Conclusion La Belle époque

élément naturel qu’est la mer a inspiré de tout temps des générations de poètes. C’est aussi un thème très intéressant car il permet de confronter les différentes visions que les poètes portent sur cette mer parfois si dévastatrice mais pourtant si belle quand on sait l’apprécier. La mer permet d’illustrer le genre poétique grâce à l’inspiration qu’elle dégage. Face à la mer, de nombreuses idées, projets, pensées nous viennent à l’esprit, comme si elle représentait une source d’inspiration pour nous

question] À quelles ressources littéraires et théâtrales ces divers dramaturges recourent-ils pour représenter cet événement fertile en troubles affectifs ? Les trois scènes présentent certaines ressemblances mais elles portent aussi la marque de leur époque. Ces trois scènes présentent trois situations identiques, trois « surprises de l’amour » : trois ingénues, auparavant isolées et éloignées des hommes, découvrent l’amour. Mais les modes de représentation sont différents. Dans L’École des

directement à la magie noire, aux sacrifices d'animaux, aux pratiques suspectes... Mais les sorcières n'ont pas toujours été considérées ainsi. La façon de voir les sorcières, mais aussi l'image même de la sorcière ont beaucoup changées : tantôt belle, tantôt hideuse avec des verrues et le nez crochu, tantôt pratiquant de la magie « blanche », tantôt de la magie « noire », la sorcière n'a cessé d'évoluer depuis tous ces siècles... Identification : Le titre de l’œuvre est « Jeune fille consultant

ayant tant fais sourire par leurs caractéristiques propres à eux: la lucidité de Mickey, les bétises de Riri, Fifi et Loulou, le sale caractère de Donald ou l’amour de l’argent de Picsou. Ce n’était pas de la grande lecture, certes, mais c’était une belle lecture, destiné aux plus petits comme aux plus grand. C’était ce journal dont nos enfants ou petits frères nous faisaient tant de crises pour les leur acheter. A 7 ans comme à 30 ans, on aura toujours ce petit sourire aux lèvres et cette magie en

devant les gendarmes. -Scène numéro 8 Lors d'un d'hiver, Simon et sa femme continue tant bien que mal de cherché Henri, mais en vain. -Scène numéro 9 Les 2 sœurs fabriquent une robe pour la belle-fille de Maury en attendant son retour et celui des gendarmes. Et à leurs retours ils annoncèrent en cette belle après-midi de printemps qui sont libres. -scène numéro 10 Simon est de retour un jour après la grande nouvelle, le reste de sa famille est déjà parti (Henri n'est toujours pas de retour et

Introduction Impressionnée par les progrès scientifiques et économiques des deux derniers siècles, notre époque a parfois tendance à considérer l’art comme un passe-temps futile. Utilitaire et pragmatique, notre société divise les activités humaines en « productives » - les secteurs qui produisent soit des objets d’utilisation courante, soit l’argent permettant d’acquérir ces mêmes objets – et « non productives » - les autres secteurs de l’activité, notamment les activités éducatives et artistiques

caractère créateur de lettre humain ? L’art et le Beau La finalité première de l’art est-elle de produire du « beau » ? Une œuvre d’art, pour être considérée comme telle, doit-elle nécessairement être belle ? Mais, il faudrait alors s’accorder sur ce qui est beau. Or, la conception du beau varie selon les époques, les cultures et les personnes. De plus, ce qui nous apparaît comme une émotion immédiate, ne passe-t-il pas par l’apprentissage de codes esthétiques ? De plus, vouloir associer l’art au beau, n’est-ce

coquette", ce qui montre qu'Euphrosine est une personne qui ne pense qu'à séduire et qui n'est pas intéressante intérieurement. · Elle imite son discours intérieur : "le sommeil l'a-t-il rendu belle, se sent-elle du vif"(114), il s'agit du vocabulaire de la coquette. · Substantivation de "belle ,vif, sémillant" est une caractéristique des précieux. · Comme Dom Juan, elle utilise le vocabulaire de la conquête: "armes, glorieuse, hardiment" (115-120). · Métonymie: de "madame" à "son visage"

est belle quand elle est parfaitement ce qu'elle doit être ; et qu’elle rempli bien son but. Par exemple, on peut parler d'une belle marmite, quand cette marmite rend exemplaire l'idée même de marmite. Cette première conception de la beau et semblable à la conception aristotélicienne. Donc pour Aristote une chose est belle si elle remplit parfaitement son but . Par exemple un beau cheval de course est fait pour courir vite, un beau couteau est aiguisé pour bien couper, ou encore une belle femme

masculine et le canon des époques. Par exemple, au XVIIème siècle, le roman qui nous représente le plus la femme à cette époque est la Princesse de Clèves de Marie-Madeleine de Lafayette écrit en 1678. Dans ce roman, M-M. de Lafayette nous décrit la beauté de Mademoiselle de Chartres « Il parut alors une beauté à la cour », « beauté parfaite», «  extrême jeunesse » (cliché, plus une femmes est jeune, plus elle est belle), « la blancheur de son teint et ses cheveux blonds »(à cette époque la blancheur de la