Conclusion L Avare

forme d'un deus ex machina, intervention innatendue d'Ariste. Il va permette de sauver la situation in extrémis. Ariste met donc au point un stratagème pour démasquer Trissotin . En effet, il annonce la ruine de Chrysale et de Philaminte. Trissotin, avare et cupide, tente de rennoncer au mariage, son seul objectif étant la forturne des parents d'Henriette. Il se retire de la compétition prétextant un amour difficile d’Henriette “J'aime mieux renoncer à tout cet embarras, et ne veux point d'un coeur

peur Je suis puissant comme Zeus Fragile comme Icare Je ne suis pas Deus Je me couche juste tard Life ? On vit dans des cycles Vertueux puis vicieux Haineux ou amoureux  Moi je continue mon périple Une odyssée qui aura pour fin La conclusion d'un triste destin Même avant la naissance On nous pompe notre essence  Alors on se révolte  On fait des mimiques Parfois on virevolte Mais on est rattrapé par nos tics Alors on s'efface  Jusqu' à disparaître  On découvre notre vraie

la liberté et de la contrainte : « liberté » à la ligne 19, « n'être pas loup » et « le coup pelé » à la ligne 22, « docilité » et « être à la chaîne » à la ligne 21 (expressions imagées reprises directement dans les fables de La Fontaine). Conclusion de l'axe 1 : Ainsi, au moment de dresser le bilan de la 1ère partie de notre commentaire, on peut dire que Rousseau utilise toutes les ressources de l'argumentation pour défendre sa thèse : un circuit argumentatif très rigoureux, des procédés

vieillard un sage Le destin des jeunes gens • donne raison au vieillard • les activités de la jeunesse : l'aventure du voyage, et de la guerre d'une part; de l'autre une vie traditionnelle, tranquille (mais non exempte de risques) Conclusion L'opposition entre deux générations : l'image que la société s'en fait (jeunesse imprudente et arrogante) BRASSENS A) Contexte : Georges Charles Brassens, né à Sète, Hérault, le 22 octobre 1921, mort à Saint-Gély-du-Fesc, Hérault, le 29 octobre 1981

salon, lorsque le reste de la compagnie s’est dispersée ? – C’est un homme dont je respecte vraiment la douleur. – Et vous le nommez ? – Le chevalier Desroches. – Ce Desroches qui, devenu possesseur d’une fortune immense à la mort d’un père avare, s’est fait un nom par sa dissipation, ses galanteries, et la diversité de ses états ? – Lui-même – Ce fou qui a subi toutes sortes de métamorphoses, et qu’on a vu successivement en petit collet, en robe de palais et en uniforme ? – Oui, ce fou

« potelée », « grassouillette ». La maîtresse de maison n'est pas présentée à son avantage . Les qualificatifs utilisés font plutôt penser à une volaille presque confite. De plus elle est décrite comme « vieillotte ». C'est également une personne avare ; elle est « attifée de son bonnet de tulle » où « pend un tour de faux cheveux mal mis » . Elle ne prend pas la peine de s'arranger ce qui montre qu'elle serait plutôt négligée. Elle porte aussi une « vieille robe [...] dont la ouate s'échappe par

conséquence du don. présent de narration -> conséquences néfastes, erreur. - portrait en action des personnages opposés. •Savetier v.1-4 décrit comme heureux, gaieté. " ton de rieur " " gaillard " " naiveté ". Il profite de la vie et n'est pas avare " je n'entasse guère" v.20 distance critique face à la religion v.27-28.29 • Financier présenté par une métaphore " cousu d'or " -> dévalorisé par les éléments narratifs : négation " au contraire", éléments d'infériorité : " chantait peu, dormais

nous trouvons dans la première phrase comme dans les deux dernières le présent : « peut » (l.1), « Telle est quelquefois » (l.20) et le passé composé : « sont parvenus » (l.22). Ainsi, le discours est-il à la fois en tête du récit et en conclusion, comme pour en présenter et en déduire la signification. Cette disposition, par laquelle le récit est comme « encadré » semble nous signaler que l'intérêt du passage est au-delà de la narration qu'il met en avant. Mais comparons d'abord

.......................................................................................1 3. Analyse.............................................................................................................................................2 4. Conclusion........................................................................................................................................2 5. Commentaire.............................................................................................

donne le lecteur de l’œuvre. Dans Le Malade Imaginaire les acteurs interprètent de façon originale le comique en l’exagérant par des grimaces, des plaisanteries, des jeux de mots… et non pas par l’interprétation exacte tirer du livre.  Conclusion :   En conclusion, l’interprétation des comédien enrichit le texte théâtral par la parole, les mimiques, le décor, les costumes… Chaque œuvre possédant des didascalies assez imprécises ont nécessairement besoin de l’appui des comédiens pour dynamiser l’œuvre