Conclusion Exclusion Sociale

INTRODUCTION Le phénomène de l’itinérance doit être compris en tant que processus qui se traduit par une multi- plication de ruptures ou d’impasses propices à la dégradation des liens sociaux et dont l’aboutissement est la rue. C’est pourquoi la compréhension du phénomène nécessite de dépasser l’aspect individuel pour l’inscrire dans sa dimension collective. L’itinérance revêt de multiples visages et présente divers niveaux de gravité. C’est pourquoi elle ne se limite pas uniquement

naissance de ne pas survivre jusqu’à l’âge de 60 ans Connaissances Pourcentage d’adultes privés de capacités fonctionnelles de lecture et d’écriture Un niveau de vie décent Pourcentage des personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté Exclusion sociale Taux de chômage de longue durée Indicateur de pauvreté humaine pour les pays de l’OCDE sélectionnés (IPH-2) ISDH DIMENSION INDICATEUR Vie longue et en bonne santé Espérance Espérance de vie des de vie des femmes à hommes à la naissance

Le mouvement punk, comme avant lui le jazz et le rock, est avant tout la manifestation d'une contestation sociale et culturelle. Dans les années 70, aux Etats-Unis puis en Europe, une nouvelle génération d'artistes musiciens rompt avec le rock hérité des années 60 pour exprimer dans une musique plus brute ses incertitudes quant à l'avenir (exclusion sociale, guerres, crise pétrolière) et son rejet de l'ordre établi. Les célèbres slogans "No future", "Anarchie" ou encore "Punk Is not Dead" cristallisent

famille, la fratrie, la vie sociale, la politique, l’éthique, etc. L’ouvrage est aussi un engagement personnel pour changer les choses, restaurer un lien propice à l’altérité. L’ouvrage traite de manière synthétique quels sont les questions du handicap mental, tout en s’appuyant sur des théories d’auteur qui ont fait des recherches sur le handicap et des exemples concrets. Tout d’abord, cet essai a pour thème principal la mutation culturelle, c’est-à-dire l’intégration sociale des personnes en situation

extrêmes de la pauvreté, avec des individus (surtout des hommes) vivant dans la rue et dans des abris de fortune, et des ménages pouvant être accueillis dans tout un ensemble de dispositifs, allant des centres d’hébergement d’urgence aux logements très sociaux. L’INSEE, sur une semaine de début 2001, a compté près de 80 000 personnes sans-domicile (dont 16 000 mineurs). Ceci ne veut pas dire que toutes restent sans-domicile durant toute l’année, mais ceci donne une idée de l’importance de la population

asp?reg_id=0&ref_id=AMFd2 Doc 17 Une plus grande vulnérabilité à la pauvreté (précarité du travail, monoparentalité, divorce) Mesure du seuil de pauvreté 50 ou 60 % du revenu médian parer unité de consommation C. De nouvelles frontières sociales Doc 18 l’hétérogénéité des classes moyennes L’Observatoire des inégalités (nombreuses données) http://www.inegalites.fr/spip.php?article1308 http://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/revue/9-79.pdf En matière de niveau de vie, ouvriers et cadres

piège » La notion d’exclusion est aujourd’hui au cœur du débat social et politique du fait de la dégradation du marché de l’emploi et de la prise de conscience collective du risque de chômage, de pauvreté et d’isolement social. Pourtant le terme d’exclusion qui dans le langage courant semble simple et explicite est une notion très complexe. Le sociologue R. CASTEL veut attirer notre attention sur l’amalgame du terme « exclusion » et préfère utiliser le concept de désaffiliation car il permet de

INDIVIDUS ET GROUPES SOCIAUX Il  s’agit d ‘analyser la hiérarchie sociale (référence à la théorie de P. Bourdieu, à voir également en Tes).On analyse la société française de façon verticale : pauvre/riche - dominant/dominé.Parler de hiérarchie sociale c’est donc parler d’inégalités. Cependant cette vision semble dépassée d’après A.Touraine qui considère la société horizontalement avec le rapport :"in/out" qui traduit le lien social (intégration) et sa rupture (exclusion sociale, à voir également en Tes) COMPRÉHENSION

souvent centrale. Elle prend en compte le fait que les occupants des bidonvilles n'ont souvent pas de contrat de location ou de titre de propriété, et que certains quartiers soient construits sur des zones à l'origine non habitables. Pauvreté et exclusion sociale : sans être une caractéristique inhérente aux bidonvilles (les pauvres habitent aussi en dehors des bidonvilles, et ceux-ci n'abritent pas que des pauvres), la pauvreté en est une cause et souvent une conséquence. Taille minimale : pour qu'une

contre les risques sociaux La collectivité peut considérer que certains risques coûteux peuvent être partiellement ou complètement pris en charge par la collectivité : il s’agit principalement des risques liés à la santé et à la cessation d’activité, qui peuvent engendrer des situations provoquant une baisse des ressources ou une hausse des dépenses (ex : vieillesse, maladie, invalidité, chômage, charges de famille...). 2. Un objectif d’équité Dans un souci d’assurer la cohésion sociale, les États des