Conclusion L Avare

circonstanciel de temps est ici représentatif de l’âge adulte. De même, son « château », sa « Saxe » et son « bois de saules » sont vécus comme un locus amœnus, un asile charmant propre à préserver l’innocence de « l’enfance ». Troisièmement, la conclusion de ce constat désolant est l’échec de sa conversion au christianisme dont il a réitéré la tentative. Il a, en effet, maintes fois « entrevu la conversion au bien et au bonheur, le salut », en vain. Rimbaud regrette de ne pas avoir assumé la part

déportant entièrement du côté des hommes. Le comportement simiesque coïncide avec l’image reçue du sot, goinfre et buveur (“Il hante la taverne et souvent ils s’enivre”), mais c’est par un détour qui invite à réfléchir sur l’imitation. La conclusion de l’apologue est d’abord injonctive et négative : “N’attendez rien de bon du peuple imitateur” ; elle semble ne concerner que la catégorie des singes, et, à leur image, tout “peuple imitateur” enclin à adopter sans discernement le comportement

chefs militaires ne doivent rien au hasard : Trepelu, à l’avant garde signifie à peu près « le miteux, le loqueteux » ; Toucquedillon, « celui qui attaque de loin ; le fanfaron » est préposé à l’artillerie, tandis que Racquedenare, « racle denier ; avare », se voit confier l’arrière-garde et que le capitaine Engoulevent dirige les chevau-légers (cavaliers légèrement équipés.) Rabelais met l’accent sur la précipitation de Picrochole, l’importance de l’armement, la lâcheté de Picrochole et des « princes

Descartes était mathématicien, physicien et philosophe ; il mena aussi une vie de voyageur dans toute l’Europe. Pour lui, comme pour Socrate et Platon, la raison est le seul fondement sûr de la connaissance. Après avoir beaucoup étudié, il en vint à la conclusion qu’il ne fallait pas seulement se référer à la pensée héritée du Moyen Age. Il décide donc de voyager dans toute l’Europe. Il vivra aussi à Paris et puis 20 ans en Hollande. Il fut ensuite invité par la reine de Suède et y mourut à 55 ans d’une

(s’aider du livre de lecture) Le physique : de petite taille , de grande taille , chétif , la chevelure , le visage , les yeux , les cheveux, beau, laid, cassé en deux, obèse,…………………… Le moral : intelligent , travailleur , généreux , avare , poli , souriant , bavard , honnête , fidèle ,curieux ,agressif, paresseux , sage, bête, orgueilleux, grincheux, nerveux, infidèle,malhonnête,……….. Exercice d’expression orale libre puis semi diriger : Choix

partage pas leurs croyances religieuses. * Les vices humains (Dans cette œuvre, Voltaire accorde à ses personnages des vices) 3 vices relevés: a. Jalousie->Le Roi. b. Avarice->Le riche avare qui héberge Zadig et l’ermite. c. Orgueil/vengeance->Arimaze. 4. CONCLUSION Tout d’abord, après la lecture de l’œuvre, on remarque que le but de ce livre est principalement d’analyser et de réaliser un jugement sur l’homme et sur la vie, en somme d’exercer un esprit critique

mais très vif d’esprit et aussi charmeur avec les femmes. Il est présenté comme « un aventurier conquérant, guettant la fortune, inassouvi, torturé d’une faim de jouissance » ; il spécule en bourse mais s’il veut gagner de l’argent, ce n’est pas en avare, c’est pour le plaisir et l’excitation du jeu. Gundermann, il est juif et incarne la toute-puissance financière, c’est «le banquier roi, le maître de la Bourse et du monde» (page 42), les ministres et les hauts personnages viennent le voir. Il

balzaciens est soulignée par Hippolyte Taine, est le “moteur” des actions de maints personnages. Le prototype de l’ambitieux, Vautrin, donne une leçon d’arivisme, restée célèbre, au plus jeune Rastignac, en faisant la liaison entre l’argent et Paris. Sa conclusion est visible dans la phrase: L’honnêteté ne sert à rien. /…/ À Paris, l’honnête homme est celui qui se tait et refuse de partager. Paris est le mythe moderne, exploité pour la première fois par Balzac et ensuite par Zola. Balzac montre donc le premier

des termes expliqués. Ensuite, le juge national pourra donc résoudre le litige. Elle va résoudre des litiges que si une institution communautaire est impliquée. Soit celle-ci attaque, soit elle est attaquée. Exemple : La commission n’est pas avare de sanctions. Et plus elles sont mirobolantes, mieux c’est. (On ne va pas tarder à franchi la sanction à 1 milliard.) Les entreprises n’étant pas d’accords, elles attaquent la commission. La commission aime aussi sanctionner les états. Quand un état

de droit ni de libertés d’expressions ou le droit d’auto-détermination. On peut donc affirmer que ce sont les hommes qui dictent leur existence. Quant aux domestiques, la domination exercée par les bourgeois est tout aussi exaspérante. Le vieil avare est entouré de plusieurs domestiques qu’il n’hésite pas à maltraiter a la moindre incartade. Injures et maltraitances sont monnaie courante avec Harpagon, on peut entre autres citer les injures qu’il adresse a la Fleche dans la scène 3 de l’acte 1 :