Conclusion La Bete Humaine

*Le conte et son univers féérique qui entraînent le lecteur dans des cadres magiques, où souvent il assiste à la libération du personnage. Ceci est très présent dans La Belle et la Bête, écrit par Madame de Beaumont puis mis en scène par Jean Cocteau. En dépit de la laideur et du caractère inaccessible de la Bête, le lecteur pressent l’existence d’une bonté enfouie derrière le monstre de cette étrange histoire. C. quand le lecteur excuse le personnage, éprouve de la pitié et le comprend *Le personnage

qui, sous de faux prétextes, accablent les innocents. *********** DEVELOPPEMENT DU COMMENTAIRE DE LA FABLE DE LA FONTAINE A LA SUITE DE NOS OBSERVATIONS Problématique : en quoi cette courte fable exprime-t-elle une critique du comportement humain et une vision du monde ? Attention : je rappelle que l'on n'insère pas de sous-titres dans un commentaire. Je ne le fais que pour mieux dégager les idées essentielles. I. La puissance dramatique du récit 1. Une extrême concision

LE ROMAN ET SES PERSONNAGES A /La bête humaine, Emile Zola (1840-1902) Introduction sur Emile Zola : Écrivain français du XIX ème siècle, il est le précurseur du naturalisme en France. Chapitre 1 : Incipit La mise en place du décor et des personnages a. Les personnages Les personnages sont supposés connu du lecteur, Roubaud décrit avec peu d'information. Il en va de même pour les lieux « la chambre ». Introduction dans le milieu populaire « la mère Victoire ». Informations

Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt qu'elle considère Que je me vas désaltérant Dans le courant, Plus de vingt pas au-dessous d'Elle, Et que par conséquent, en aucune façon, Je ne puis troubler sa boisson. - Tu la troubles, reprit cette bête cruelle, Et je sais que de moi tu médis l'an passé. - Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ? Reprit l'Agneau, je tette encor ma mère. - Si ce n'est toi, c'est donc ton frère. - Je n'en ai point. - C'est donc quelqu'un des tiens : Car

panthère, c.à.d. l’identité. D’abord, le principe de réciprocité, selon lequel il faut que se crée un patrimoine universel (mondial, appartenant à l’humanité), dans lequel tous pourraient se retrouver, et ainsi, primerait avant tout l’appartenance humaine. Ensuite, la mondialisation, qui s’attaque principalement aux langues, devrait être combattue par l’apprentissage de l’anglais (3ème) ainsi que d’une 2ème langue "de cœur", européenne ou non. Enfin, si l’on se réclame d’une civilisation démocratique

et les distingue, leur donne un statut particulier dans leur espèce. La réalité animale de chacun des deux protagonistes est rappelée par des traits peu nombreux mais qui vont à l'essentiel : pas de description encore une fois, mais le Loup est une bête "cruelle" poussée par "la faim", l'Agneau "tète" sa mère et vit au milieu des "chiens" et des "bergers". 2) Des hommes ? Ce sont ces quelques caractéristiques animales qui servent à La Fontaine en quelque sorte d'armature pour développer, par les

ailleurs, Eugène Ionesco, dramaturge, a été profondément impacté par l'ascension du fascisme. Se percevant comme "le dernier homme sur une île monstrueuse", il s’est servi de la pièce "Rhinocéros" pour exprimer son interprétation de la monstruosité humaine. Dans un premier temps, nous verrons comment l’auteur symbolise le monstre en utilisant le rhinocéros puis, nous regarderons le concept du mal que celui-ci représente.Tout d'abord, dans cette pièce de théâtre le symbole du monstre est relié directement

Personnifications -Le Loup : prédateur -L'Agneau : animal doux, encore à la mamelle (enfant) v. 8 et 18 : caractérisation humaine → 'plein de rage' 'bête cruelle' – Qui relève de caractères humains + caractérisation indirect de l'Agneau par ses paroles (innocence de l'enfant qui tète) → A travers le récit animalier, La Fontaine donne à voir les réactions humaines et arbitraire (société du XVII e siècle) royale, réflexion sur le tyran et la tyrannie. o Placere : fabula = histoire

Stragliati, 4 vol, coll. Omnibus, Presses de la Cité, rééd. 1997. 1. Le magicien ou le sorcier Ce thème met en scène un être humain allié de l’Au-delà. Le magicien agit sur la nature avec des formules magiques ou des enchantements qui ont un pouvoir fatal sur les humains. La malédiction d’un sorcier entraîne une maladie épouvantable et surnaturelle.La Marque de la bête, de Rudyard Kipling,Lutundo, d’Edgar Lucas White,Les Lèvresde Henry Whitehead, en sont des exemples connus. La magie ou les prédictions

 » De l’eau », « Le Feu »)-La nourriture (« Le pain », « L’Orange », « Les Mûres » ou « Le Morceau de viande »)-Les lieux (« Le Restaurant lemeunier rue de la Chaussée d’Antin », « Les trois boutiques », « RC Seine Numéro », « Bords de mer »)-Les humains(« la jeune mère », »Le Gymnaste », « Pauvres pêcheurs »)L’huître   L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut