatique Conclusion générale Prolongements : quelques textes inspirés de cette œuvre matricielle Annexe : orientations bibliographiques 4 Séquence 2-FR01 © Cned – Académie en ligne ntroduction A Corpus et édition recommandée Nous nous reporterons dans

femme tentatrice.....................................137 4 La question de la maternité : Cléopâtre face à ses enfants.................................140 La rhétorique judiciaire dans la tragédie, du réquisitoire au plaidoyer.............148 CONCLUSION.................................................................................................................153 DEUXIÈME PARTIE – LE LANGAGE, VECTEUR DES PASSIONS TRAGIQUES................................................................

ces deux scélérats qui amène les dénouements», et Giraudoux indiqua que les deux libertins «mènent à leur déchaînement final et à leur vrai et irrémédiable aboutissement toutes les passions auxquelles les plus grands drames n’ont donné que des conclusions unilatérales et bourgeoises.» (‘’Littérature’’). On peut encore remarquer que, dans ce roman, comme dans une tragédie, le nombre des personnages est réduit. Et que sont respectées les traditionnelles règles de l’unité d’action, de l’unité

lui-même et les confie aux autres, ce qui se marque par l’utilisation fréquente de la première personne. Celui qui parle (« je ») parle de lui et se prend pour objet d’étude sous la forme du « moi ». Ce phénomène est particulièrement net au théâtre (le monologue permet l’auto-analyse et l’expression des sentiments personnels) et en poésie. Les sentiments et les états d’âme : * L’incertitude * L’ennui, le chagrin, la tristesse - ces sentiments sont constants. De fait, la tristesse imprègne la

célèbrent les offices. Ceux qui n’ont reçu que les ordres mineurs – ou point d’ordres du tout – effectuent des tâches variées qui contribuent à la vie de la communauté. C’est donc entre clercs que pendant les Xe et XIe siècles, on écrit en latin des commentaires de la Bible, dont certains épisodes sont brièvement mis en scène. Ces représentations vont émigrer vers la place publique, vers le peuple… Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Le théâtre naît dans les abbayes, au cours des

célèbrent les offices. Ceux qui n’ont reçu que les ordres mineurs – ou point d’ordres du tout – effectuent des tâches variées qui contribuent à la vie de la communauté. C’est donc entre clercs que pendant les Xe et XIe siècles, on écrit en latin des commentaires de la Bible, dont certains épisodes sont brièvement mis en scène. Ces représentations vont émigrer vers la place publique, vers le peuple… Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Le théâtre naît dans les abbayes, au cours

souci a aussi été de répondre à l’hétérogénéité des classes de Seconde en offrant des documents très divers et de difficulté variable. k Il nous apparaît important de diversifier les activités, de ne pas privilégier l’analyse de texte et le commentaire de texte. Tout texte n’est pas à « essorer ». Certains serviront uniquement à une récolte d’informations et ne mériteront pas que l’on s’y attarde. k Nous n’avons pas négligé l’acquisition lexicale (lexique et phonologie sont liés) et syntaxique