Conclusion L Avare

champs de blés et d'orge ; Il était, quoique riche, à la justice enclin ; Il n'avait pas de fange en l'eau de son moulin ; Il n'avait pas d'enfer dans le feu de sa forge. Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril. Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ; Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : « Laissez tomber exprès des épis », disait-il. Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques, Vêtu de probité candide et de lin blanc ; Et, toujours du côté des pauvres ruisselant

bras plus court que l’autre, épaules asymétriques… * Vêtements sales : tunique noire et chemise à la propreté douteuse * Est laid, sale, pouilleux. Inspire le dégoût. Les symboles et emblèmes : * Main tendue remplie pièces d’or : juif avare, cupide (avide d’argent) et usurier (avide argent). * Fouet : juif veut dominer le monde. * Carte de l’URSS marquée par la faucille et le marteau : juif communiste soutient l’URSS et veut imposer sa domination sur monde. * Les juifs sont

n’était pas triste de la mort de sa femme, mais du fait qu’il avait un moyen de rémunération de moins. Même ses enfants finirent par partir à cause des défauts grandissant de leur père. Bref, tout ceci nous montre à quel point Antoine était un être avare, cruel et sans cœur envers sont entourage. Pierre Rougon : Comme la majorité des personnages du roman La Fortune des Rougon, Pierre est bel et bien un antihéros. En effet, il ne possède pas vraiment les qualités d’un vrai valeureux ‘guerrier’. Or

servir a découvrir le contexte de la comédie. En premier lieu, l'auteur fait une description du personnage d'Argan. Il décrit alors celui-ci comme un homme à la limite de la folie, hypocondriaque,satirique envers son apothicaire et quelque peux avare. En effet, Molière dit : « Ce qui me plaît de Monsieur Fleurant, mon apothicaire, c'est que ses parties sont toujours fort civiles » (l.4/5). Ce passage montre donc bien que Argan fait une critique du fait que son apothicaire soit fort aimables uniquement

les spectateurs des défauts des protagonistes [= entrée en matière] Dans sa pièce Aulularia dont Molière s’est inspiré pour L’Avare, Plaute, dramaturge comique romain qui s’inspire des comédies grecques antiques, met en scène un vieux monomaniaque avare, Euclion, qui, après avoir trouvé une marmite pleine d’or cachée par son grand-père, ne vit plus que dans la crainte d’être volé. [= L’auteur et la pièce] Dans la scène 4 de l’acte IV, nous avons affaire à un face à face entre l’avare Euclion et Stobile

Grandet a ramassé l’argent. Il est avare en tout. Il économise tout même le mouvement, « il économise les gestes, les paroles et son bégaiement même n’est pas exempt de calculs. Il évite soigneusement toute dépense vestimentaire ou ménagère et tire profit de tout et de tous 10 ». Il est dévoré par l’or qui vient seul dans son cabinet. Sa passion envahit non seulement sa vie mais celle des autres. Nanon, sa servante, par exemple est devenue aussi avare que son maître. L’avarice de M.Grandet

aussi son jeune fils qui va au-devant de grands dangers sur les mers. Chez Angélique – fibre maternelle très prononcée – A travers ce personnage complexe, Cabon décrit un idéal de la mère et de l’épouse : une femme aimante, dévouée à sa famille – pas avare de labeur – Bonne franco-mauricienne – bonne maîtresse vis-à-vis des esclaves. Félicie : Personnage féminin qui attire le moins de sympathie. Belle mais « n’avait pas grand-chose dans la tête » - Égoïste – ne s’occupe que de sa propre personne

caractéristique de la Commedia Dell’Arte. Les masques et les personnages : Dans ce genre il y avait plusieurs types de personnages dont les caractères étaient disons prédéfinis : - Arlequin (valet borné et famélique) - Pantalon (le vieil avare) - Polichinelle (le désenchanté) - Brighella (l’intrigant sans scrupule) - Capitan (lâche et fanfaron) - Docteur (le pédant) - Colombine (l’amoureuse). Chaque acteur avait un rôle pour toute sa carrière. Par

l’argent au 17ème siècle 1-contexte économique 2- Molière, l’avare 3- Jean de La Fontaine, Le savetier et le financier -III- La représentation de l’argent au 19ème siècle 1- contexte économique 2- Emile Zola, Au bonheur des dames -Conclusion Introduction "L'argent dans la littérature" est un thème qui mêlent très clairement économie et littérature. De plus il fait appelle a la notion d'argent, un terme dont les individus ont souvent beaucoup de préjugés et ne savent pas toujours

que M. Grandet a ramassé l’argent. Il est avare en tout. Il économise tout même le mouvement, « il économise les gestes, les paroles et son bégaiement même n’est pas exempt de calculs. Il évite soigneusement toute dépense vestimentaire ou ménagère et tire profit de tout et de tous 10 ». Il est dévoré par l’or qui vient seul dans son cabinet. Sa passion envahit non seulement sa vie mais celle des autres. Nanon, sa servante, par exemple est devenue aussi avare que son maître. L’avarice de M.Grandet est