Conclusion De Voyage Au Bout De La Nuit

expériences personnelles de la vie). Cf par exemple Louis Ferdinand Céline et son éloge de la lâcheté dans «Voyage au bout de la nuit» qui peut mettre mal à l'aise le lecteur; une telle oeuvre ne vise qu'à nous faire prendre conscience de la lâcheté des hommes. -la culture littéraire a pour fonction de semer le doute dans les esprits. Par un paradoxe propre à la culture, on arrive à la conclusion de Socrate : «Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien» Cf aussi André Gide affirmant que le

Lecture Analytique / LF Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932 (manuel p.284-5) Louis-Ferdinand Céline (de son vrai nom Louis-Ferdinand Destouches) en 1932, dans un contexte donc très particulier puisque l'on n'est dans l'entre-deux guerres. Pour écrire ce livre, Céline s'est inspiré de sa vie personnelle puisqu'il a participé à la première guerre mondiale, puis au bout de quelques semaines il fut blessé puis réformé. Dans cet extrait, Céline raconte, à travers le personnage de Ferdinand

un  poème  pessimiste,  avec  beaucoup  de  désespoir  et  de  mélancolie.  Il  y  a  une  discussion entre deux interlocuteurs (la poésie se mélange au théâtre).    ­ Le  deuxième  poème  se  nomme  “Heureux  qui  comme  Ulysse  a  fait  un  beau voyage”, écrit par ​ Joachim  de Bellay.  Ce poème est  connu  car il a  été adapté en musique. La poète a voulu exprimer son mal du pays natal.    ­ Le  troisième  poème,  “Air  Vif”  de  ​ Paul  Éluard,  porte  sur  le  thème  de  l’amour.  Ici, Paul évoque son manque de 

de Madame de Lafayette, ressemble certainement beaucoup aux femmes de la noblesse de l'époque. De la même manière, nous aurions pu connaître, dans la première moitié du XXe siècle, la même existence médiocre que Bardamu, le personnage du Voyage au Bout de la Nuit de Céline. Pourtant, le roman ne représente pas le monde tel qu'il est. • D'une part, vous pouvez facilement constater que le monde du roman est simplifié : même chez Balzac, les descriptions ne concernent que quelques lieux précis

Dissert Français : En conclusion du roman de Guy de Maupassant, Une Vie, une personne déclare: > . Pensez-vous qu'un roman doit ouvrir les yeux au lecteur sur la vie ou au contraire permettre d'échapper à la réalité? Vous puiserez vos exemples dans les textes étudiés et vos propres conaissances. Il s'agira de s'interroger sur le rôle qu'a le genre romanesque sur le lecteur. Nous verrons dans un premier temps que le roman peut aider le lecteur à comprendre le monde qui l'entoure puis nous

Texte 4 : extrait de Voyage au bout de la nuit, Céline, 1932 INTRODUCTION : - L’œuvre : récit à la première personne qui relate dans un style parlé l’itinéraire de Ferdinand Bardamu, un double de Céline. Le héros, comme Candide, découvre le monde et ses horreurs : la guerre en Europe, le colonialisme en Afrique et l’industrialisation aux Etats-Unis. - L’extrait : récit à la première personne, sorte de monologue intérieur de Ferdinand, soldat sur le front, Mais le personnage n’agit pas en

contestations pour un retour à la République. Le lyrisme naît de cette époque où tout est assombri et où les Hommes se replient sur eux-mêmes et sur leurs sentiments, pour faire face aux désagréments de la vie. Ce poème lyrique et pathétique, relate le voyage physique et intérieur de Victor Hugo, qui part se recueillir sur la tombe de sa fille. Quels sont les éléments qui traduisent du lyrisme de l'auteur ? Dans quelles mesures ce poème rend compte d'un amour toujours vivant ? Que tire l'auteur de ce poème

« Le roman, c’est la fraternité : on se met dans la peau des autres » écrit Romain Gary dans La nuit sera calme. Selon vous, la première fonction d’un récit ou d’un roman est-elle de nous faire comprendre la vie des autres ?Vous répondrez à cette question en vous fondant sur votre connaissance de l’œuvre Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar, des textes étudiés pendant l’année ainsi que sur vos lectures personnelles. IntroductionRomain Gary écrit : « Le roman, c’est la fraternité : on se met

plan. Ce panneau est le panneau de la transition. Sur le panneau inférieur, donc sur la prédelle, c'est la Fosse des cadavres ou le repos des soldats. Otto Dix fait planer le doute. On y aperçoit aussi des toiles d’araignées et des rats. III- Conclusion : Ce triptyque est un constat sur les ravages de la guerre (et notamment de la tuerie en masse), mais aussi la vision d’un peintre confronté aux pires horreurs humaine. Der krieg, d’Otto Dix est une oeuvre engagée, l’artiste montre clairement son

Un poète pendu, au cœur d'une nuit glacée. Le corps, retrouvé au matin du vendredi 26 janvier 1855. A ce moment précis où je vous parle, est-ce qu’une seule personne parmi vous pourrait certifier qu’elle na jamais prononcé le mot « fou ». Nous utilisons le terme « fou » tous les jours ou presque, à tort et à travers, sans véritable raison. Le « fou » est un malade, un dément, un déséquilibré. Le mot folie peut se définir par le trouble de l’esprit. C’est une personne qui a un comportement