Conclusion Humanisme

Un mouvement culturel et littéraire : l’Humanisme au XVIème siècle La Renaissance s’est d’abord déployée en Italie au XVème siècle avant de gagner la France au siècle suivant. Il s’agit d’une période d’aspirations nouvelles dans tous les domaines. En 1515, François 1er monte sur le trône. La France au XVIème siècle ne cesse pratiquement pas d’être en guerre. Ces guerres longues - de 1483 à 1559 - et coûteuses ne rapportent rien : en soixante ans, les rois de France conquièrent et perdent

Jean Pic de la Mirandole (Giovanni Pico della Mirandola) (24 février 1463 - 17 novembre 1494) était un humaniste italien, troisième fils d'une vieille famille comtale. Jeune héritier d'une fortune considérable, il eut le loisir d'étudier et de voyager à sa guise, et consacra sa vie au savoir. Néoplatonicien et adepte de la philosophie naturelle, il fut élève de Ficin, avant de revenir au péripatétisme. Pic de la Mirandole voulut effectuer une synthèse d'Aristote et de Platon à partir de la foi chrétienne

Thomas More (1478-1535) 15eme siècle .c'est un philosophe anglais, il fait parti des humanistes .études à Oxford > son intérêt est pour la littérature grecque et latine .étude de droit > pour etre avocat .mène une vie politique et entre au parlement en 1504 .traduit le l’Erasme avec son ami Erasme . il gagne la confiance d’Henri VIII après s’y être opposé .il devient ambassadeur et Grand Chancelier .il refuse de prêter serment imposé par Henri VIII, il est décapité .il est béatifié

à la félicité amoureuse. Le fait qu’Usbek, un Petits Classiques Larousse -3- Lettres persanes de Montesquieu homme des Lumières, soit incapable e comprendre les femmes de son sérail témoigne de l’aveuglement que tout homme porte en soi. 3- Un humanisme tolérant * C’est ce à quoi nos quatre auteurs nous entraînent, en élevant notre pensée au-dessus des frontières qui d’ordinaire la limitent, en nous permettant de découvrir l’étranger, le polygame, l’Autre comme un semblable, un frère. L’homme des

L'humanisme, ses ambitions et ses incertitudes I-Définir l’humanisme : Sens courant : doctrine qui met l’homme et les valeurs humaines au-dessus des autres valeurs. Sens spécifique : mouvement intellectuel à l’époque de la Renaissance marqué par le retour aux textes originaux de l’antiquité (« les humanités »)pour en tirer des modèles de vie, d’écriture et de pensée et pour former un homme nouveau, tolérant, libre de penser, de croire et d’obéir. II- Les grandes découvertes

décrites par Thomas More ne se prennent nullement pour des dieux. Elles ne sortent pas de leur orbite. Dans leur nudité, dans leur vérité, elles inspirent au contraire la compassion. On est surtout frappé par leur humilité. Cet humanisme renaissant est un humanisme chrétien. L’homme s’observe et se représente lui-même, mais à la lumière du Dieu dont il s’est distingué depuis le Moyen Âge, avec pour lui-même autant de compassion que d’admiration. La révolution copernicienne inversée s’accomplira

Fiche biographique Guillaume Budé Guillaume Budé Il est issu d'une grande famille de Né et mort à Paris grands fonctionnaires royaux. 1467- 1540 Son père : Jean Budé est conseillé du roi, est un Lettré et un bibliophile. Il est possesseur d’une riche bibliothèque. Les grandes étapes de sa vie : - Il ne commence qu’à l’age de 24 ans de grandes

Fiches révisions :GD / H et R | Grandes découvertes | Humanisme et Renaissance | Mots-clés | Conquête, colonisation, stratégie, civilisations, bouleversement, découvertes, conversion, acculturation | Mécénat (protection par un puissant à des artistes), indulgences, Inquisition, protestantisme, pensée, phénomène urbain, diffusion idées humanistes | Personnages Importants | Hernàn Cortès, Cristophe Colomb, Fernand de Magellan | Gutenberg, Pic de la Mirandole

Ronsard, fils d'un chevalier, est né en septembre 1524 dans le Château de la Possennière, près de Vendôme.Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir.Le 6 mars 1543, il est tonsuré au Mans. Des bénéfices ecclésiastiques lui assurent un revenu régulier qui lui enlève tout souci matériel; ce qui lui vaut de consacrer sa vie

mort, se trouvent dans la vie intérieure de More et s’abîment dans l’unique source de cette vie: l’amour du Christ. Nous n’aurons rien compris de More si, au lieu de le voir soutenu et inspiré par le sommet divin de son être, nous interprétons son humanisme comme une volonté de faire de l’homme la mesure de toute chose et la source de toute lumière. JACQUES DUFRESNE, Thomas More, L'expérience de Dieu , Fides, Montréal 1999.