Conclusion D Une Charogne

abondantes, des inondations, des épisodes caniculaires qui compromettent les récoltes jusqu'en 1697. Des révoltes agraires, des émeutes frumentaires éclatent partout en France. On meurt de faim, le peuple se nourrit de racines, d'orties cuites, de charognes déterrées, d'entrailles nauséabondes d'animaux morts. Le royaume de France connaît des années noires : on manque de pain, la disette s'installe, les épidémies et les maladies carentielles se multiplient. La dénutrition frappe les populations les

intime du poète qui retranscrit ses sensations : "Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur " [vers 7] ressent-il des "masques et bergamasques ", ses sentiments, ses états d'âme au travers de trois strophes à la musicalité tranquille. En conclusion, ce poème "Clair de lune " annonce bien autre chose qu'un moment paisible et festif de la nuit; il présente plutôt un univers poétique, une façon propre à Verlaine d'accueillir un spectacle et des êtres pour mieux s'en approprier et exprimer alors

puces de la terre entière. Tout de suite après ça, j’ai pensé au maréchal des logis Barousse qui venait d’éclater comme l’autre nous l’avait appris. C’était une bonne nouvelle. Tant mieux ! que je pensais tout de suite ainsi : « C’est une bien grande charogne en moins dans le régiment ! » Il avait voulu me faire passer au Conseil pour une boîte de conserve. « Chacun sa guerre ! » que je me dis. De ce côté-là, faut en convenir, de temps en temps, elle avait l’air de servir à quelque chose la guerre

Page … 16 E/ Son insensibilité. Page … 20 II/ La séduction et le raffinement chez le vampire. A/ Le dandysme Page … 24 B/ La sensualité Page … 25 C/ La finesse le sa culture Page … 28 D/ Est-il humain ? Page … 31 Conclusion Page … 32 Bibliographie Page … 33 Annexes Page … 35 Introduction. Il est intéressant d'observer la curiosité de l'homme et de ses réactions face au monde, celui-ci cherche toujours à comprendre

matérialité, de la fatigue, de la pesanteur, de la mort, de la décomposition, en un mot de la laideur, a toujours été une des sources les plus importantes de l’activité artistique. Exemple des Souliers de Van Gogh ou du poème de Baudelaire intitulé La charogne. Rimbaud, Lautréamont, artaud, Sade nous montrent que la dimension obscène ou scatologique a sa place dans l’art, fût-il tragique. Duchamp met à mort la Beauté. Après cet artiste, on n’aborde plus l’art en ayant en tête l’idée de la Beauté

(saint Paul, Épîtres aux Romains, IX, 23). Mais Baudelaire à la fin d'un poème de jeunesse ("Tous imberbes alors..." Pl. I, p. 206-207), écrivait déjà: "[...] Tous les êtres aimés / Sont des vases de fiel qu'on boit les yeux fermés." 241. Cf. Une charogne (poème XXIX), v. 45-46. 242. Cf. L'Idéal (poème XVIII), v. 14. 243. Le lien entre la souffrance et la création artistique renvoie à Bénédiction. Le rôle de la femme comme source ou aide de la création peut rappeler le premier tercet de La Beauté

qui permettraient de faire l'économie de la pensée personnelle. Un effort de réflexion, de jugement est toujours nécessaire et fondamental pour bien appliquer cette méthode, pour l'adapter aux problèmes spécifiques que l'on doit traiter. 1.5 Conclusion La philosophie ne se définit donc pas comme un savoir constitué, mais comme la recherche du savoir, on ne peut donc la définir de façon définitive et univoque dans la mesure où elle est la démarche indéfinie de la conscience s'interrogeant sur

on se souvient pour avoir publier un Dictionnaire des Précieuses en 1661 dont il précise dans la Préface avoir recueilli aussi bien les termes et expressions des précieuses « véritables » que des précieuses « ridicules », et l’Abbé de Pure. En conclusion, la préciosité peut être délicate et raffinée si elle s’allie au bon goût, mais elle peut devenir ridicule lorsqu’elle dérive vers la recherche excessive. L’hôtel de Rambouillet reste généralement dans le cadre de la bienséance et du bon goût, sans

qui permettraient de faire l'économie de la pensée personnelle. Un effort de ré- flexion, de jugement est toujours nécessaire et fondamental pour bien appliquer cette méthode, pour l'adapter aux problèmes spécifiques que l'on doit traiter. 1.5 Conclusion La philosophie ne se définit donc pas comme un savoir constitué, mais comme la recherche du savoir, on ne peut donc la définir de façon définitive et univoque dans la mesure où elle est la démarche indéfinie de la conscience s'interrogeant sur

69 IV. IV. La monstruosité de la femme 78 IV.V. La dénaturalisation : immobilité et stérilité, l’art de l’artifice. 85 IV.VI. Prostituée 91 IV.VII. Lesbienne 97 IV.VIII. Passante, Vieille femme et Veuve 101 IV.IX. Mort 108 Conclusion 114 Ouvrages consultés 117 Avant-propos Par-delà des vagues de toits, j'aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement